Cromimi - 1° gioco online gratuito di animali domestici virtuali

Je ne sais pas quoi vous dire, "alors ne dit rien", vous me direz et si je ne dit vous me demanderez, "pourquoi tu ne dit rien ?"
Bref, du coup, puisque j'ai décider de parler, je ne vais pas parler pour ne rien dire et je vais vous faire quelques poèmes "à la minute" :

je t'adore et tu le sais,
Tu sais que tu me plaie,
mais j'ai besoin de te le dire,
peut être pour m'en souvenir,
ou juste pour te faire rire,
car j'aime par dessus tout ton sourire.

L'âme poétique,
c'est bien classique,
mais c'est pour toi,
que j'écris cela,
pour que tu sache que je suis là,
si jamais tu as besoin de moi.

sourire d'élite
ou sourire classique,
qu'elle importance
viens donc et danse,
je t'emmène,
dans une jolie pleine,
pour te faire rêver
et pour te faire voyager.

Sous le cerisier,
si beau et enchanté,
je me suis allongée
pour t'écouter
et je suis restée
toute la matinée,
tu as chanté
et je me suis envolée.

L'amour ne dure pas toujours,
il faut l'accepter et le respecter,
pour recommencer à aimer
et cela, peut être pour l’éternité...

Voilà, des avis sur mes petits poèmes ? (certes un peu répétitif)

Enkisheena a écrit :

Je ne sais pas quoi vous dire, "alors ne dit rien", vous me direz et si je ne dit vous me demanderez, "pourquoi tu ne dit rien ?"
Bref, du coup, puisque j'ai décider de parler, je ne vais pas parler pour ne rien dire et je vais vous faire quelques poèmes "à la minute" :

je t'adore et tu le sais,
Tu sais que tu me plaie,
mais j'ai besoin de te le dire,
peut être pour m'en souvenir,
ou juste pour te faire rire,
car j'aime par dessus tout ton sourire.

L'âme poétique,
c'est bien classique,
mais c'est pour toi,
que j'écris cela,
pour que tu sache que je suis là,
si jamais tu as besoin de moi.

sourire d'élite
ou sourire classique,
qu'elle importance
viens donc et danse,
je t'emmène,
dans une jolie pleine,
pour te faire rêver
et pour te faire voyager.

Sous le cerisier,
si beau et enchanté,
je me suis allongée
pour t'écouter
et je suis restée
toute la matinée,
tu as chanté
et je me suis envolée.

L'amour ne dure pas toujours,
il faut l'accepter et le respecter,
pour recommencer à aimer
et cela, peut être pour l’éternité...

Voilà, des avis sur mes petits poèmes ? (certes un peu répétitif)

Salut !

Alors , commençons : Hum , hum ,j'ai cré ce petit poème quand j'ai su que j'ai faillit avoir des places pour le concert des 1D à Paris Bercy le 29/04 :$ et qu'elles ont été vendues :'( :

Un jour,
Je vous verrais.
Pas à travers la télé,
Mais en vrai.
Vos billets,
Ont tous étés arrachés,
Par vos fans enragés.
Je voulais en faire partie,
Mais c'était fini!
Je ne désespère pas,
Je suis juste un peu déprimée...
La prochaine fois,
Ca ne se reproduiera pas!
Je le promets,
Je le jure,
J'aurais un billet,
Ca c'est sûr!

Voilà ...J'ai crer ce poème pour ma déprime Directionnale ... J'en suis pas très fière , il est pas super :$ Y'a même pas de titre !Bref c'est ne grosse mxrde ....  

Dernière modification par lilouchien11 (Le 02-04-2013 à 13h03)

lilouchien11: beau poème moi aussi j'ai failli aller les voir

Enkisheena a écrit :

Je ne sais pas quoi vous dire, "alors ne dit rien", vous me direz et si je ne dit vous me demanderez, "pourquoi tu ne dit rien ?"
Bref, du coup, puisque j'ai décider de parler, je ne vais pas parler pour ne rien dire et je vais vous faire quelques poèmes "à la minute" :

je t'adore et tu le sais,
Tu sais que tu me plaie,
mais j'ai besoin de te le dire,
peut être pour m'en souvenir,
ou juste pour te faire rire,
car j'aime par dessus tout ton sourire.

L'âme poétique,
c'est bien classique,
mais c'est pour toi,
que j'écris cela,
pour que tu sache que je suis là,
si jamais tu as besoin de moi.

sourire d'élite
ou sourire classique,
qu'elle importance
viens donc et danse,
je t'emmène,
dans une jolie pleine,
pour te faire rêver
et pour te faire voyager.

Sous le cerisier,
si beau et enchanté,
je me suis allongée
pour t'écouter
et je suis restée
toute la matinée,
tu as chanté
et je me suis envolée.

L'amour ne dure pas toujours,
il faut l'accepter et le respecter,
pour recommencer à aimer
et cela, peut être pour l’éternité...

Voilà, des avis sur mes petits poèmes ? (certes un peu répétitif)

Merci beaucoup !!!
lolobaulse, je trouve que le tiens est quand même mieux !!!
lilouchien aussi il est cool !

bon, je n'ai toujours pas recopiés mes textes mais il va bien falloire que je m'y mette... !!!

oui, tout a fait d'acore avec toi ! ^^ Mais moi je l'ai déjà écrit à la main en fait et je dois tout recopier à l'ordi pour pouvoir vous les montrer... --'

Enkisheena a écrit :

Merci beaucoup !!!
lolobaulse, je trouve que le tiens est quand même mieux !!!
lilouchien aussi il est cool !

bon, je n'ai toujours pas recopiés mes textes mais il va bien falloire que je m'y mette... !!!

^^ oui alors continu à en écrire !
Si vous êtes intéressés, j'ai lancé une nouvelle discutions : La vie c'est comme....
je vous invite à venir continuer cette phrase en vous rendant sur la page !
Merci !!!

Bon mon nouveau poème ^^ !

Seule dans la nuit
Je m'évade de mon lit
Rejoindre la mélancolie
Mon amie ... 
Je me balade
Sous un arbre
A minuit
Je m'évade de mon lit
Trahis
Par la vie
Vieillie
Ainsi ...

eh, c'est super joli !
à moi :

A la pâle lumière de la lune,
toutes là se reflétaient,
les magnifiques runes,
que tous oubliaient.
Dès le petit matin,
chaque passant
perdaient le refrain,
ainsi que son enchantement.

Seuls tes yeux,
se reflétant dans l'eau pure,
et illuminés d'un soleil radieux,
peuvent tout ranimer pour ceux qui y crurent.
Mais à quoi cela sert-il ?
puisque le lendemain,
ce n'est plus qu'un fossile,
au creux de ta main...

                                                               Solène alias Enkisheena:cro01:

Sous la brise du matin,
Le soleil nous fait un clin,
Une journée de beau temps,
Nous attends,
Mais le lendemain,
Des nuages remplacent le soleil,
On entend plus le bourdonnement des abeilles,
Adieu,journée des merveilles!


Alors?

Sur le sentier de l'école,
Vers le lycée viticole,
La pâle violette,
Met sa collerette,
Les fleurs sont des merveilles à remplir 1 000 corbeilles,
Un seul mot signifie ceci,
Ce mot,il nous sourit:
Printemps

Qu'en pensez vous?

lolobaules, les runes sont des signes imaginaires, le runique est une écriture complexe faite de runes !
sinon, ton poème est très joli a toi aussi... et lafleur6 aussi, bravo !!!

Bravo pour vos poèmes!!

Enkisheena a écrit :

lolobaules, les runes sont des signes imaginaires, le runique est une écriture complexe faite de runes !
sinon, ton poème est très joli a toi aussi... et lafleur6 aussi, bravo !!!

Dernière modification par t-miss (Le 04-04-2013 à 19h17)

coeur-de-citron a écrit :

coeur-de-citron a écrit :

Dans l'encre d'une poète

PROLOGUE

Le bruit mélodieux de la pluie enchantait son esprit. Elle était toujours dans les nuages. 
Les poèmes emmenait sa vie dans un monde où tous serait parfait. Un monde où une longue rivière coulerait à flots et non loin une cascade couleur rêves et à la place des poissons, des notes de musique si douce qu'elles pourrait endormir n'importe qui. Dans le ciel, non pas des oiseaux mais des plumes d'argent aux reflets dorés, objet fétiche des poètes, le soleil et la pluie, remplacés par la joie et la tristesse. Quand elle arrivait dans ce monde, quand Nora arrivait dans ce monde,
elle portait une robe de parchemin déjà utilisés par des poèmes en latin, des souliers aux couleurs des pleurs, dans ses cheveux, un ruban en soie maintenait son chignon où s'écoulait un rideau de paillettes délicat, une plume de velours en guise de pendentif, une chaîne en argent l'empêchait de tomber, une paire de boucles d'oreilles clé de sol donnait toute sa beauté à Nora. Tous les soirs, elle se rendait dans ce monde où au théâtre des rimes , un spectacle se déroulait. Des violons, des pianos et des harpes magiques faisait tinter leurs cordes, pendant que des cigales et des papillons font danser leurs cordes vocales. Ils chantaient d'une manière éblouissante. Mais comme tous les enfants, Nora va à l'école. Son imagination dépend de ses notes, en effet, Nora n'était pas très forte en matière d'école. Ses quelques amies tenaient beaucoup à elle et aimaient beaucoup ses poèmes et elles admiraient son imagination. Nora n'était pas une fille ordinaire, elle avait un talent, les poèmes et elle sont fait l'un pour l'autre. Pour Nora, une fleur n'est pas simplement une fleur, c'est LA source d'inspiration, sur chaque pétale, un thème différent. Dans la vraie vie, Nora est une jolie jeune fille de 12 ans, aux longs cheveux lisses châtain clair qui arrive en dessous de ses épaules, aux joues roses, aux longs cils et aux beaux yeux verts émeraude. Elle est mince et fait la même taille que la plupart de ses camarades, elle empoche toujours un sourire éblouissant. Ses parents sont très riche et elle habite dans une immense demeure, un très grand jardin avec plusieurs allées et un potager et des magnfiques jardins floraux. Parfait, pour écrire le plus beau des poèmes.

Avis ?
devinez de quoi ça va parler ^^ !

encore une journée qui commence,
le soleil, hyppocrite se lève...
il illumine mes jours de peine,
me les faisant voir et vivre au centuple.
dans cet abysse là même où je vis,
ou seul la solitude est fidèle ami sincère...
oui...ami muet qui en vaut mille bavard,
qui multiplierait mes soucis,
et m'en donnerait de nouveau,
les uns plus troublant que les précédents,
amis bavard, qui à mes maux ferait un pacte.
mais, pourrai-je encore survivre,
à une journée identique à celle d'hier,
emplis de désespoir, et de souffrance,
pourrai-je encore subsister,
à cette journée, sans m'en aller vers l'au delà,
visiter les squelettes et les ancêtres...?






allons donc au tombeau des amours,
nous recueillir sur un sentiment oublié,
que j'ai déjà donné,
et qui repose sous un marbre blanc...

cœur-de-citron : joli début...je sais pas comme elle a l'air d'aimé l'écriture, peut-être qu'il lui arrivera un malheur dans le genre elle ne pourra plus écrire ou lire sous peine de mort...? bon je raconte n'importe quoi. vivement la suite!!

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Chapitre 1 - L’ombre.


Vendredi 24 Décembre, 00H00

Voici que m’apparaît, sous l’ombre de mes souliers, un cadeau, puis deux et vous imaginez le reste… Vers le sapin, m’attendent je ne sais combien de personnes. Mais moi, ce que je veux, c’est de ne pas la voir, ma famille, moi, ce que je souhaite, c’est dormir profondément. Je m’écroule. Des rides jusqu’à mon menton, je suis morte de fatigue. « Oui, je ne suis pas comme les autres, et alors ? » pensais-je. C’est ça, j’ai raison, je suis « spéciale ». Pourtant ce soir-là, je ne le pense pas. Hum, il est déjà 00H20. Je crois que… je… , je m’endors.

Samedi 25 Décembre, 8H07

J’ai très mal dormi hier soir, j’entendais les portes craquer, les enfants hurler et c’était une terrible symphonie qui commençait. Mais bon, je ne pouvais plus me rendormir, j’étais définitivement réveillée et puis, comme me disait Alix, « Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt ! » Alix, c’est ma meilleure amie, ma sœur, ma confidente. Elle a perdu sa mère, disparue, il y a deux ou trois mois, je ne sais plus. Et qu’en était-il  de son père ? Lui était mort d’un cancer. Mais heureusement que ma maman, même si elle a un cœur de pierre, l’a adoptée. Oui, elle se blottissait sur moi à ce moment. Je la réveilla quand une douleur  intense me vint aux canines. J’hurlais. Mon beau-père courut à toute vitesse dans ma chambre, affolé, bien qu’il ne savait pas quoi faire. « Non… Non… NON ! » bafouillais-je. Je détestais le sang, mais là, je devais bien me retenir de sangloter de peur, même si je n’aimais pas le sang, rouge comme une rose, douloureux comme un clou qu’on nous enfonce dans le dos… Car voici les quelques mots qui caressèrent mon oreille : « Ta fille est… une… » murmurait mon beau-père soudainement coupé par une voix enrouée, celle de ma mère ; « Oui, mais ne… Ne t’en vas pas… Reste ! » Mais aux derniers mots, il était déjà parti, laissant une pauvre femme, malade, avec deux enfants, innocents.

Samedi 25 Décembre, 18H41

L’ambiance était morose, ce soir là. Alix et moi avions pleuré des heures, sans manger, de plus, on ne savait pas de quoi parlait vraiment Delphine, tout à l’heure, ma mère. Mais nous ne pouvions pas rester là, toutes trois, plantées comme des piquets, dans le fond du canapé troué, qui sentait les poils de barbes de mon beau-père. Alors maman décida de nous avouer une chose.

Chapitre 2 - La Chose

Dimanche 26 Décembre, 5H24

Après ce que ma mère nous eût dit, à Alix et moi, je n’arrivais pas à dormir, surtout avec la tête d’ours sur le mur, devant ce lit tout cassé où je devais me coucher. Ces mots, avant que Delphine nous emmène dans cette mystérieuse maison, avec cette méchante dame qui ressemble à une sorcière, nous eût dit : « Mes chers enfants, je… Je vais mourir. Car, voyez-vous, j’ai une maladie plus grave que vous le pensez… Désolée, je dois vous emmener à l’orphelinat de Saint-Hubert, le village non loin d’ici. » Je me disais : « Pourquoi maman… Pourquoi tu nous fais souffrir ? » Mais je ne pouvais pas ruminer toute la nuit, car il fût bien que je dorme, pour soit disant « travailler ».

Dimanche 26 Décembre, 13H00

Cette vieille dame, méchante, avec son nez crochu, s’appelle Mme Julie. Elle me dit sans arrêt : « Travaille pauvre enfant, travaille ! ça te fera une belle jambe. » Arghh… J’ai envie de la frapper, pour qu’elle atterrisse en enfer ! Quelle vilaine femme… Bref, je devrai encore laver le sol, donc à demain…



Lundi 27 Décembre, 6H13

J’ai encore mal dormi, mais bon, je vais m’habituée… Alix étais terroriser et avais prévue une escape pour ce soir mais bon, je doutais que sa allais marcher, de plus, je lui avais dis : « Il serais plus raisonnable de rester, au moins, ou nous sommes, on mangent.» Alors c’est là qu’avais commencé la plus horrible des disputes que j’aurais pue faire…

Mardi 28 Décembre, 1H03.
L’heure du crime. Nous allions sortir nos sacs, cachés sous notre oreiller, peu douillet, et nous nous étions enfui, dans la nuit, dans la rue, entre deux bennes Alix avais eu la plus mauvaise des idées, en plus, comme on s’étaient disputées, c’étais la catastrophe. On avaient froid, faim, on sanglotaient et puis, tout d’un coup, Alix s’écroula et c’étais là que tout allais s’aggravé… Je sentais des picotements dans mon pull… J’hurla.

Chapitre 3 ; Les ailes

Mardi 28 Décembre, 9H35.
Après de longues attente, Alix ouvrit les yeux et se sentit paniquée. « Mais ! Quesque… Luna !! » disait-elle.
« Ne t’inquiète pas, je vais te protégé, je te pardonne. » la rassurais-je. Je lui souriais puis je me recroquevilla dans la neige. Oh oui ! La neige, qui tombais, qui mouillais, comme si la pluie s’était lassée et qu’elle partais… Alix, bien rassurée, me proposa de faire un bonhomme de neige. Très peu loin de là où nous étions, se trouvais un magasin de jouet. C’étais magnifique !

Mardi 28 Décembre, 12H09.
Oh ! Je venais de me rappeler qu’aujourd’hui c’est l’anniversaire d’Alix ! Dire qu’on fêtaient sa dans… Une benne ! C’étais à penser qu’on étais vraiment de pauvres filles. Quand je repensais à se magasin… J’avais tellement envie d’entrer dedans, me jeter dans les bras du Père Noël ! Oui, j’y croyais dur comme fer, à cette époque, au Père Noël. J’avais 10 ans et Alix 8. D’un coup, je sentis des larmes couler sur mes joues, toutes rouges tellement j’ai froid… « Mes enfants, vos vies ne vaux pas sa ! » je crus entendre. Je poussa un cri terrifiant. Alix sursauta devant moi, comme un ange qui s’envole dans la nuit sombre…

Mercredi 29 Décembre, 3H50.
Voilà que je me réveillais, secouée. Je n’arrêtais pas de bouger, pourquoi ? De plus, je n’étais pas stressé ! Comment… « AAH ! ! ! » hurlais-je. Que se passait-il ? D’un coup, je fus soulever au dessus du sol. Je pris si peur que j’eu l’impression de m’envoler ! Et malheureusement, je découvrais qu’en faite, je volais vraiment… Je vus de mes propres yeux, brillant comme trois soleil, fougueux comme un démon, que j’avais… Des ailes ! Mais pas blanche, noire…

Jeudi 30 Décembre, 11H23.
J’étais bouleverser d’hier. Ma tête tournais et faisait un bruit comme : « Tiic… Taac… » J’étais déboussolée. Mes ailes étais recroquevillées sur mes bras. Mes cheveux s’envolais au-dessus de la cheminée ou j’étais assise.
Dire que j’avais abandonnée Alix… Oh, oui ! ALIX ! Soudain, je m’envola à toute vitesse vers la benne ou j’étais hier soir.

Jeudi 30 Décembre, 12H23.
Quand je suis arrivée, Alix étais écroulée dans la neige, pleine d’éraflures. Je me suis sentis… Mal ! Qu’ai-je fait ? Ma meilleure amie, ma sœur… abandonnée ! Je suis horrible ! Mais… Je ne peux pas rester avec elle… Car vue que je suis mi-vampire, mi-ange noir, (j’ai cherché sur un livre qui avait été laissé au bord de la rue d’hier), ce serait trop dangereux, je pourrais l’étrangler, la transformée, la faire mourir… Enfin tout et n’importe quoi que peuvent faire les anges noirs et vampires ! bafouillais-je dans mon col roulée bleu foncée. Je resta en pleur quelques minutes, puis je m’envola je ne sais où, mais très loin d’ici.
Chapitre 4 ; Le manoir



Vendredi 1er Janvier, 3H06.
Quand je suis enfin arrivée dans un endroit bien assez loin d’Alix, enfin je pense,  je me coucha sur la marche d’un escalier d’une sorte de manoir. Il était immense, avec ses volets noirs et ses nuances de violet à travers les fissures de la porte… Mais je n’eu pas le temps de me lamenté plus longtemps, car une jeune fille, très belle, avec un regard… hypnotique… Soudain, d’un ton sec, en me regardant, elle me dit ; « Si vous êtes là, cela signifie que vous connaissez votre nature. Entrez. » J’hésita un moment mais je fus obliger d’entré. Une autre jeune fille, toute mignonne, mais toujours avec le même regard impassible, m’expliqua pourquoi je suis spéciale. « Vous êtes mi-ange noire, mi-vampire, se qui veux dire que votre mère l’étais, ainsi que votre demi-sœur. Car même si elle n’est pas vraiment de votre famille, elle a forcément un pouvoir, sinon, ta mère ne l’aurait jamais adoptée. Jeune fille, ici nous sommes dans un internat pour apprenti vampires et anges noires. Il n’y a que des filles, a côté de la mairie de cette rue, un autre internat ce cache, spécialement pour garçons. Maintenant, veux-tu m’excuser, je m’absente. » Qu’allait-elle faire ? Sa, je ne sais pas.

Samedi 2 Janvier, 11H32.
Je cru d’abord, en me réveillant, d’être dans un autre monde, puis, quelqu’un me toucha. Je fus si étonnée que je resta un moment immobile avant de me lever et de demander où est la salle de bain. Comme la personne de tout à l’heure est parti, j’alla dehors et je tomba contre un garçon. Il était si beau… Il m’éblouit… Il m’envoûte ! Il transportait un violon. Ainsi la conversation débuta :
« -    Je… Excusez-moi mademoiselle. Me dit-il d’un air doux .
-      Non, non… Je… Vous êtes… ? Et pourquoi tout le monde se vous voie ici ? lui répondis-je gêné.
- Jonathan Roswel. Pardonnez-moi mais je dois m’absenter. Au faite, je suis un vampire ! »
Puis il part, pressé. Jonathan ne m’a pas complètement répondu. Mais bon, je vais continuée de chercher une personne qui pourrait me dire où se trouve une salle de bain pour que je me voie. Quand je trouva enfin quelqu’un, ce fut la fille d’hier, mignonne mais qui semple être sans sentiment. Elle a des ailes grise, avec quelques nuances rouge sang. Un regard triste et des cheveux argentés, avec des couettes lisse. Elle bafouille et je ne comprend pas ce qu’elle dit mais je compris quand même qu’elle s’appelait Rosalia car quand elle croisa mon regard, elle me dit sans hésité ; « Partez.» Bref, sur ces mots, je m’en alla. Quand je suis revenue à l’internat, la jeune fille d’hier, avec son regard hypnotisant, me dit ; « Moi, je m’appelle Utau Ricci. Tu dois être celle d’hier, Luna Blue. Vien. » Utau avait une peau pâle. Elle avança lentement, jusqu’à ce qu’on arrivent devant un miroir. Quelque tâche de sang recouvrait les murs du couloir. D’un seule coup, je fus pousse dans une salle. Enfin, je me regarde et je me vois. A moitié. Sa semble logique, je suis mi-vampire. Alors voilà comment je me vus… Mes yeux bleu très clair, en amande, avait une nuance de rouge. Ma peau était si blanche que mon cerveau se décomposa devant le miroir (enfin c’est une expression). Mes couettes, toujours un peu bouclés, était longue, à peu près jusqu’à mes hanches. Mes cheveux sont d’un brun… Impressionnant ! Quelques mèches bleus attirent mon regard. Quand je finis enfin de contemplé mes cheveux, je regarda mes ailes noires. Mes plumes sont si belles ! Je me lança un regard un peu fière, puis, je fus poussée sur une chaise.

Dimanche 3 Janvier, 00H01.
Jonathan était ici. Pourtant je croyais que les garçons et les filles devaient être séparés ! Bizarre… Soudain, il me parle :« Tu ne discute pas beaucoup, alors je vais te raconter ma vie qui pourrait te paraître peut-être un peu étrange pour toi… Quand je suis née, j’avais déjà des ailes. Tout le monde me voyait pareil : un petit garçon, méchant, qui pourrait être dangereux, sans sentiment. Pourtant, j’avais un fort sentiment qui m’étais parut un jour, l’amour. Désormais, à mon avis, personne ne me verra comme avant. » Me disait-il d’un air séduisant. Je rougis. Il me regarda longuement, puis, il part. Rosalia arrive en courant, que se passe-t-il ? Elle accourrait vers moi et me dit toujours avec cette air de « sans cœur » : « Bonjour, Luna… Je serais ta colocataire de chambre. Alors viens avec moi que je t’explique mon histoire. » Lorsque nous sommes arriver, elle m’explique ; « Comme tu dois le savoir, ici, il n’y a que des étranges personne. Par exemple, mon… Non, oublie en faite. Je te raconterais tout… peut-être plus tard. » Puis elle s’en alla d’un pas maladroit. Une jeune fille entre soudain dans la chambre ; « Bonjour, je m’appelle Charlotte ! Je serais votre voisine de chambre, à vous et Rosalia ! Je suis très heureuse de t’accueillir dans notre lycée. » Charlotte, elle, a un regard doux de ses yeux bleu nuit. Je dévisage alors son visage. D’un coup, je m’endors…

Mardi 5 Janvier, 14H19.
Quand je me réveille, un foule de fille me regarde de tout les cotés. Je me suis sentis gêné puis, je me frotte les yeux. Une grande fille, avec le regard sévère mais doux, des cheveux tressés aux mèches dorées, un sourire un peu narquois me lança d’un air sadique : « Tiens, la feignasse se réveille… Tu aurais pue te rendre compte qu’ici c’est un lycée, un internat, pas ta maison qui doit être affreuse avec… » Coléreuse, je lui répond : « Tu ne te gènes pas… Car sûrement que tu ne me connaît pas ! Je travaillais dur, très dur pour maman et Alix ! Et quand papa est partis, tu crois que j’étais heureuse ? J’ai du fuguer d’un orphelinat horriblement loin ! Tu ne sais pas comment je vis… Je pourrais bien passer des heures à compter le cauchemar que je vis !… » Puis je m’enfuis de la chambre en courant, en pleurant de la grêle… Bien sur c’est une expression. Je fonce sur un garçon. Rhô qu’il ait beau… Pour casser le silence qui c’était installer, il dit :  « Excuse moi. Tu ais… Luna ? Euh et bien désolée de t’être foncé dedans, je… Eum… On se retrouve en cours ! » Comment sa, « en cours » ? ! Je croyais que les garçons et les filles étaient séparés… Ah oui, sûrement une farce. Bref, je vais je ne sait où, indécise. Encore douteuse, je rentre dans une salle appeler « Classe Soleil, 4B ». Un grand homme me regarde, étonné. « Que… Pourquoi êtes-vous dans la classe de magie 4B Soleil ? » me dit-il d’une voix qui porte. Je lui réponds clairement :  « Hum… Je… Je devais aller dans la classe de maths alors je me suis trompé et… » Je suis coupé par la douce voix de Rosalia : « Monsieur, elle c’est simplement perdu, et elle est entrée, puis, par chance, elle est tombée sur sa classe. » J’entre complètement dans la classe. Le grand homme me dévisagea et me dit de me mettre à coté d’un garçon nommé « Nicolas ». Ce « Nicolas » lève la main, je m’assoies. Il me regarde. Je fuis son regard… Pourtant, je me perd dans ses beaux yeux… Soudain, le prof m’interroge. Confuse, je bafouille ces quelques mots dans mon pull :  « 3 459 ? » En faite, je ne savais absolument pas ce qu’il avait dit avant, ni la question qu’il avait posé, mais j’ai dis « 3 459 ? »… En même temps, je suis bête de me noyer le regard dans les yeux de Nicolas. Il est petit, brun, les yeux verts rouges pétillants, un regard timide, la bouche fine et de douces mains. Je rougis.
Chapitre 5 : La mission
Jeudi 14 Février, 12H05.
Après presque un mois d’apprentissage, je vais commencer ma première mission. Depuis j’ai rencontrés pleins de gens (Rosalia, Nicolas, Jonathan, Nathanaëlle, les yeux au regard perçants et sans sentiment, aux cheveux blond très clair, à peine argentés, de taille normale, c’est un ange noir, comme moi… Il y a aussi Charlotte, Luna, Alix, au même prénom que ma sœur et qui lui ressemble étrangement, Lolita, une fille aux cheveux très longs et lisses, grande, un visage sympathique, est une sorcière très belle et gentille et poli ! Solène, une super fille très courageuse mais sans amis qui est pourtant très, mais alors très belle… Malheureusement je connais aussi ces vipères de Tatiana et Coline. Maxime,  lui, est mystérieux, je ne le connais pas trop… Mais en tout cas il à les cheveux mi-longs, roux, des yeux magnifique, à tombés par terre… Et une magie impressionnante ! C’est un mage de l’air… Grey, lui, est solitaire, a les cheveux bleus argentés. Il a un tatouage d’une forme étrange qui signifies qu’il est née à Cyllia, un village situé au nord-ouest de l’Argentine. Il y a aussi Jessy, un gars plutôt attachant. Il est très gentil et courageux, malheureusement, on lui a brisé son cœur et sa magie le brûle, (vus que c’est un mage du feu…). Jess est son surnom. Il a une chevelure rousse rouge, avec quelques mèches oranges foncés. Lui, il a un tatouage de June Saylle.) je ne m’ennuis plus. En tout cas, maintenant que j’ai ma mission,  je vais me mettre en route pour allez dans une guilde, pour combattre le… Mais je ne pus finir ma pensé que Solène me tire ma veste. Quelle idiote ! Bon, on se met en route…

Jeudi 14 Février, 23H57.
Nous sommes arrivées à la guilde (Soul-Saild), nous cherchons un petit bâtiment discret, rouge foncé, presque bordeaux, pour peut-être le coincé. Qui ? Et bien, le « le diable ». La personne n°1 du top 20 des meilleurs mages de la région. Dans Smagie’s Magazine, on y trouve tout un tas d’information. Bref, reprenons la recherche. J’entends des bruits. Solène tremble comme une feuille. Elle est accroché à ma jambe toute irritée. Le bruit se rapproche. D’un seul coup, nous sommes bousculé puis enfermé… Peut-être qu’on est attrapé par le diable ?

C'est merveilleux tout ces poèmes! Vous êtes tous très douée! C'est magnifique!
Personnellement, je ne suis pas trop poète où écrivaine, mais je devrais peut-être m'y risquez parfois ^^

En attendant, je me régale de vos jolies phrases!

Lovelymour a écrit :

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Chapitre 1 - L’ombre.


Vendredi 24 Décembre, 00H00

Voici que m’apparaît, sous l’ombre de mes souliers, un cadeau, puis deux et vous imaginez le reste… Vers le sapin, m’attendent je ne sais combien de personnes. Mais moi, ce que je veux, c’est de ne pas la voir, ma famille, moi, ce que je souhaite, c’est dormir profondément. Je m’écroule. Des rides jusqu’à mon menton, je suis morte de fatigue. « Oui, je ne suis pas comme les autres, et alors ? » pensais-je. C’est ça, j’ai raison, je suis « spéciale ». Pourtant ce soir-là, je ne le pense pas. Hum, il est déjà 00H20. Je crois que… je… , je m’endors.

Samedi 25 Décembre, 8H07

J’ai très mal dormi hier soir, j’entendais les portes craquer, les enfants hurler et c’était une terrible symphonie qui commençait. Mais bon, je ne pouvais plus me rendormir, j’étais définitivement réveillée et puis, comme me disait Alix, « Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt ! » Alix, c’est ma meilleure amie, ma sœur, ma confidente. Elle a perdu sa mère, disparue, il y a deux ou trois mois, je ne sais plus. Et qu’en était-il  de son père ? Lui était mort d’un cancer. Mais heureusement que ma maman, même si elle a un cœur de pierre, l’a adoptée. Oui, elle se blottissait sur moi à ce moment. Je la réveilla quand une douleur  intense me vint aux canines. J’hurlais. Mon beau-père courut à toute vitesse dans ma chambre, affolé, bien qu’il ne savait pas quoi faire. « Non… Non… NON ! » bafouillais-je. Je détestais le sang, mais là, je devais bien me retenir de sangloter de peur, même si je n’aimais pas le sang, rouge comme une rose, douloureux comme un clou qu’on nous enfonce dans le dos… Car voici les quelques mots qui caressèrent mon oreille : « Ta fille est… une… » murmurait mon beau-père soudainement coupé par une voix enrouée, celle de ma mère ; « Oui, mais ne… Ne t’en vas pas… Reste ! » Mais aux derniers mots, il était déjà parti, laissant une pauvre femme, malade, avec deux enfants, innocents.

Samedi 25 Décembre, 18H41

L’ambiance était morose, ce soir là. Alix et moi avions pleuré des heures, sans manger, de plus, on ne savait pas de quoi parlait vraiment Delphine, tout à l’heure, ma mère. Mais nous ne pouvions pas rester là, toutes trois, plantées comme des piquets, dans le fond du canapé troué, qui sentait les poils de barbes de mon beau-père. Alors maman décida de nous avouer une chose.

Chapitre 2 - La Chose

Dimanche 26 Décembre, 5H24

Après ce que ma mère nous eût dit, à Alix et moi, je n’arrivais pas à dormir, surtout avec la tête d’ours sur le mur, devant ce lit tout cassé où je devais me coucher. Ces mots, avant que Delphine nous emmène dans cette mystérieuse maison, avec cette méchante dame qui ressemble à une sorcière, nous eût dit : « Mes chers enfants, je… Je vais mourir. Car, voyez-vous, j’ai une maladie plus grave que vous le pensez… Désolée, je dois vous emmener à l’orphelinat de Saint-Hubert, le village non loin d’ici. » Je me disais : « Pourquoi maman… Pourquoi tu nous fais souffrir ? » Mais je ne pouvais pas ruminer toute la nuit, car il fût bien que je dorme, pour soit disant « travailler ».

Dimanche 26 Décembre, 13H00

Cette vieille dame, méchante, avec son nez crochu, s’appelle Mme Julie. Elle me dit sans arrêt : « Travaille pauvre enfant, travaille ! ça te fera une belle jambe. » Arghh… J’ai envie de la frapper, pour qu’elle atterrisse en enfer ! Quelle vilaine femme… Bref, je devrai encore laver le sol, donc à demain…



Lundi 27 Décembre, 6H13

J’ai encore mal dormi, mais bon, je vais m’habituée… Alix étais terroriser et avais prévue une escape pour ce soir mais bon, je doutais que sa allais marcher, de plus, je lui avais dis : « Il serais plus raisonnable de rester, au moins, ou nous sommes, on mangent.» Alors c’est là qu’avais commencé la plus horrible des disputes que j’aurais pue faire…

Mardi 28 Décembre, 1H03.
L’heure du crime. Nous allions sortir nos sacs, cachés sous notre oreiller, peu douillet, et nous nous étions enfui, dans la nuit, dans la rue, entre deux bennes Alix avais eu la plus mauvaise des idées, en plus, comme on s’étaient disputées, c’étais la catastrophe. On avaient froid, faim, on sanglotaient et puis, tout d’un coup, Alix s’écroula et c’étais là que tout allais s’aggravé… Je sentais des picotements dans mon pull… J’hurla.

Chapitre 3 ; Les ailes

Mardi 28 Décembre, 9H35.
Après de longues attente, Alix ouvrit les yeux et se sentit paniquée. « Mais ! Quesque… Luna !! » disait-elle.
« Ne t’inquiète pas, je vais te protégé, je te pardonne. » la rassurais-je. Je lui souriais puis je me recroquevilla dans la neige. Oh oui ! La neige, qui tombais, qui mouillais, comme si la pluie s’était lassée et qu’elle partais… Alix, bien rassurée, me proposa de faire un bonhomme de neige. Très peu loin de là où nous étions, se trouvais un magasin de jouet. C’étais magnifique !

Mardi 28 Décembre, 12H09.
Oh ! Je venais de me rappeler qu’aujourd’hui c’est l’anniversaire d’Alix ! Dire qu’on fêtaient sa dans… Une benne ! C’étais à penser qu’on étais vraiment de pauvres filles. Quand je repensais à se magasin… J’avais tellement envie d’entrer dedans, me jeter dans les bras du Père Noël ! Oui, j’y croyais dur comme fer, à cette époque, au Père Noël. J’avais 10 ans et Alix 8. D’un coup, je sentis des larmes couler sur mes joues, toutes rouges tellement j’ai froid… « Mes enfants, vos vies ne vaux pas sa ! » je crus entendre. Je poussa un cri terrifiant. Alix sursauta devant moi, comme un ange qui s’envole dans la nuit sombre…

Mercredi 29 Décembre, 3H50.
Voilà que je me réveillais, secouée. Je n’arrêtais pas de bouger, pourquoi ? De plus, je n’étais pas stressé ! Comment… « AAH ! ! ! » hurlais-je. Que se passait-il ? D’un coup, je fus soulever au dessus du sol. Je pris si peur que j’eu l’impression de m’envoler ! Et malheureusement, je découvrais qu’en faite, je volais vraiment… Je vus de mes propres yeux, brillant comme trois soleil, fougueux comme un démon, que j’avais… Des ailes ! Mais pas blanche, noire…

Jeudi 30 Décembre, 11H23.
J’étais bouleverser d’hier. Ma tête tournais et faisait un bruit comme : « Tiic… Taac… » J’étais déboussolée. Mes ailes étais recroquevillées sur mes bras. Mes cheveux s’envolais au-dessus de la cheminée ou j’étais assise.
Dire que j’avais abandonnée Alix… Oh, oui ! ALIX ! Soudain, je m’envola à toute vitesse vers la benne ou j’étais hier soir.

Jeudi 30 Décembre, 12H23.
Quand je suis arrivée, Alix étais écroulée dans la neige, pleine d’éraflures. Je me suis sentis… Mal ! Qu’ai-je fait ? Ma meilleure amie, ma sœur… abandonnée ! Je suis horrible ! Mais… Je ne peux pas rester avec elle… Car vue que je suis mi-vampire, mi-ange noir, (j’ai cherché sur un livre qui avait été laissé au bord de la rue d’hier), ce serait trop dangereux, je pourrais l’étrangler, la transformée, la faire mourir… Enfin tout et n’importe quoi que peuvent faire les anges noirs et vampires ! bafouillais-je dans mon col roulée bleu foncée. Je resta en pleur quelques minutes, puis je m’envola je ne sais où, mais très loin d’ici.
Chapitre 4 ; Le manoir



Vendredi 1er Janvier, 3H06.
Quand je suis enfin arrivée dans un endroit bien assez loin d’Alix, enfin je pense,  je me coucha sur la marche d’un escalier d’une sorte de manoir. Il était immense, avec ses volets noirs et ses nuances de violet à travers les fissures de la porte… Mais je n’eu pas le temps de me lamenté plus longtemps, car une jeune fille, très belle, avec un regard… hypnotique… Soudain, d’un ton sec, en me regardant, elle me dit ; « Si vous êtes là, cela signifie que vous connaissez votre nature. Entrez. » J’hésita un moment mais je fus obliger d’entré. Une autre jeune fille, toute mignonne, mais toujours avec le même regard impassible, m’expliqua pourquoi je suis spéciale. « Vous êtes mi-ange noire, mi-vampire, se qui veux dire que votre mère l’étais, ainsi que votre demi-sœur. Car même si elle n’est pas vraiment de votre famille, elle a forcément un pouvoir, sinon, ta mère ne l’aurait jamais adoptée. Jeune fille, ici nous sommes dans un internat pour apprenti vampires et anges noires. Il n’y a que des filles, a côté de la mairie de cette rue, un autre internat ce cache, spécialement pour garçons. Maintenant, veux-tu m’excuser, je m’absente. » Qu’allait-elle faire ? Sa, je ne sais pas.

Samedi 2 Janvier, 11H32.
Je cru d’abord, en me réveillant, d’être dans un autre monde, puis, quelqu’un me toucha. Je fus si étonnée que je resta un moment immobile avant de me lever et de demander où est la salle de bain. Comme la personne de tout à l’heure est parti, j’alla dehors et je tomba contre un garçon. Il était si beau… Il m’éblouit… Il m’envoûte ! Il transportait un violon. Ainsi la conversation débuta :
« -    Je… Excusez-moi mademoiselle. Me dit-il d’un air doux .
-      Non, non… Je… Vous êtes… ? Et pourquoi tout le monde se vous voie ici ? lui répondis-je gêné.
- Jonathan Roswel. Pardonnez-moi mais je dois m’absenter. Au faite, je suis un vampire ! »
Puis il part, pressé. Jonathan ne m’a pas complètement répondu. Mais bon, je vais continuée de chercher une personne qui pourrait me dire où se trouve une salle de bain pour que je me voie. Quand je trouva enfin quelqu’un, ce fut la fille d’hier, mignonne mais qui semple être sans sentiment. Elle a des ailes grise, avec quelques nuances rouge sang. Un regard triste et des cheveux argentés, avec des couettes lisse. Elle bafouille et je ne comprend pas ce qu’elle dit mais je compris quand même qu’elle s’appelait Rosalia car quand elle croisa mon regard, elle me dit sans hésité ; « Partez.» Bref, sur ces mots, je m’en alla. Quand je suis revenue à l’internat, la jeune fille d’hier, avec son regard hypnotisant, me dit ; « Moi, je m’appelle Utau Ricci. Tu dois être celle d’hier, Luna Blue. Vien. » Utau avait une peau pâle. Elle avança lentement, jusqu’à ce qu’on arrivent devant un miroir. Quelque tâche de sang recouvrait les murs du couloir. D’un seule coup, je fus pousse dans une salle. Enfin, je me regarde et je me vois. A moitié. Sa semble logique, je suis mi-vampire. Alors voilà comment je me vus… Mes yeux bleu très clair, en amande, avait une nuance de rouge. Ma peau était si blanche que mon cerveau se décomposa devant le miroir (enfin c’est une expression). Mes couettes, toujours un peu bouclés, était longue, à peu près jusqu’à mes hanches. Mes cheveux sont d’un brun… Impressionnant ! Quelques mèches bleus attirent mon regard. Quand je finis enfin de contemplé mes cheveux, je regarda mes ailes noires. Mes plumes sont si belles ! Je me lança un regard un peu fière, puis, je fus poussée sur une chaise.

Dimanche 3 Janvier, 00H01.
Jonathan était ici. Pourtant je croyais que les garçons et les filles devaient être séparés ! Bizarre… Soudain, il me parle :« Tu ne discute pas beaucoup, alors je vais te raconter ma vie qui pourrait te paraître peut-être un peu étrange pour toi… Quand je suis née, j’avais déjà des ailes. Tout le monde me voyait pareil : un petit garçon, méchant, qui pourrait être dangereux, sans sentiment. Pourtant, j’avais un fort sentiment qui m’étais parut un jour, l’amour. Désormais, à mon avis, personne ne me verra comme avant. » Me disait-il d’un air séduisant. Je rougis. Il me regarda longuement, puis, il part. Rosalia arrive en courant, que se passe-t-il ? Elle accourrait vers moi et me dit toujours avec cette air de « sans cœur » : « Bonjour, Luna… Je serais ta colocataire de chambre. Alors viens avec moi que je t’explique mon histoire. » Lorsque nous sommes arriver, elle m’explique ; « Comme tu dois le savoir, ici, il n’y a que des étranges personne. Par exemple, mon… Non, oublie en faite. Je te raconterais tout… peut-être plus tard. » Puis elle s’en alla d’un pas maladroit. Une jeune fille entre soudain dans la chambre ; « Bonjour, je m’appelle Charlotte ! Je serais votre voisine de chambre, à vous et Rosalia ! Je suis très heureuse de t’accueillir dans notre lycée. » Charlotte, elle, a un regard doux de ses yeux bleu nuit. Je dévisage alors son visage. D’un coup, je m’endors…

Mardi 5 Janvier, 14H19.
Quand je me réveille, un foule de fille me regarde de tout les cotés. Je me suis sentis gêné puis, je me frotte les yeux. Une grande fille, avec le regard sévère mais doux, des cheveux tressés aux mèches dorées, un sourire un peu narquois me lança d’un air sadique : « Tiens, la feignasse se réveille… Tu aurais pue te rendre compte qu’ici c’est un lycée, un internat, pas ta maison qui doit être affreuse avec… » Coléreuse, je lui répond : « Tu ne te gènes pas… Car sûrement que tu ne me connaît pas ! Je travaillais dur, très dur pour maman et Alix ! Et quand papa est partis, tu crois que j’étais heureuse ? J’ai du fuguer d’un orphelinat horriblement loin ! Tu ne sais pas comment je vis… Je pourrais bien passer des heures à compter le cauchemar que je vis !… » Puis je m’enfuis de la chambre en courant, en pleurant de la grêle… Bien sur c’est une expression. Je fonce sur un garçon. Rhô qu’il ait beau… Pour casser le silence qui c’était installer, il dit :  « Excuse moi. Tu ais… Luna ? Euh et bien désolée de t’être foncé dedans, je… Eum… On se retrouve en cours ! » Comment sa, « en cours » ? ! Je croyais que les garçons et les filles étaient séparés… Ah oui, sûrement une farce. Bref, je vais je ne sait où, indécise. Encore douteuse, je rentre dans une salle appeler « Classe Soleil, 4B ». Un grand homme me regarde, étonné. « Que… Pourquoi êtes-vous dans la classe de magie 4B Soleil ? » me dit-il d’une voix qui porte. Je lui réponds clairement :  « Hum… Je… Je devais aller dans la classe de maths alors je me suis trompé et… » Je suis coupé par la douce voix de Rosalia : « Monsieur, elle c’est simplement perdu, et elle est entrée, puis, par chance, elle est tombée sur sa classe. » J’entre complètement dans la classe. Le grand homme me dévisagea et me dit de me mettre à coté d’un garçon nommé « Nicolas ». Ce « Nicolas » lève la main, je m’assoies. Il me regarde. Je fuis son regard… Pourtant, je me perd dans ses beaux yeux… Soudain, le prof m’interroge. Confuse, je bafouille ces quelques mots dans mon pull :  « 3 459 ? » En faite, je ne savais absolument pas ce qu’il avait dit avant, ni la question qu’il avait posé, mais j’ai dis « 3 459 ? »… En même temps, je suis bête de me noyer le regard dans les yeux de Nicolas. Il est petit, brun, les yeux verts rouges pétillants, un regard timide, la bouche fine et de douces mains. Je rougis.
Chapitre 5 : La mission
Jeudi 14 Février, 12H05.
Après presque un mois d’apprentissage, je vais commencer ma première mission. Depuis j’ai rencontrés pleins de gens (Rosalia, Nicolas, Jonathan, Nathanaëlle, les yeux au regard perçants et sans sentiment, aux cheveux blond très clair, à peine argentés, de taille normale, c’est un ange noir, comme moi… Il y a aussi Charlotte, Luna, Alix, au même prénom que ma sœur et qui lui ressemble étrangement, Lolita, une fille aux cheveux très longs et lisses, grande, un visage sympathique, est une sorcière très belle et gentille et poli ! Solène, une super fille très courageuse mais sans amis qui est pourtant très, mais alors très belle… Malheureusement je connais aussi ces vipères de Tatiana et Coline. Maxime,  lui, est mystérieux, je ne le connais pas trop… Mais en tout cas il à les cheveux mi-longs, roux, des yeux magnifique, à tombés par terre… Et une magie impressionnante ! C’est un mage de l’air… Grey, lui, est solitaire, a les cheveux bleus argentés. Il a un tatouage d’une forme étrange qui signifies qu’il est née à Cyllia, un village situé au nord-ouest de l’Argentine. Il y a aussi Jessy, un gars plutôt attachant. Il est très gentil et courageux, malheureusement, on lui a brisé son cœur et sa magie le brûle, (vus que c’est un mage du feu…). Jess est son surnom. Il a une chevelure rousse rouge, avec quelques mèches oranges foncés. Lui, il a un tatouage de June Saylle.) je ne m’ennuis plus. En tout cas, maintenant que j’ai ma mission,  je vais me mettre en route pour allez dans une guilde, pour combattre le… Mais je ne pus finir ma pensé que Solène me tire ma veste. Quelle idiote ! Bon, on se met en route…

Jeudi 14 Février, 23H57.
Nous sommes arrivées à la guilde (Soul-Saild), nous cherchons un petit bâtiment discret, rouge foncé, presque bordeaux, pour peut-être le coincé. Qui ? Et bien, le « le diable ». La personne n°1 du top 20 des meilleurs mages de la région. Dans Smagie’s Magazine, on y trouve tout un tas d’information. Bref, reprenons la recherche. J’entends des bruits. Solène tremble comme une feuille. Elle est accroché à ma jambe toute irritée. Le bruit se rapproche. D’un seul coup, nous sommes bousculé puis enfermé… Peut-être qu’on est attrapé par le diable ?