Cromimi - 1° gioco online gratuito di animali domestici virtuali

oui peut être mais seulement si vous avez envie

kanoush j'aime pas ton histoire elle est trop courte et pour moi c'est un peu nul et c'est mieux d'avoir quelle que critique pou etre au top

ben je crois surtout que c'est pas ton genre d'histoire mais ce n'est pas peine de me dire que c'est nul tu sais il faut être diplomate dans la vie. Et puis c'est peut être court mais c'est mieux qu'une histoire qui est trop longue et qu'après on s'en lasse mais je prend ton avis en compte même si il ne m'enchante pas.

t-miss a écrit :

Melilia29 a écrit :

Le chap 1 de Et ensuite !

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[POV Hélène]

     J'étais assise, par terre, sous une couette blanche, devant un feu dansant, et une tasse blanche de thé à la menthe chaude. J 'a vais juste une simple robe, mes cheveux bruns et longs me réchauff aient  un minimum, je buvais gorgée par gorgée, sans cess er  de penser à elle, je n'aurais pas d û  garder cette enfant... Je veux revoir Bruce, mon ancien mari, qui à la naissance de Medley m'a laiss é , sans argents, ni loyer, j'habite un chalet abandonné, et je récupère l'eau de pluie. Je me nourris au minimum et grâce au petit jardin derrière le chalet, je vais dans les brocante s  et vide - grenier ou parfois de petites choses son t  donné e s, ma sœur me prête parfois de l'argent, personne ne pourrait penser que quelqu'un habite ici. Et soudain... La porte s'ouvre violemment.
     " Mademoiselle Lerry Hélène!?
-Je suis là, dis-je avec un peu de peur dans la voix."
     Je  ô tai la couette qui me couvrait et la déposa délicatement à côté de moi, ainsi que ma tasse et me leva, en me dirigeant vers les hommes qui étaient entrés. Ils étaient trois, trois hommes. J'en reconnaissais un, c’était le frère de Bruce, c'était Quentin. Il ressemblait à Bruce, un goût de nostalgie vint un instant, mais partit de suite, sachant qu'il n’était pas là pour rien, et plutôt dans l e  cadre de son travail, il se passait quelques chose de mal. C’était  un  jeune homme, qui travaill ait  dans la police, il était beau, des cheveux bruns foncés, et des yeux d'un très beau marron clair, on pourrait dire noisette, je le dévisagea et avança, je pu voir, dans ses yeux de la peur, de la tristesse, de l'angoisse... Quelqu e  chose all ait  mal, je ne voulais pas précipit er  les choses, mais je crois que si je ne bris ais  pas ce silence, je ne pourrais  s avoir ce qu'il se passe, vite, une boule au ventre, et à la gorge vint se form er , et avec un peu d'hésitation je parla.
    "Que se passe t-il ? dis-je le plus vite possible, la voix tremblante.
-Nous allons vous poser quelques questions, et d'autres choses, c'est votre sœur qui nous a aider à vous trouver, mais aucune piste n’est encore présente. dit l'un d’eux.
-Une enquête, sur moi !? dis-je affol ée .
-Sur Medley... dis finalement Quentin en baissant la tête, essayant de camoufler ses émotions."
     Je ne bougeai plus, j'étais fig ée , il était arrivé quelqu e  chose à ma fille, ma Medley... Elle aurait d û  avoir mieux comme mère, comme situation, et tout, et maintenant il lui arrive quelqu e  chose… Tout  ç a à cause de Bruce c'est à cause de lui qu'on en est la ! 
     "Elle n'est pas morte.
-Comment le  s avez vous ? dis-je en essuyant une larme, et la voix tremblante.
-Nous avons une vidéo, d'elle qui mange, et ensuite s’endor t .
-Elle à donc ét é  kidnappée ?
-Et bien, oui. Nous ne  s avons pas où, elle est, ni qui sont ses ravisseurs, nous  s avons juste qu'ils sont plusieurs, et qu'elle va très bien,  ç a doit être quelqu'un de son entourage, mais c'est incertain, suiv ez- moi, vous allez monter dans la voiture qui vous attends s’il vous plaît."
     Il n'eut pas le temps de dire autr e  chose, que je me précipitai, dehors, je vis les deux voitures, j'enfilais mes sabots noirs, qui étaient déposés sur le paillasson, et descendis les deux marches, .je regarda les voitures quelques secondes, et je revins vers la porte, les policiers sortirent, j'allai vite chercher un manteau marron, je refermai la porte, et je me dépêchai d'entr er  dans la voiture à cause de ce vent glacia l .
     Tout le monde  était là , on pouvait partir, la tristesse commençai t  à m'emporter, j'avais bien ten u  jusqu 'ici , je commençais à pleurer... Jusqu'à ne plus po uv oir m'arrêter, nous avons au moins deux heur e  de rout e  à faire avant d'arriver à la ville la plus proche. J'avais froid, je me recroquevillai dans le manteau, et à ce moment, Quentin qui était au volant, mis le chauffage. Après quelques minutes, il faisait plus chaud que froid, une vague fraîcheur. Je tournais mon regard, vers le jeune homme auquel je n'avais pas porté  a ttention avant, assis à mes côtés. C'était un grand, musclé, blanc, des yeux noi rs , une petite barbe, il était chauve, et avait un piercing à l'arcade sourcilière. J'arrêtai de le dévisag er , et regarda la route, je ne pensais qu'a Medley. La tête tourn ée  vers la fenêtre, essayant de ne pas montrer quelques larmes coul er , le paysage défilai, mais ce n'est pas que je ne le regardai pas, c'est que je n e  le voyais pas. J'essuyai mes larmes, mais d'autres coulèrent, ma petite Medley, où est - tu ?

Voili voiloù, bisous bisous !

C'est pas mal, il y a quelques fautes de concordance des temps, de frappe aussi je pense, mais surtout de conjugaisons ( je les ai corrigées )  . Mis à part ça, c'est bien !
Bon jeu !

kanoush45 a écrit :

ben je crois surtout que c'est pas ton genre d'histoire mais ce n'est pas peine de me dire que c'est nul tu sais il faut être diplomate dans la vie. Et puis c'est peut être court mais c'est mieux qu'une histoire qui est trop longue et qu'après on s'en lasse mais je prend ton avis en compte même si il ne m'enchante pas.

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Extrait:

Bonjour, ou plutôt, bonsoir. Je suis Noé, Noé Carter. Surnommé Nono, par ma jeune… Jeune… jeune femme. Je hais les animaux. Pourquoi ? J’ai vue ma femme mourir sous mes yeux, par… Un loup. Un loup si grand, qu’il aurait pu battre une girafe, un loup si fort, qu’il aurait pu battre un taureau, mais, un loup si dangereux, qu’il a choisi ma femme. Apple Ice, «  fillette » de 23 ans, m’a choisi, moi, son Nono, pour qu’elle  fasse de moi son époux.

Aujourd’hui, je vis pourtant à la campagne, en me désespérant de plus en plus chaque jour dans mon verre de ratafia. Désormais, je ne cherche plus ma chère et tendre. Plus d’espoir. Au début, j’ai cru au plus fou, j’était trop amoureux ; la réincarnation. A quoi bon, je ne pourrait plus jamais la retrouver, j’ai brûler plus qu’un souvenir, maintenant je me consacre au seul enfant que j’ai pu avoir, avec une dame. Une dame qui m’avait l’air si saoul que j’ai craqué. J’ai espéré qu’elle ne me verrait pas, Apple Ice, mais je suis sur du contraire. Moi, Noé Carter, est le pire homme que Dame Nature a pu faire.

Hey ! Moi c’est Apple Ice. Surnommée Ice par mon cher mari. Je déteste les femmes. Et bien… C’est parce que, j’ai vu mon Nono, je l’ai vu… Avec qui ? Une sale prostituée qui se balade comme une nudiste sur la plage… Rha. Noé Carter, élus de mon malheureux cœur, 23 ans ½, m’a voulu, moi, comme épouse.

Maintenant, je vis en ville. Je me promène toute bredouille chaque jour, tout en pensant à LUI. Je ne veux pas le chercher, car, lui, me pense morte. Seule ma jumelle s’est faite abattre. Si je reviens, il deviendra fou. Pas fou de moi, mais fou, simplement. En croyant à la réincarnation, je pense, il se ru désormais sur son verre, le dernier, pense-t-il, alors, qu’il n’en prend pas qu’un.

La suite!!!!

Cela faisait 4 heures que Simon et Constant attendaient. Simon n'éprouvait aucune
fatigue tandis que Constant oui. Ses paupières étaient de plus en plus lourde, son corps s'affaiblissait. Non! Il doit rester éveillé, les gardes pourraient à tout moment revenir chercher Janna... non... pas s'endormir...ronff... Cosntant s'endormit. Simon cria alors: AU FEU! AU FEU! SAUVEZ VOUS! Constant se réveilla. De longues flammes jaillissaient des fenêtres. Simon avait pris Janna et Mary dans ses bras. Mary se leva et dit:  Moure flambos continualies . Les flammes s'évanouissent dans un grand BANG! Soudain, Constant vit une ombre passé... Miriam? Non, impossible! En effet, ce n'était pas elle. C'était une jeune femme aux cheveux et aux yeux rouges sang. Elle avait une longue robe noire et un nœud dans ses cheveux. Elle avait un sourire narquois et la haine se lisait sur son visage. Constant se leva et dit:-Qui êtes-vous? -Moi...hihihi...je suis... Muerte!!! Cria la fille.-Oh non! Dit Simon. -Mais... c'est qui?
-C'est  Muerte qui veux dire mort en espagnol. C'est la femme de Lucifer! Hurla Simon. -FUYONS! Cria Mary. -Oh... la petite sorcière veut fuir, hein? Avec ses petits n'amis... le problème, c'est que vous allez MOURIR! Beugla Muerte.

À suivre...

Lolobauls a écrit :

Lovelymour : Pas mal, on passe dans les pensées de chaques personnages. Mais tu aurais pu choisir une mort plus... mystèrieuse. Parce que s'il a vu sa femme mourir mangée par un loup, elle ne pouvait pas sortir de l'estomac du loup, une fois le mari partit... enfin... tu vois... ?

PS: La suite;

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Chapitre 1 : Les vacances.

« Salut. » « Bisous. » Voici ce que j’entend chaque matin de ma pauvre vie d’agriculteur. Je cultive, toute la journée, pendant que mon fils, désespérément nul en sciences, s’enferme dans sa chambre pour réviser. Enfin, bon, un samedi tout à fait normal. Seulement lui, mon fils, jeune homme de 17 ans, blond, aux reflets châtains, me remonte le moral. A quoi bon, tout les jours ont m’dit « Travaille pauvre empoté ! Sinon j’te paye pas ce mois-ci ! » Tss, il ne me paye jamais cet abruti. Il ressemble légèrement à mon père. Etrange, non ? Bref, je recommence à labouré.

« Ice.. Non ! ICE ! » Encore un mauvais cauchemar. Toujours et encore. Tel un bon réveil. Tom, mon vieux majordome, m’apporte un bon petit déjeuner, j’ai pas faim. Tant pis, j’y donnerais au chat. « Hem… Mademoiselle ? Allez vous bien ? Voulez vous un café ? » me demande t-il de son ton habituel. Je lui répond d’un simple bredouillement. C’est l’heure d’allez travailler. Je suis serveuse à un mini-bar… Pour homme. Disons que ce n’est pas le mieux que j’aurai pu demander, mais c’est la moindre des choses. En ce samedi, la pluie parisienne ne nous fait point de cadeau. Je ramasse délicatement le journal, « Les p’tites annonces ». Encore un truc bidon. Cet fine et tranchante pluie ne veut vraiment pas s’arrêter. Bon, je déposerais un mot au patron. Atchoum !

Noé, étant un bon marchand, un bon gaillard, est brun, tout comme sa conjointe. Son regard désormais fatiguée comme je-ne-sais-quoi se pose sur le terrain de terre qu’il est en train de retourner. Quelques gouttes épaisses et coulant sur la peau se rabbat sur son imperméable à manches courtes. Son style de bonhomme de la rue ne fait pas très bonne impression sur ses collègues. Son fils, lui, est bien l’inverse de son père. Bien qu’il soit comme tout les jeunes d’aujourd’hui, ou presque, un pouvoir se melle de lui jusqu’à son père. Mais lequel ? Celui de…


Je crois bien que je commence un mauvais rhume, encore. En pensant au majordome qui s’inquièterait comme trois cent taureau voyant rouge, Apple ne retourna pas dans cet sublissime demeure qu’on appelle, une maison. Croyant bien faire, Ice se rua vers le premier magasin qu’elle voit. Une splendide chocolatrie. (C’est la saison des amours). En voyant toutes les femmes qu’il y a, la jeune fille se dépécha d’ouvrir la porte pour sortir de cet enfer remplis de dame. De bonne foi, elle acheta tout de même une grosse tablette de chocolat Lint. Ne s’occupant point du prix, elle acheta forcément la première chose venu.

La télépathie ? Avec les animaux ? Non… Je devient fou ! Moi , qui déteste plus que tout les animaux, (surtout les loups) aurait fait un fils qui… Communique avec ces p’tits êtres ? C’est surment parce que la vieille avec qui je l’ai fait est une sorcière… Sérieux, j’devient fou. Je vais me reposer. Pendant son somme, Noé ne se rendit pas compte qu’il marchait… Même, courrait. Mais où ? Vers son destin. Qu’allait faire son fils ? Et Apple Ice ? Ceci est un mystère… Pour l’instant. Sa collaboratrice, Sunday, le voit partir. Elle s’affolle, elle devient dingue. Dire qu’elle est amoureuse de lui ! Qu’elle plaid. Timothé, alarmé par les cris d’effrois de Sunday, accoure. En voyant son père partir, il se dit que c’est la fin, il ne réagit pas. Pas que parce que son père part, mais car…

Pouf ! Enfin sorti de cette bijouterie ! Eum… Non, chocolatrie. Je… J’ai un mal de tête horrible, ma… ma tête… Je ne la sens plus. Je…
J’me r’trouve à l’hosto, entouré de femme déguiser en… En maîtresse. Je vois double ! Une de ces filles me mets des verres sur mes yeux. Des lunettes ! Quoi, encore ? Du fromage dans mon nez ? Quelles idiotes ces filles ! Toutes à se lamenter de leurs rouges à lèvres et compagnie… De vraies nunuches ! Je soupire. Nous soupirons. Le médecin arrive, comme si Dieu venait de s’incliner devant moi… Mais… C’est ! Je le reconnais ! Pourquoi as-t-il foncé comme un animal sur ma blessure ? On aurait dit un…

Je devient loup… Que m’est-il arrivé ? Pourquoi suis-je devant une jeune femme.. Qui ressemble à… Je fond en pleure, je ne peut plus m’arrêter. Pendant que mes larmes tombent sur la main de cette fille qui me parle doucement en me dévisageant, je rugis. Des bruits étranges sortent de moi. J’accoure à la fenêtre, la tête bombées de souvenirs, des souvenirs qui ne devait pas revenir . Je saute. La vie ne m’obligera plus à mentir.. Je serais comme…

Oh mon dieu ! Cet homme mi-humain mi-loup me fait repenser à Nono ! Ce n’est pas possible… Mais je veut sauver cet homme. Des pas résonnent dans ma tête comme si tout cela était un rêve. Comme si le destin m’en avait obliger, je retient cet homme en tenant ces pattes velus et ces ongles tranchants.

Lovelymour >> C'est un peu dur à comprendre, mais sinon c'est bien ! Continue, cette histoire m'intrigue !
Bon jeu !

Dernière modification par t-miss (Le 26-04-2013 à 12h49)

La nature

ô nature,
Doux regard d'azur,
Tu nous émerveille,
De tant d'abeilles,
Qui s'envolent dans le ciel.
Tout en faisant dsu miel,
Butinent,
Gaiement,
La capucine,
S'ouvrant joliment,
Ainsi que la violette,
Avec sa collerette,
Toutes les plantes,
Brillantes et rayonnantes,
De rosée,
Ainsi éclosent.
Notez-moi s'il vous plait!

  Cupcake
Miam miam, on aime ton glaçage
On te mange à tout âge,
Avec gourmandise.
Manger des cupcakes, c'est un délice

misscici--> C'est trop enfantin, un peu simple et court. Pour moi ce n'est pas vraiment un poème ^^' ! Mais continue et essaie de t'entraîner pour faire plus long et trouver un sujets plus long !

marif881 a écrit :

La suite!!!!

Cela faisait 4 heures que Simon et Constant attendaient. Simon n'éprouvait aucune
fatigue tandis que Constant si. Ses paupières étaient de plus en plus lourde, son corps s'affaiblissait. Non! Il doit rester éveillé, les gardes pourraient à tout moment revenir chercher Janna... non... pas s'endormir...ronff... Constant s'endormit. Simon cria alors: "AU FEU! AU FEU! SAUVEZ VOUS!"
Constant se réveilla. De longues flammes jaillissaient des fenêtres. Simon avait pris Janna et Mary dans ses bras. Mary se leva et dit:  "Moure flambos continualies". Les flammes s'évanouissent dans  un grand BANG ! Soudain, Constant vit une ombre passé... Miriam? Non, impossible! En effet, ce n'était pas elle. C'était une jeune femme aux cheveux et aux yeux rouges sang. Elle avait une longue robe noire et un nœud dans ses cheveux. Elle avait un sourire narquois et la haine se lisait sur son visage.
Constant se leva et dit:
-Qui êtes-vous?
-Moi...hihihi...je suis... Muerte!!! Cria la fille.
-Oh non! Dit Simon. -Mais... c'est qui?
-C'est  Muerte qui veux dire mort en espagnol. C'est la femme de Lucifer! Hurla Simon.
- FUYONS ! Cria Mary.
-Oh... la petite sorcière veut fuir, hein? Avec ses petits n'amis... le problème, c'est que vous allez MOURIR! Beugla Muerte.

À suivre...

Voilà une pitite phrase que j'ai faite assez rapidement. Des avis s'il vous plaît ? ^^

La confiance est dure et longue à obtenir mais elle est facile à détruire.

Voiloouu x)

Dernière modification par t-miss (Le 26-04-2013 à 17h57)

Bonjour
Juste pour vous dire que je vais arrêter "Les colos de Sirine".
De toute façon personne n'aimait vraiment et je ne me concentre plus sur ça.
Bises

Bijourrrr
Voici une phrase que je trouve belle ;
"Tu es la seulle personne qui me faut tennir , rire , qui me rends heureuse...Mais tu es aussi la seulle personne qui d'un mot , geste , message .. Peux m'anéantire ♥"
Phrase faite par moi :3 ♥
Bisouuuuus

Le soleil fesait luire sa peau satiné, d'une beauté éternelle. Son souffle court, haletant tel une vague fesait fuir les êtres alentours. Ses pattes solides, d'un teint marbré courrait agilement. Il courrait, sans regarder les alentours. Pourtant il avait un but sauver l'animal d'une blancheur tel que l'on ne puis l'imaginer, des coussinets roses tel une fleurs, son pelage doux et son caractère boudeur. Hélas le phénix ne l'a point laissé passé et d'un coup d'aile rageur, il laissa son cadavre me laissant seule...

Voici un poème fait par moi (par expérience (enfin mes parents pas moi j'ai que 12 ans ^^) </3)

Divorce

Une séparation déchirante
Plus possible à supporter
Une vie décevante
Qui donne envie de tout plaquer

Je souffre atrocément
Et j'espère qu'un jour
En attendant le beau temps
Qu'enfin cette situation finisse pour toujours

Fatou:Ton poème est un pe triste mais beau.Mes parents ont divorcés,ma mère ne se rendait pas compte que j'était malheureuse...Ils se sont remariés récemment.Ils ont divorcés quand j'avais 8 ans.Mais bon,on est pas là pour raconter notre vie,hein!
Bises

Dernière modification par sissi535 (Le 26-04-2013 à 22h19)

Merci beaucoup mes parent aussi sont divorcés depuis que j'ai 8 et demis
Maintenant j'en ai 12 et je ne vois plus mon père!! mais bon c'est vrai on est pas la pour raconter sa vie!!