Cromimi - 1° gioco online gratuito di animali domestici virtuali

Moi j'ai crée des petite rimes qui reflète un peu mon état d'esprit:
Amour et Bonheur
Voila ce que vise le malheur
On est triste
Mais on persiste
Temps que tu veux tu peux crier
Mais faut du temps avant de briller
La mort fait pleurer
Bien que l'amour fassent pas forcément rigoler...
---------------------
Je sais que ce n'est pas super mais c'est la première fois donc voila donner moi une note sur 10

Bonjour,
mzelle-lamiia: j'aime bien les 4 premiers vers le reste je ne comprend pas trop.
Au revoir !

Moi aussi....

bereniceM j'adore!

moi j'ai inventé un petit poème pour un garçon, mais je ne lui ai jamais donné…
Dans mon ,
il y a de la place:
mes parents, mes amis, mon frère, ma soeur…

Dans mon ,
il y a de la place:
le printemps, les saisons qui passent…

Dans mon ,
il y a de la place:
le ciel, les animaux, les fleurs…

Dans mon ,
il y a de la place:
mes joies, mes peines, tout ça passe…

Dans mon ,
il n'y a qu'une place:
c'est à toi que je la donne.

Enavres : C'est mignon :3 J'aime bien !

Voici un début de nouvelle, c'est un peu le bazar dans mes idées donc il faut que je fasse un plan, parce que là c'est un peu fourre-tout >3<"

Bonne lecture !

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Prologue



Tout tourne....
Des voix crient...
Elle est sur un brancard...
Le plafond d'un blanc immaculé défile sous ses yeux qui la font souffrir.
Elle voit flou.
Un visage se penche au-dessus d'elle.

« - Elle perd beaucoup de sang, elle est a peine consciente. Elle a de la chance d'être encore vivante.

La voix se tait un instant, puis la personne  -un infirmier-  perd son sang froid  et crie.

-Son rythme cardiaque diminue ! Ses signes vitaux sont en chute...Vite !! Préparez le bloc, on est en train de la perdre !

Puis le silence. Un silence complet, comme jamais elle n'en a encore jamais entendu.

- Accroche-toi, accroche-toi à la vie ! »

Cette fois-ci la voix surgit des tréfonds de son âme. Ce n'est pas un infirmier. C'est une voix ancienne, calme. Étrangement calme d'ailleurs. Peut-être que c'est sa conscience. A quoi ressemble la voix de la conscience ?
   
Les étoiles....Il fait froid...Très froid, trop froid. Se laisser aller, lentement, doucement, oublier la douleur qui irradie de ses yeux, de tout son corps, la douleur pure qui coure dans ses veines. Même réfléchir fait mal. Toucher les étoiles au bout du tunnel. Elles brillent tant ! Marcher jusqu'au bout du tunnel, pour les effleurer. Un spasme la parcourt et elle tombe à terre. Quelque chose s'insinue dans son crâne. Une voix. Une voix qui appelle... ? S'accrocher. S'accrocher. A quoi déjà ? S'accrocher...à...à la vie...S'accrocher à la chaleur qui persiste, là, au creux de son être, à la chaleur douce et fade à la fois...C'est tellement plus simple et facile de se laisser aller...D'oublier la douleur. De ne plus penser, de ne plus souffrir, de ne plus se poser de questions sur soi, sur les autres, sur le monde, sur l'avenir.

Mais elle veut vivre, rêver, grandir, vieillir. Alors elle s'accroche. Alors elle fait demi-tour.

Elle vit.


1. Souvenirs




Une petite fille rentre en coup de vent dans une maison sombre. Ses petits pieds trottent sur un tapis persan, elle actionne la poignée de la porte à l'aide de ses doigts potelés, puis entre dans le salon.

« Mamie ! Mamie ! Regarde !


Elle leur offre un sourire rayonnant, ses lèvres barbouillées de rouge, et exhibe fièrement les paires de cerises accrochées à ses oreilles, boucles incongrues à la chair tendre. Sur ses cheveux blonds en pagaille est posée une couronne fatiguée de pâquerettes. Elle ouvre de grands yeux ambrés dans la pénombre ambiante.   

Un élan de tendresse traverse la dame assise sur un fauteuil en cuir élimé.  La peau ridée comme un vieux parchemin, les cheveux argentés tirant sur le blanc, le nez chaussé de lunettes rondes qui lui confère une vague ressemblance avec une chouette, elle fait ses soixante-quinze printemps.
Elle tient un tricot dans ses mains aux doigts tordus.  Réprimant un éclat de rire devant ce petit museau rouge, elle caresse tendrement la joue de la fillette. Cette gamine, c'est la vie qui continue d'avancer, la Terre qui continue de tourner, c'est le soleil de ses vieux jours, la lumière qui éclaire ses nuits. Son soleil de minuit.

Tu es très jolie ma chérie. Va-montrer à papy tes beaux bijoux...fit-elle gentiment.

L'enfant acquiesce et repart en trottant à l'extérieur.



2. Le réveil
                                                                                                                                                                                                     

J'ouvre les yeux mais tout est noir. Un noir si complet qu'aucune lueur de filtre, même si mes paupières sont grandes ouvertes. Cela me terrifie. Je suffoque, mon cœur s'emballe, il me semble qu'une chape de fer s'abat sur moi, que mes poumons ne fonctionnent plus. Des larmes coulent toutes seules sur mes joues, je ne contrôle plus rien, tous mes membres tremblent et je sens que mon corps se couvre de sueur. C'est horrible. Terrifiant. Je crois que je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie. Je me recroqueville. Je sens que je suis dans un lit, un lit qui n'est pas le mien. Les draps sont froids et durs, l'oreiller plat. Une vague odeur de médicaments règne.

Et je ne vois toujours pas ! Il fait toujours noir. Peut-être la lumière est-elle éteinte ? Je tâtonne, tente de me lever, mais j'ai affreusement mal à la tête. Je la masse en espérant que la douleur disparaisse, mais rien qu'en levant mon bras je ressens une fatigue extrême. Que m'est-il arrivé ? Pourquoi il n'y a personne ? Mes pleurs résonnent vaguement dans mes oreilles, à nouveau mon rythme cardiaque s'accélère, je pousse un cri rauque, mes doigts glissent sur les draps, je les agrippe à deux mains. Toujours mon cri s'élève, fort, puissant. Ma voix se brise quand la porte grince, quelqu'un entre. Une bouffée de son parfum musqué parvient à mes narines, mais je ne la vois pas. Il fait noir, si noir... J'ai peur. La dame – je le sais à son parfum féminin – s'approche et tiens mes épaules. Elle me parle, mais je n'entends que vaguement sa voix, comme si j'étais sous l'eau.

-Respire profondément. Là, voilà...Calme-toi, il ne peut rien t'arriver. Doucement, doucement.

Elle me serre contre elle. Cette attention me touche, mon cœur revient lentement à son rythme habituel, mais mes larmes coulent toujours. C'est une infirmière, je sens son uniforme rigide et frais contre ma joue. Peut être pourra-t-elle m'aider ?

-Pourquoi je ne vois rien ? Et pourquoi j'entends mal ?

-C'est...c'est normal, vous avez subi un choc physique et émotionnel, à cause de votre accident.

-J'ai eu un accident ?

-Vous ne vous en souvenez pas ?

-Je devrais ?

Je l'entendis déglutir, puis elle se leva et quitta la pièce, provoquant un courant d'air en claquant la porte. Je suis à nouveau seule. Avec des questions pleins la tête. Qu'est-ce que je fais ici ? Que m'est-il arrivé ? Je rassemble mes souvenirs. Je m'appelle Lili. J'ai quinze ans. Il y a quelques mois j'étais une bonne élève, une fille simple, naïve et gentille. Une fille bien sous tous rapports. Aujourd'hui je me suis perdue.
                                                                                                                                                             


3. La fille des mots


Je clique sur l'icône du traitement de texte. Une page blanche s'ouvre, le curseur clignote, m'appelle silencieusement. J'effleure religieusement les touches, je caresse ce petit bijou de modernité qui donne vie à mon rêve. Je ferme un instant les yeux, les mots dansent dans ma tête, m'obsèdent, me hantent, me torturent. Les phrases sont prêtes, elles sont là, en moi, elles flottent dans mes veines, elles coulent dans mon sang. Le plus dur est de leur faire passer la barrière du rêve,  de les coucher sur le papier. Mais je suis la fille des mots, l'enfant des phrases, la mère des histoires. Je peux, je sais. Depuis toujours. Je suis née pour ça. Je le sens, au plus profond de mon être.
Puis je tape.
Je tape, et les mots apparaissent, comme un écho à mes pensées.
Je tape, et la barrière entre réalité et fiction s'estompe. J'envahis le royaume des rêves, je m'évade dans les phrases, les adverbes, les adjectifs, les sujets, les compléments. Je me perds dans mon paradis artificiel.
Je tape et j'oublie qui je suis. J'oublie tout. Pourtant je suis plus que jamais moi.
Je tape et  vis à travers mes personnages, j'aime avec eux, je hais avec eux, je jalouse, je m'énerve, je pleure et je ris, je suis enfin moi. Entière, intègre, complète.

La vraie Lili.

J'écris.

Dernière modification par Marjolaine16 (Le 09-12-2012 à 10h45)

C'est bien Marjolaine16 mais je comprend pas trop ce qui se passe!

ropoulette a écrit :

C'est bien Marjolaine16 mais je comprend pas trop ce qui se passe!

Moi j'ai un poème que j'ai inventé hier:

                                                 Le froid de Décembre

Depuis Janvier,
Toute une année est passée,
Les mois ont défilé:
Décembre est arrivé.

Ô, somptueux arbres que sont les sapins,
Partenaires de l'hiver aux aiguilles éternelles,
Cette blanche forêt de pins
Que vous formez est si belle!

Seul souffle le vent,
Essayant d'animer
Ce paysage figé
Où semble s'être arrêté le temps.

Les couleurs des saisons
Ont été remplacées par le blanc,
Le blanc des flocons
Qui ont envahi les champs.

Les automnales couleurs d'ambre
Se sont transformées en neige lisse
Par l'impitoyable justice
Du froid de Décembre.

Avis et commentaires s'il vous plaît!

Voila, j'expose mon "talent" de poète.

Le soir...
Un soir, un beau soir, très tard,
Je vus une étoile rare,

Non ! La lune qui ne finit pas de rire...
Peut-être plutôt, la mélodie du Soleil ? Qui cherche en cette nuit, de revenir...
Oh ! Si seulement je pouvais sourire à mon avenir !

Sans espoir, je pleure sans le vouloir...
Et pourtant, je dormis comme un loir.

Douce nuit, caresse moi de ton aile lavande...
Car sans toi, mes yeux en amandes,

Ne scintillerait pas à la lumière du ciel.

_________________
Voila, j'espère que vous aimez !

Voila un deuxième poème que je souhaiterais offrir à mon meilleur ami;

Si longtemps...
Je t'avais attendu, toute la nuit, toi, mon ami.
Hé oui, nous sommes uni, oui, oui, pour la vie, mon très proche ami.
Oh... Je pense sans arrêt à toi, pour avoir la sensation de te serrer dans mes bras, oui, oui, mon meilleur ami.
La vie ne se prolongeras pas, mais avec toi, celle-la ne résistera pas. Oui, oui, mon superbe ami.
Jamais je ne te lacherais, sans pouvoir te dire "merci", merci, de tout l'amour, de toute l'amitié, que tu ma donné. Oui, oui, mon plus grand ami...

Voila c'est un peu... Banal... Mais moi je le trouve bien, j'ai quand même peur de lui donner...

ropoulette a écrit :

Moi j'ai un poème que j'ai inventé hier:

                                                 Le froid de Décembre

Depuis Janvier,
Toute une année est passée,
Les mois ont défilé:
Décembre est arrivé.

Ô, somptueux arbres que sont les sapins,
Partenaires de l'hiver aux aiguilles éternelles,
Cette blanche forêt de pins
Que vous formez est si belle!

Seul souffle le vent,
Essayant d'animer
Ce paysage figé
Où semble s'être arrêté le temps.

Les couleurs des saisons
Ont été remplacées par le blanc,
Le blanc des flocons
Qui ont envahi les champs.

Les automnales couleurs d'ambre
Se sont transformées en neige lisse
Par l'impitoyable justice
Du froid de Décembre.

Avis et commentaires s'il vous plaît!

Marjolaine16 a écrit :

ropoulette a écrit :

Moi j'ai un poème que j'ai inventé hier:

                                                 Le froid de Décembre

Depuis Janvier,
Toute une année est passée,
Les mois ont défilé:
Décembre est arrivé.

Ô, somptueux arbres que sont les sapins,
Partenaires de l'hiver aux aiguilles éternelles,
Cette blanche forêt de pins
Que vous formez est si belle!

Seul souffle le vent,
Essayant d'animer
Ce paysage figé
Où semble s'être arrêté le temps.

Les couleurs des saisons
Ont été remplacées par le blanc,
Le blanc des flocons
Qui ont envahi les champs.

Les automnales couleurs d'ambre
Se sont transformées en neige lisse
Par l'impitoyable justice
Du froid de Décembre.

Avis et commentaires s'il vous plaît!

Woah bravo, c'est super ! J'adore ♥_♥

Super le poéme

Et moi ?

T'inquiète Lovelymour c'est trop bien ton poème!

Moi , j'écris une histoire lorsque je m'ennuie , et j'aimerai savoir si elle est acceptable ... C'est l'histoire de Shim , petite chatte tricolore d'un an , qui est une cobaye d'un laboratoire . Voici un extrait :

J'étais dans cette boite , enfermée comme une vulgaire prise . Il faisait noir , et je ne pouvais voir que cette fichue grille , qui m'empêchait d'être libre . J'entends des chats parler d'évasion . C'est si pathétique ... tout le monde sait qu'il est impossible de sortir de cet enfer , et que nous allons tous mourir comme des déchets . Je me couche sur ce journal sale que ces hommes ont mis dans ma boîte . Un de ces chats se met à hurler contre ses camarades , comme quoi ils devaient retourner auprès de leurs familles . Son ton est si empli de peur et d'une fausse détermination que j'en rirai presque . Ces nouveaux allaient bientôt comprendre que nous ne pourront plus jamais revoir nos proches qui ont échappés à cet enfer . Ils ne faut jamais s'attacher à quelqu'un , dans ce lieu , si nous ne voulons pas souffrir encore plus . La cicatrice de ma dernière opération me fait mal , mais je m'en fiche bien . Je suis tellement habituée à cette douleur , qu'elle ne me fait plus rien . L'autre brailleur recommence à crier . C'est qu'il a de la voix , celui-là . Et voilà que son ami commence à faire pareil ... Bientôt , leur dispute résonna dans toute la pièce , ce qui m'énerve quelque peu .
-" Vous avez bientôt finis d'hurler ?! , grondais-je .
- Nous devons sortir d'ici !  , me répondit le brailleur .
- Il est impossible de quitter cet endroit ! On a tous essayé , et rien n'a changé ! Alors taisez-vous un peu ! "
Ma réplique les fit taire . Tant mieux , je commençais à avoir mal aux oreilles . En me blottissant contre la paroi froide de la boîte , je pu enfin me reposer . Dans cet endroit où nous sommes tous condamnés , seul le sommeil nous permet de rêver bien loin d'ici .

Désolé pour les fautes d'orthographe , ce n'est pas mon fort S'il vous plait , donnez-moi votre avis , j'en ai besoin !

Dernière modification par Zouzoupet17 (Le 19-12-2012 à 16h57)

Merci (désolée des hors-sujets)

Bonjour !

#Zouzoupet17 : Histoire plutôt originale. Par compte, tu as mis "mourir comme des ordures". Je trouve le terme un peu fort. J'aurai plutôt remplacé par " comme des déchets". Sinon, il y a quelques fautes de conjugaison " j'entends " " je pus ". Mais j'aime bien sinon.


Alors pour ma part, il s'agit du premier chapitre d'une histoire. J'espère que cela vous plaira, bonne lecture.

Spoiler (Cliquez pour afficher)

28 août 2012.
21h40.


La porte d’entrée claqua. Juliane était enfin de retour, après dix heures d’absence.
Sa mère, Ellen, angoissée, arriva dans le hall et prit sa fille dans ses bras.

- Oh mon dieu, Juliane, où étais-tu donc passée ?! Tu veux que je meurs d’inquiétude ou quoi ?
- Je.. désolée maman. J’avais juste besoin de prendre l’air, d’aller voir Jake, répondit-elle, tout en s’éloignant.

Ellen soupira et rejoignit sa fille dans le salon.

- Ecoute Juliane, j’ai bien réfléchi, et je pense que la meilleure façon d’oublier toute cette histoire, c’est que tu partes. J’en ai déjà parlé avec ton père, et il est d’accord pour t’accueillir.
- Maman ! Tu ne peux pas me faire ça ! Tu sais très bien que je n’ai pas envie d’oublier. Je ne peux pas oublier !
- Voyons ma puce ! C’est pour ton bien si je fais ça !
- Ah oui ? Pour mon bien ? J’ai besoin de voir Jake, j’ai besoin de lui parler, alors tu n’as pas le droit de m’éloigner de lui ! cria Juliane.
- J’ai tous les droits sur toi, et quoique tu dises, tu feras ta rentrée à Londres, chez ton père.

L’adolescente se leva et marcha jusqu’à sa chambre. Elle se jeta sur son lit et éclata en sanglots. Elle ne voulait pas partir. Elle ne voulait pas quitter Jake. Comment pourrait-elle faire sans lui ?

Ellen toqua à la porte et rentra dans l’antre de sa fille. Elle se mit à côté d’elle sur son lit et lui caressa doucement les cheveux.

- Tu sais Juliane, ce n’est pas contre toi si je fais ça. J’ai beau réfléchir à un moyen de te garder près de moi, je n’arrive pas à trouver. Je ne suis pas assez forte pour t’aider à remonter la pente. Je suis ta mère mais j’ai pourtant l’impression de n’être qu’une inconnu pour toi depuis l’accident. Je veux t’aider, mais tu ne fais que de me repousser. Mince Juliane, tu n’arrives pas à t’en remettre ! Je le vois bien que tu es en train de dépérir, petit à petit. Ton père peut t’aider. Je le sais. Cela te fera du bien de le retrouver. Fait ça pour moi, s’il te plaît. Je n’aime pas te voir souffrir… expliqua-t-elle.
- Je ne sais pas maman, fit Juliane entre deux sanglots. J’ai peur. Comment vais-je faire sans lui ? J’ai si peur du futur maman.
- Je sais ma puce, je sais, chuchota Ellen, en berçant sa fille. Mais va à Londres. Va voir ton père et souris.
- Très bien. J’accepte, mais seulement pour toi.
- Non, Juliane. C’est pour toi que tu vas faire tout cela. C’est pour toi que tu dois revivre.


31 août 2012.
10h25.


Juliane était dans l’avion la menant à Londres. Et elle stressait. Elle n’avait pas revu son père depuis déjà plus d’un an et ne savait comment celui-ci réagirait à sa venue, bien qu’il est été prévenu. L’aimait-il toujours autant ? N’aurait-il pas peur de l’était dans lequel était sa fille ? Avait-il prévu de juste l’héberger et de ne pas s’occuper d’elle ? Toutes ces questions tournaient dans la tête de Juliane. Elle avait l’impression que son crâne allait explosé avec toute cette pression qu’elle ressentait.

Après une heure de vol, l’avion atterrit enfin sur une des pistes de l’aéroport. Juliane soupira et resta un instant dans l’engin avant de descendre. Elle attendit que tous les passagers soient sortis pour partir à son tour. Elle avait besoin de souffler. Cela faisait déjà quelques années qu’elle n’était pas venue à Londres. La seule fois où elle avait passé plusieurs jours dans la capitale, c’était lors du divorce de ses parents, quand son père avait déménagé, loin d’elle et de sa mère. Cela restait un mauvais souvenir.

Une fois les passagers disparus, Juliane se leva et quitta à son tour l’avion. Elle allait passer la porte menant dans le hall de l’aéroport mais de loin, elle aperçut son père. Une bouffée de stress l’envahit et toutes qui les questions qui avaient quitté son esprit lui revinrent d’un coup. Avait-il changé ?

Doucement, elle s’approcha de son père. Quand ce dernier l’a vit, il lui sourit et la serra dans ses bras.

- Juliane, dit-il, je suis content de te voir !
- Je.. moi aussi papa, moi aussi.

Juliane mit ses bras autour du corps musclé de son paternel. Elle était heureuse. Heureuse de pouvoir le voir. Heureuse de pouvoir lui parler. Elle avait tant de choses à lui raconter. Dont la raison du pourquoi elle était ici, à Londres.

- Aller, suis-moi. On rentre à la maison.

La blonde acquiesça et le suivit jusqu’à la voiture. Elle s’installa confortablement sur le siège passager, mit ses écouteurs et regarda le paysage défilé devant ses yeux pendant que son père, Mark, conduisait.

Son portable vibra. Un message. Juliane l’ouvrit en vitesse. C’était sa mère.

« Ma chérie, j’espère que ton père t’a bien récupéré à l’aéroport. Comment tu te sens ? N’oublie pas que si tu as besoin de quoique ce soit, tu peux m’appeler. Tu me manques déjà. Je t’embrasse, maman. »

Elle rédigea une réponse rapide et brève. Juliane ferma sa messagerie et tomba sur son fond d’écran. Bim. Et un coup de poignard dans son cœur, un. Son fond d’écran, c’était lui. Jake. Il la serrait dans ses bras. Sur la photo, Juliane rirait aux éclats, pendant que Jake lui faisait un bisous dans le cou. Cette photo était superbe. Jake était avec Juliane, et c’était tout ce qui comptait pour elle.

Mais maintenant, c’était fini. Elle était partie. Pour Londres. Sans lui.

A cette pensée, les larmes lui montèrent aux yeux. Mais Juliane ne voulait pas pleurer. Pas encore. Elle avait déjà pleuré tant de fois en apprenant qu’elle devait partir loin de la personne qui comptait le plus pour elle.

Juliane ravala ses larmes avant que son père ne puisse le remarquer. Elle n’avait pas envie de l’inquiéter.

Au bout d’une demi-heure de trajet, la voiture s’arrêta enfin devant le porche d’une maison. Juliane en sortit, prit ses valises dans le coffre et entra dans la maison.

Une fois ses affaires installées dans sa chambre, la blonde alla dans la cuisine où elle retrouva son père. Ce dernier était en train de préparer à manger.

- Juliane, je fais des nouilles chinoises. C’est toujours ton plat préféré ? demanda Mark.
- Je…

Et bim. Un autre coup de poignard dans le cœur. Oui c’était son plat préféré. Oui elle aimait toujours autant les nouilles chinoises. Et oui ça lui fait mal parce que cela lui faisait penser à Jake. Lorsqu’ils avaient fait une bataille de nourriture avec ce plat-ci.

Elle n’en pouvait plus. Elle avait envie de pleurer, de crier. Aujourd’hui, elle avait passé sa journée à ressasser le passé. Son passé. Avec lui. Et c’était dur. Parce qu’il lui manquait. Jake lui manquait tellement.

Alors Juliane craqua. Les larmes coulèrent d’elles-mêmes, sans s’arrêter.

Remarquant ceci, son père s’affola et accouru vert elle.

- Juliane ! Que t’arrives-t-il ?
- Papa… il me manque ! Il me manque, il me manque, il me manque ! réussit-elle à dire.

Mark serra sa fille dans ses bras, essayant de la réconforter comme il le pouvait.

- Je sais, ma puce, je sais. Ta mère m’a tout raconté. Et je suis là. Je suis là pour toi Juliane.

Les sanglots de cette dernière s’intensifièrent à ces paroles.

- Pleure ma chérie. Si ça peut te faire du bien, pleure.

Son père était là. Pour elle. Parce qu’elle n’allait pas bien. Alors Juliane réalisa. Non, il n’avait pas changé. Son papa, l’homme qu’elle idolâtrait quand elle était petite, était toujours là pour elle.

Alors, le début d'une histoire.

Chapitre 1 ; L’ombre.


24 Décembre, 00H00.
« Enfin ce jour, celui que j’attendais… » me disais-je.
Voici que m’apparaît, sous l’ombre de mes souliers, un cadeau, puis deux et vous vous imaginez le reste…
Vers le sapin, m’attendais je ne sais combien de personnes. Mais moi, se que je voulais, ce n’étais pas d’allez la voir, ma famille, moi, ce que je souhaitais, c’étais de dormir profondément. J’allais m’écroulée. Des rides jusqu’à mon menton, j’étais morte de fatigue. « Oui, je ne suis pas comme les autres, et alors ? » pensais-je. C’étais sa, j’avais raison, j’étais spéciale. Pourtant ce soir la, je ne le pensais pas. Arg, il était déjà 00H20. Je crois que… Je… Puis, je m’endormis.

25 Décembre, 8H07.
J’ai très mal dormis hier soir, j’entendais les portes craqués, les enfants hurlés et c’étais une terrible symphonie qui commençais. Mais bon, maintenant, je ne pouvais plus me rendormir, j’étais définitivement réveillé et puis, comme me disais Alix, « Le monde appartient à ce qui se lèvent tôt ! » Alix, c’est ma meilleure amie, ma sœur, ma confidente. Elle avais perdue sa mère, disparue, il y a deux ou trois mois, je ne savais plus. Et quand n’était-il  de son père ? Lui, étais mort d’un cancer. Mais heureusement que ma maman, (même si elle à un cœur de pierre), l’avais adoptée. Oui, elle se blottissais sur moi en ce moment. Bref, je la réveillais quand une douleur  intense me vena aux canines. J’hurlais. Mon beau-père couru à toute vitesse dans ma chambre, affolé, bien qu’il ne savais pas quoi faire. « Non… Non… NON ! » baffouillais-je. Je détestais le sang, mais là, je devais bien me retenir de sanglotée de peur, même si je n’aimais pas le sang, rouge comme une rose, douloureux comme un clou qu’on nous enfonce dans le dos…

Que faut-il pour vivre ?
Manger, pour survivre.
Vas dehors et réspire.
Naitre, mourrir,
Pour ceux qui trouve sa pourris,
C'est votre avis,
C'est sa, quand on vie...,
C'est pensé a toi, moi, sous un toit ♥

Voila un petit poème

Une douce pureté caresse mon corps,
Non, je ne sens pas la mort,
Seulement le battement,
Le battement de mon coeur, plein de sang.
Rouge comme une pomme,
Exquis comme du rhum,
Sans un seul traitement de faveur,
Être masseur,
N'avoue pas la sincérité de mon coeur.
Pourquoi rire quand quelqu'un pleure ?
Jamais la saveur,
Ne remplacera ma soeur.
Un lapin, c'est mignon,
Pas comme un oignon...
Jamais plus je me laverais au savon,
C'est déjà moins bon qu'un bonbon,
Alors la rose qui se trouve là, juste à coté de toi,
Tu la traîte comment, tu ne l'as met pas sur le toit ?
Je bronze sous le soleil,
Brillant comme mille feux ou en se cachant derrière les groseilles ?
Gaston, Gaston, sois raisonnable !
Ne te cache pas sous l'érable !
Jamais un étais six,
Si deux étais le dix,
On s’ennuirais sous le feuillage,
De la barbe du grand sage !
Non, mon coeur ne résonne pas comme l'étoile du Berger,
Lui, veux la manger !
Quoi, quoi ? Ma devinette ne te conviens pas ?
Crées en une autre et on verra bien, que même avec des chocolats,
La vie n'est qu'un ennui
Ou l'on s'amuse que la nuit.

Pyranah c'est super bien:cro05:, mais sans vouloir être méchante, les mots sont un peu "enfantins" pour un poésie ça manque de vocabulaire développé... Genre "marrant3, "grognon", ça fait pas vraiment poème:cro01:...
Sinon moi je rêve de devenir écrivaine ou dessinatrice (j'adooore les mangas)
mezou, ton texte est juste SUBLIME ! Je l'adore:coeur:

De l'autre coté du bois ,
Je voit un rongeur vetu de soie ,
Il me fait des petits de crits ,
Et me remércie ,
De lui avoir rendu sa libértée ,
Tant convoitée.

SVP, dites-moi votre avis sur mon histoire et tout c'est un peu décourageant