Cromimi - 1° gioco online gratuito di animali domestici virtuali

merci !

Bonjour!

Un petit poème


De ceux qui te regarde à la vite fait
A ceux qui te dévisage sans te lâcher
De ceux qui ont les épaules trempées de larmes
A ceux qui se fichent de te voir pleurer

De ces gens qui ne font qu'empoisonner
Ton amitié
A ceux qui essaient par tous les moyens
De la faire resister

De ces gens ne pensant qu'a leur petite personne
A ceux qui empêchent les feuilles de tomber en automne
Ces gens qui se font toujours pardonner
Que peut-on leur reprocher
Il ne font qu'exister
Dans un monde empoisonné



S.L


Des avis ?

Hello , tous le monde ! ♥
Et ouais , Djanisse est enfin revenue x)
Désolée de m'avoir absenter aussi longtemps.
Mais bon sa c'est du passer j'essairais de venir le plus souvent que je peux , et deviner quoi ? Je suis revenue pour poster ma nouvelle histoire xD Enfin c'est pas vraiment pas nouvelle histoire mais bon...

Le voilà ;

Chapitre 1
Moi c’est Lina je vais bientôt aller dans mon tout nouveaux collège. Je vais rentrée en 5eme.  Mais pour l’instant en attendant demain je suis là, toute seule dans ma chambre a préparé mes affaire pour ma renter de demain. J’ai dut  déménager parce que mes parents on trouver du travail , dans un autre département. J’ai tellement hâte d’être à demain, pour enfin voir mon nouveau collège
Le lendemain ;
Enfin le grand jour ! Je me rends au collège toute seule, enfin elle me dépose juste devant le collège en voiture avant d’aller a son nouveau travail. Bref le collège a l’air assez grand (plus grand que celui ou  j’avais avant).Je rentre dedant et me rends en classe, tout le monde se présente. Puis ensuite le prof’ choisit nos place , il me met a coter d’une fille brune aux yeux marron assez claire. Elle a l’aire sympas. Une fois tous le monde assis , le prof’ se met a nous expliquer un tat de chose (surtout à moi). Puis nous decendont en récré , je m’assie toute seule sur un banc. Quelque minute après , je vois la fille qui est à coter de moi en classe venir me rejoindrez sur le banc ou j’étais assise.
-    Coucou ça va ? Me demand-t-elle gentillement.
-    Salut , oui et toi ?
-    Oui , ça va . Moi c’est Tania et toi ?
-    Je m’appelle Lina.
Quelques  secondes plus tard , la sonnerie retantie. Nous , nous rendons ensembles en cour de Maths. Ce prof’ a l’air gentill , je me suis encore assise a coter de Tania. Juste devant nous il y a deux fille , une brune une autre blonde.  Elles ont l’air de ne vouloir rester que entre elles. Bref le cour se fini assez vite.  Je suis dans les couloir , un gars en courrant me bouscule , sans le faire exprès. Il se retourne puis s’excuse gentillement , quelques minute plus tard je me rends compte que c’est un des garçon qui est dans ma classe (j’avais meme pas remarquer !). C’est vrai que en une journée je ne vais pas connaitre tous le monde. Pour l’instant c’est vrais que , je ne connais que Tania mais bon… J’essairais de faire le connaissance , de plus de personnes demain.  Je rentre chez moi , sur le chemin je recroise le meme garçon qui m’avais bousculer. Il se rapproche de moi et commence à me parler .
-    Salut ça va ?
-    Salut oui et toi ?
-    Oui sa va , encore désolée pour toute a l’heure dans le couloir.
-    T’inquiète pas, c’est pas grave. Dit-je.
-    Ah en faite moi c’est Jonathan .Et toi ?
-    Je m’appelle Lina. 
-    Ah ouais c’est toi la p’tite nouvelle ? dit-il avec un sourire.
-    Oui c’est moi . Dit-je toute en rigolant.
Nous continuons à parler un long  moment jusque ce que nous arrivons devant la maison de Jonathan. Puis il me dis aurevoir et rentras chez luis.

Et c'est la que vous vous dites que cette histoire vous dit quelque chose , et bah ouais xD C'est mon ancien histoire que j'ai modifié , pour ceux qui s'en souvienne pas voilà avant qu'est ce que sa donner ;

Chapitre 1
Je m'appelle Lina je suis nouvelle dans mon nouveaux collège, je me sens très seule.Tous mes amis son dans mon ancien collège Le prof ma présenté a toute la classe «Ecouter tout le monde, voici Lina elle est nouvelle dans le collège accueillait  la bien, va t'asseoir a coter de Tania » Tania a l'air gentille.
Elle me demande « alors comme sa tu t'appelle Lina ? »
Je lui réponds avec un peu de peur «  oui c'est sa et toi »
d'un air très gentille elle me réponds  : « Moi aussi avant j'étais nouvelle sa doit etre dure , de quitter ses amis . Si tu veut l'on peux devenir amie ?
Je lui réponds d'un air content :  « Oui je veut bien c'est gentille »
la sonnerie interrompt notre discussion . Les autre élève s'installe a leur place . Je vois arriver un gars trop beaux blond, yeux bleu ect … je me demande comment il s'appelle.
Pendant tout le cour je me met a le regarder, je sais pas pourquoi. C'est la l'heure de la récré une fille (style : brune , yeux marron claire trop belle mais style qui se la pétte) , elle me bouscule et crie « ET MAIS TU PEUX PAS FAIRE ATTENTION ? » je m'excuse a contre cœur vu qu'elle m'accuse d'une chose que je n'est pas faite , «  je suis désolée » elle me lance un regarde transperçant et part .
Le trop beaux que j'arrête pas de le regarder en cour s'approche de moi,j'essaye de détourner le regarde en me demandant si il vient vraiment ver moi. Mais oui en faite il vient vraiment ver moi, et me dit « Je vois que tu as fait la rencontre de Déliana  j'ai vue quelle a fait  exprès de te bousculer elle fait sa a toute les nouvelle t'inquiète pas. Ah en faite moi c'est Jordan et toi c'est Lina c'est sa ? »
je lui réponds timidement : « Oui c'est sa. Pourquoi elle fait sa ? »
Il me répond toujours avec un beaux sourire « J'en sais rien elle se croit supérieur a tout le monde, mais bon j'suis désolé mas je doit y aller on se vois plus tard si tu veut ? Salut ! »
je lui répond d'un sourir béte « Salut ! »
Il a l'air tellement gentil ! J'espère qu'on pourras se revoir en dehors des cour...

Mais en gros c'est la meme , je vais juste changée le nom des personnage ;
Lina est toujours Lina.
Tania est rester Tania.
Jordan est devenue Jonathan.

Apres il y auras d'autre changement , je les ecrit au fur et a mesure que l'histoire avance. x)
Et encore et toujours désolée pour toute les faute ( mais j'ai fait un effort cette fois si)

Et pour finir , un p'tit poeme ;
Aimer c'est rêver ,
Voilà deux verbe très compliqués.
Et oui deux verbe presque impposible ,
Et qui parfois fait souffrir
Meme dans les difficultter.
Toujours essayer.

Des avis ? ♥ S.V.P j'en est hyper besoin

Désolée..             Pas d'énormes talents

         J'ai un 'tiit truk mais pas un super bien x))

Coucou mes écrivains ♥


Chapitre 6 !!!!

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Chapitre VI
Je m’installai sur le canapé et il me regarda longuement cherchant mon regard.
Je fis comme si je ne le voyais pas. Puis sans tourner la tête je le regardai et il cria,
-Ben voilà !
-Quoi ? Dis-je
-J’attendais ton attention mais je savais que tu voulais je l’allume la télévision. Bref.
Puis il mit le film.
Durant cette projection, je n’arrêtais pas de penser au croquis d’Emilie. Encore et encore je pensais à cette image. Tout faisait comme un film, le début c’est là où j’ai mis ma main sur le livre au CDI, ensuite, là où je l’ai ouvert et pour clôturé, là où j’ai vu celui d’Emily semblable au mien.
J’étais dans mes pensées, ma tête sur mon genou et mes bras qui serraient ma jambe gauche.
-Qui a-t-il encore ? Me demanda mon frère
Diane ! Wouhouh ! Tu m’entends ? Diane !
Je sursautai !
-Dites donc tu étais loin à ce que je vois !
-Mouais… C’est-à-dire que je pense trop à cette histoire de livre ! C’est dingue ça en une seule fraction de secondes et ben j’ai l’impression de vivre une aventure.
Il se leva et se mis accroupi devant moi et me pris les mains,
-Hey ! Arrête avec ce livre ! Demain tu le rends à l’école. Et c’est fini ! Oublie ça un peu. Tu vas en faire des cauchemars ! Et je ne veux pas que tu deviennes accro.
-Je sais je sais. Mais tu es d’accord que c’est louche !
Peter me raconte ses histoires abracadabrantes, je veux l’aider et par extrême chance je tombe sur Emily, avec qui je voulais faire connaissance, qui détient un croquis identique au mien !
-Oui je sais c’est étrange mais c’est une coïncidence ! Emily l’a peut-être trouvé, elle aussi dans un livre comme le tien ou alors c’est elle qui l’a dessiné !
-Non ! C’est le même Homme qui a fait ces dessins ! J’en suis certaine !
-Calme-toi ! Tu vas aller lui demander où es-ce qu’elle l’a trouvé, et raconter toute cette histoire loufoque à ce Peter ! Compris ?
-Oui. Mais comment je vais aborder la question à Emily moi ? « Où es-ce que tu as trouvé ton croquis ? » Non ! C’est bizarre !
-Et bien moi je ne trouve pas ! Mets-toi à sa place et que quelqu’un te demande ça, tu te dis qu’il est collant, énervant, marrant, mystérieux,…Non ! Tu lui dis ça et puis je suis sûr qu’elle va te le dire ou te répondre !  Dans le pire des cas, tu laisses tomber et tu règles ça avec Peter !
J’haussais les épaules et me levai avec l’aide de ses mains.
Il  me prit dans ses bras et m’accompagna dans ma chambre.
Je me mis dans mon lit et attendis qu’il ferme la porte ainsi que la lumière.
-Bonne nuit et ne rêve pas de ça ! Me chuchota-t-il.
-Je n’y pourrais rien. C’est mon cerveau qui en décidera ! Lui répondis-je.
Je tendis l’oreille pour entendre le son de la porte ce claquer et ses pats descendre l’escalier.
Je sortis de mon lit sur la pointe des pieds et allumais une petite lampe à faible luminosité pour lire ce qu’il y avait inscrit sur ce livre.
Je ne vis rien d’autre que des calculs, schémas, trajectoires,… Jusqu’à une page, la dernière, où il y avait un autre croquis, que l’on distinguait peu d’ailleurs mais je reconnu de suite qu’il s’agissait de celui d’Emily !
Un Homme avec des sortes de lianes plantées dans le corps, de longs cheveux, et ces 2 tâches sur les yeux.
Au moment où je voulu reprendre ma punaise mais j’entendis le son des pats de mon frère monter les escaliers.
J’éteignis la lumière, et me glissa sous les draps très vite et fis semblant de dormir.
En fait il allait dans la salle-de-bain.
Je n’allais pas retourner voir mon livre car à tout moment mon frère pourrait rentrer et me prendre en flagrant-délit en train de gratter avec la punaise le livre que je devais montrer demain à Peter.
Je me mis sur le côté ; sur mon bras et ferma les yeux pour m’endormir.
                                                                                                          A suivre…

Dernière modification par Giniee (Le 03-10-2013 à 19h45)

Miyuko8: Pourtant moi je l'aime bien mon poème...Et il y a des choses plus constructives à dire plutôt que "Pas d'énormes talents".OK,il n'y a pas de grands talent,mais il y a de petits talents qui font de beaux poème....
Et franchement,je me suis donnée beaucoup de mal à écrire ce poème,tu pourrais au moins donner un avis.Franchement,les gens comme toi,ça s'appelle des "tue-talents".

sissi535 : Chacun son avis ! Merci ! J'ai fermé la parenthèse ! 

Et puis toi dans ta fiche tu met bien les gens que tu n'aimes pas alors franchement si j'étais toi je ne parlerai même pas !

Aheum, , déja  si vous relisez  Myuko, il / elle parlait de lui même   qu'il n'a pas de talent arrêter aussi de vous sentir visé et de chercher des broutille  a la moindre chose qui vous déplait ...et après vous vous étonnez quand sa part en vrille sur chaque sujets...ben c'est du jolie franchement

Hiii Everybody  (oui, Ninqueen se met a l'anglais)
Bon, j'ai deux nouveaux trucs :
De un, je ne sais pas si vous vous souvenez de histoire d'Ashen Collins (histoire d'horreur assez gore) ? Bah, je l'ai changée un peu.
Je la poste, mais je ne vous oblige pas a lire. Je ne veux pas vous traumatiser non plus ^^'

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« Je me souviens parfaitement de la première fois que j'ai vu cette maison. Une grande bâtisse en bois détériorée datant du milieux du 19ème siècle. Vous auriez réagis comme moi a la vue de ce bâtiment. J'ai tout de suite pensé a une maison de film d'horreur. De plus, nous étions le cas typique : Nous venions d'emménager dans cette maison.
-Déstresse sœurette ! C'est vrai qu'elle est lugubre mais tu vas t'y faire ! Me rassura Claudia, ma sœur.
J’avoue que j'étais affreusement jalouse d'elle. Elle était simplement parfaite Du haut de ses 19 ans.
Elle avait des cheveux noir et ondulés qui lui tombaient sur la poitrine. Ses grands yeux vert pomme rassurait quiconque était stressé. Son nez était fin, tout comme sa bouche naturellement rouge écarlate. Sa peau était pâle.
Moi, je n'étais pas extraordinaire. Déjà a commencer par mon nom. Il étais si banale ! Je m'appelle Marie et j'avais 13 ans. J'avais les cheveux brun frisant a plat. Ma peau était mâte et mes yeux bleus ciel. Mon nez et ma Bouche n'en parlons pas...
Bref, revenons a l'histoire. Elle me tapa légèrement dans le dos afin de me sortir de mes pensées.  Sans l'attendre, je partis en direction de la porte d'entré afin de visiter l'intérieur de cette bâtisse.
Sans surprise, tout était affreusement vieux a l'intérieur. Les meubles tout comme l'odeur de poussière qui régnait dans toutes les pièces du manoir. Je compris enfin pourquoi il n'avait pas coûter si cher...
-Je vais te montrer ta chambre, je connais déjà les lieux. M'assura Claudia.
Nous montâmes toutes les deux les escalier en bois qui grinçait sous chacun de nos pas. Nous bifurquions dans un couloir sombre et qui semblait faire des kilomètres de long. Elle ouvrit la troisième porte a droite.
Je découvris alors une grande chambre très  lumineuse. Les murs étaient blancs et ils ne trônait qu'un simple lit   dans l'angle droit du fond de la chambre. Je m'approchait de plus près et vis avec horreur que le lit en question datait également d'époque. Je m'assis dessus et remarqua qu'il était anormalement confortable.
-Oui, j'ai déjà placer ton matelas dans la chambre, que tu ne sois pas trop dépaysée ! Rassura ma sœur qui avait du remarquer mon air surpris.
-Ah, merci.
-Je t’amène tes affaires, je reviens !
Elle me laissa seule, prenant soin de fermer la porte de ma nouvelle chambre.
Je m'approcha de la fenêtre en espérant ne pas avoir une vue déplaisante. Je fus agréablement surprise. De ma chambre, je pouvais apercevoir une grande forêt et plus loin, un lac sur lequel le soleil se couchait laissant son reflet orangé briller sur l'eau. Je ne sais pas combien de temps je suis restée plantée là, a regarder cette magnifique vue qui s'offrait a moi, mais je remarquait que toutes mes affaires avaient été posée au milieux de ma chambre.
J'ouvris un premier sac, me saisit du contenu et le posa dans une armoire qui se trouvait à l'opposé de mon lit.
Après avoir répéter ce geste une dizaine de fois, je m'approchait une nouvelle fois de la fenêtre. Dans mon reflet, je fis une petite fille les cheveux blonds platine faisant de fortes anglaises, le tien blanc, les yeux bleus roi et un sourire sadique collé au visage. Elle était habillé d'une chemise de nuit blanche style victorien ( )  taché de sang au milieux de son abdomen. Elle tenait un nounours dans sa main droite, et une hache ensanglanté dans la main gauche. Je me retournait avec effroi. Personne. Je pensait avoir halluciné mais je ne savait pas encore que je me trompait. 

La soirée passa très vite et je ne voulut pas parler de ce que j'avais vu a ma sœur. Je savais que j'allais la décevoir a me plaindre sans arrêt et, de toute façon, elle ne m'aurait pas crus.
La première nuit dans cette maison fut mouvementée. Je faisait cauchemars sur cauchemars. Certainement ce changement radical de vie. Ma sœur avait fini par dormir avec moi.
Le lendemain, le fus réveillée par un faisceau lumineux qui me chatouilla les yeux. Je les ouvrit doucement et je réveilla ma sœur qui, comme a son habitude, dormait profondément.
Un grognement sortis de sa bouche ce qui signifiait qu'elle voulait encore dormir. Je me levait donc en toute discrétion afin de rejoindre la cuisine et de prendre mon petit déjeuner. J'ouvris un placard espérant trouver un paquet de céréale mais une voix de petite fille me fit sursauté.
« -Tu occupe ma chambre. Je te l'interdit. »
Ce fus la seule chose que j’entendis avant de m'évanouir . Ma sœur fut alertée par le bruit et courra a mon secours.
Je me réveillait mouillée par l'eau congelée que Claudia venait de me lancer a la figure.
-Qu'est ce qu'il t'ai arrivé Marie ? Me demanda Ma sœur soucieuse.
-J'ai entendue une voix de petite fille qui venait de derrière moi, Lui avouais-je, J'ai vus cette même petite fille dans mon reflet hier.
Ma sœur se mordit la lèvre. Elle me cachait quelque chose.
-Claudia, il c'est passer quoi ici ? La suppliais-je.
-Le meurtre d'une petite fille de 6 ans : Ashen Collins en 1858. Elle a été poignardé pendant qu'elle dormait. Aujourd'hui encore, personne ne sait qui a fait ça. Me répondit elle inquiète de ma réaction.
-Mais t'es malade ! Je reste pas ici une seule minute de plus ! M'emportais-je.
-Et tu compte aller où ? Me demanda sèchement ma sœur.
Je dus me faire a l'idée de vivre dans une maison hantée, parce que nous n'avions nul part où aller d'autres.
Je sentais mon cœur battre a tout rompre, j'étais effrayer par une simple petite gamine de 6 ans, même plus humaine depuis le temps. Mais malgré tout, la frayeur fit place dans mon esprit.

Quelques jours passèrent, et rien d’anormal ne se fit. Je pensait qu'Ashen s'était faite a l'idée que nous occuperions sa maison a présent, mais je me trompais, visiblement.
Claudia remontait le courrier, dont un colis sans timbre et sans expéditeur : Le colis avait été placé dans la boite aux lettres et n'avait pas été envoyé depuis la poste.
Nous pensâmes tout de suite a un colis des parents qui partaient souvent en voyage (c'était la raison de notre déménagement seules) et qui auraient pu passe par ici pour nous donner de leurs nouvelles.
Nous l'avions donc ouvert avec impatiente, et trouvâmes a l'intérieur une enveloppe toute bossues, sentant la pourriture.
-J'ai peur Claudia, qu'est ce que ça peut être ? Demandais-je pas très rassurée.
Elle me rassura du regard et ouvrit l’enveloppe. Elle hurla et m’ordonna de me retourner. Je ne me fis pas prier pour ça et me cachait les yeux, de peur de savoir se que Claudia tenait dans ses mains. Ma sœur s’éloigna et je jetais un coup d'œil dans la carton. Je vis un morceau de papier où était griffonner quelques lignes.
« J'espère que ce cadeau vous plaît. Si vous ne quittez pas ma maison au plus vite, vous retrouverez d'autres morceaux comme ceux-là. Ne vous en faites pas, ils n'ont pas souffert...
XXX
            Ashen »
Était-ce si horrible que cela ?
Je me dirigeais comme pas réflexe dans la cuisine, ou je trouvais Claudia accouder au la table, le visage dans les mains. Devant elle se trouvait des doigts, dont un sur lequel se trouvait une bague qui m'était familière.
Je m'équipais de gants en latex et saisit les morceaux froids d'humains. Je reconnu d'un coup cette bague : C'était celle que j'avais offerte a ma mère lors de mes 9 ans. Elle ne l'avait jamais quitter depuis. Je compris donc le désespoir de ma sœur.
J'étais encore sous le choc et je ne me rendais pas bien compte que mes parents avaient été tués par cette petite peste. Je me tournais et la vis, un large sourire sur le visage, toujours avec son horrible nounours et sa hache ensanglantée. Je réussis a la détailler.
Ses yeux étaient d'un bleu rare et tout simplement sublime. Ses cheveux étaient blond platine, tellement platine que l'on aurait bien pu croire que ses cheveux étaient blancs.
Son teint pâle, tout autant que ses cheveux. Le pire était cette énorme tâche de sang au milieux de son abdomen, étant certainement l'origine de sa mort.
Elle continuais de me regarder, son sourire malsain s'allongeant en voyant que je me décomposait. J'étais mal-à-l'aise, et en même temps, j'avais envie de lui dire tout se que j'avais sur le cœur. Mais la peur m'en empêchait.
-Alors, vous avez fait votre choix ? Vous partez, ou vous pourrez désormais reconstruite vos parents comme un Puzzle.
Sur ce, elle disparut.
J'avais l'impression qu'elle avait quitter les lieux, qu'elle ne reviendrais jamais et qu'elle nous laisserais enfin vivre un vie paisible et normale.
Les jours suivants, tout se passait à merveille. Je me sentais apaisé mais ce fus de courte duré. Un matin, je me réveillait et je fus horriblement surprise de voir se qui se trouvait à ma droite. La tête ainsi que les cheveux de ma sœur et plus loin, le message suivant :
- « C'est vrai qu'elle est Jolie ta sœur ! »
Je hurlait et pleurait tout les larmes de mon corps. Non, ce n'était pas possible ! J'avais beau me pincer et me donner des gifle, je du me résigner a la triste réalité, ma sœur avait été tuée pendant la nuit par Ashen Collins.
Je la vis a coter de mon armoire et je ne pu retenir un cris d'effroi. Elle avait l'air triste de ma réaction.
-Voyons, tu peux toujours enlever ce qu'il y a à l'intérieur et le mettre comme un masque pour lui ressembler ! Me dit elle d'un air innocent.
-C'est monstrueux. Comment as-tu pu faire ça ? C'est immonde ! Tu es un monstre ! Je te hais !
Elle me lança un regard noir avant de me crier :
-J'ai fais ça pour toi ! Je savais que tu étais jalouse ! Et voilà comment tu me remercie ? Tu ne me connais pas Marie, Je vais me venger, te torturer jusqu'à se que tu me demande de t’exécuter !
Sur ce, elle disparut. Ses mots résonnaient dans ma tête. Les heures passaient et je continuait de tourner en rond dans ma chambre. Puis, une main me saisit et me plaqua contre un mur. Elle était en face de moi. Tout les objets volaient dans ma chambre et furent lancé en ma direction. Je pleurait de douleur attendant son prochain acte de vengeance.  Elle posa sa Hache et m'attacha au mur a l'aide de mes vêtements et de couteaux qu'elle fit apparaître de nul part. Je ne pouvais plus bouger. Elle s'approcha de moi, une pince a la main, certainement apparut de la même manière que les couteau et trifouilla dans ma bouche. Je senti la pince agripper une dent et tirer d'un force magistrale tel que ma dents s’arracha sous mes cris de douleur. Elle continua comme ça avec toute les dents de ma mâchoire du haut. Puis, elle regarda mes mains. Elle pris un grand couteau et coupa mes deux index. Je n'arrivais même plus a crier tellement la douleur était forte. Elle me lâcha et me demanda
-Tu veux jouet avec moi à mon jeu préféré ?
Je ne répondit pas mais elle pris ça pour un oui.
Au moment où je vous écris cette lettre, je suis encore entière. Je vous préviens, plus personne ne devra habiter ici ! PERSONNE ! Surtout après avoir découvert le jeu Préféré d'Ashen. Elle l'avait découvert avec les ancien occupants. Leurs fils de 5 ans avait ce jeux et Ashen l'adorait. De quoi je parle ? De M. Patate... »

Cette lettre fut trouvé dans une maison abandonné à coté du corps démembré de la jeune Marie. Cette maison fut alors interdite d'accès . Les rares personne ayant visité la maison on eux aussi redécouvert le jeux préféré de la Petite Ashen...

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A lire avec : http://www.youtube.com/watch?v=EJaqeLYypVM

22 juin 2002, 22H56
Cher Journal,
J'ai terriblement mal, mais je suis encore en vie, c'est l’essentiel.
Comment peut-on dire que cette personne est mon père? Comment fait-il pour taper son propre enfant ?
Je crois que je perds encore plus confiance en moi. Selon lui, je suis une petite saloperie, un connasse et tout se qui va avec. Les mots sont blessants, même si l'on sait que l'on vaut mieux que ça.
Mon père aime m’humilier, il jubile de mon mal-être, alors je ne vais pas lui montrer que je vais mal. Peut-être qu'il me frappera plus fort, mais je saurai qu'il ne le fera que pour la forme et qu'il ressentira bien moins de plaisir que s'il me voyais pleurer ou me plaindre.
Ça fait depuis mon arrivée que je n'ai pas manger, mais bon, je tiens. J'avais fait des provisions au cas où. J'arrive vers la fin, mais il ne pourra pas me laisser indéfiniment sans manger, parce que sinon je mourrais et il n'aura plus personne sur qui taper.
Je sais malgré tout que j'ai de l'importance a ses yeux, je suis son punching-ball donc je ne suis pas absente a son cœur. Même si c'est très rabaissant, je suis tout de même heureuse. C'est terrible hein ? C'est terrible de vouloir être importante aux yeux d'une personne pour qui on est qu'un objet, et rien d'autre...

25 juin 2002, 15H18
Cher Journal,
J'ai au moins une jambe cassé. Je continue tout de même a marcher, parce que si les autres le voient je suis morte. Je pourrait le dénoncer, mais je n'ose pas. Putain de cercle vicieux !
J'aimerais tant ouvrir les yeux aux gens et leur montrer que le monde ne tourne pas rond, qu'il y a beaucoup trop d'injustice et que j'en suis l'exemple vivant, ou du moins pour le moment.
Je l'impression que les autres ferment volontairement les yeux sur se qu'il se passe réellement, alors qu'ils ne devraient que les ouvrir de plus belle.
Ce monde est injuste, et j'en suis la preuve.

29 juin 2002, 23H07
Cher journal,
Tu n'imagine pas a quel point je me sens seule. J'aimerais qu'on même, ne serai-ce qu'un tout petit peu, mais là je rois qu'il n'y a plus aucun espoirs.
Quand j'étais petite, c'était bien moins pire, parce que je n'avais jamais eu droit au bonheur et je ne savais pas vraiment que ce n'était pas normal. Alors que maintenant que je suis parfaitement consciente que ce n'est pas ça la vraie vie, c'est encore plus dur a supporter.
J'aimerais vraiment que cela cesse, ce n'est plus possible pour moi de tenir.
Je crois que j'ai plus mal psychologiquement que physiquement. Je ne sais pas si c'est normal, mais en tout cas, c'est douloureux.

Personnes n'as d'avis sur moi 1er chapitre ?

Merci à Cromimina' !
Au moins elle, elle a lu.
Djanisse → Moi j'aime beaucoup ton chapitre ! Vraiment ^^

foatou91 ► j'adooore !!! la suite la suite la suite !!!

ninqueen ► trop bien !!! j'adore l'histoire d' Ashens Collins !!!

Giniee a écrit :

Coucou mes écrivains ♥


Chapitre 6 !!!!

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Chapitre VI
Je m’installai sur le canapé et il me regarda longuement cherchant mon regard.
Je fis comme si je ne le voyais pas. Puis sans tourner la tête je le regardai et il cria,
-Ben voilà !
-Quoi ? Dis-je
-J’attendais ton attention mais je savais que tu voulais je l’allume la télévision. Bref.
Puis il mit le film.
Durant cette projection, je n’arrêtais pas de penser au croquis d’Emilie. Encore et encore je pensais à cette image. Tout faisait comme un film, le début c’est là où j’ai mis ma main sur le livre au CDI, ensuite, là où je l’ai ouvert et pour clôturé, là où j’ai vu celui d’Emily semblable au mien.
J’étais dans mes pensées, ma tête sur mon genou et mes bras qui serraient ma jambe gauche.
-Qui a-t-il encore ? Me demanda mon frère
Diane ! Wouhouh ! Tu m’entends ? Diane !
Je sursautai !
-Dites donc tu étais loin à ce que je vois !
-Mouais… C’est-à-dire que je pense trop à cette histoire de livre ! C’est dingue ça en une seule fraction de secondes et ben j’ai l’impression de vivre une aventure.
Il se leva et se mis accroupi devant moi et me pris les mains,
-Hey ! Arrête avec ce livre ! Demain tu le rends à l’école. Et c’est fini ! Oublie ça un peu. Tu vas en faire des cauchemars ! Et je ne veux pas que tu deviennes accro.
-Je sais je sais. Mais tu es d’accord que c’est louche !
Peter me raconte ses histoires abracadabrantes, je veux l’aider et par extrême chance je tombe sur Emily, avec qui je voulais faire connaissance, qui détient un croquis identique au mien !
-Oui je sais c’est étrange mais c’est une coïncidence ! Emily l’a peut-être trouvé, elle aussi dans un livre comme le tien ou alors c’est elle qui l’a dessiné !
-Non ! C’est le même Homme qui a fait ces dessins ! J’en suis certaine !
-Calme-toi ! Tu vas aller lui demander où es-ce qu’elle l’a trouvé, et raconter toute cette histoire loufoque à ce Peter ! Compris ?
-Oui. Mais comment je vais aborder la question à Emily moi ? « Où es-ce que tu as trouvé ton croquis ? » Non ! C’est bizarre !
-Et bien moi je ne trouve pas ! Mets-toi à sa place et que quelqu’un te demande ça, tu te dis qu’il est collant, énervant, marrant, mystérieux,…Non ! Tu lui dis ça et puis je suis sûr qu’elle va te le dire ou te répondre !  Dans le pire des cas, tu laisses tomber et tu règles ça avec Peter !
J’haussais les épaules et me levai avec l’aide de ses mains.
Il  me prit dans ses bras et m’accompagna dans ma chambre.
Je me mis dans mon lit et attendis qu’il ferme la porte ainsi que la lumière.
-Bonne nuit et ne rêve pas de ça ! Me chuchota-t-il.
-Je n’y pourrais rien. C’est mon cerveau qui en décidera ! Lui répondis-je.
Je tendis l’oreille pour entendre le son de la porte ce claquer et ses pats descendre l’escalier.
Je sortis de mon lit sur la pointe des pieds et allumais une petite lampe à faible luminosité pour lire ce qu’il y avait inscrit sur ce livre.
Je ne vis rien d’autre que des calculs, schémas, trajectoires,… Jusqu’à une page, la dernière, où il y avait un autre croquis, que l’on distinguait peu d’ailleurs mais je reconnu de suite qu’il s’agissait de celui d’Emily !
Un Homme avec des sortes de lianes plantées dans le corps, de longs cheveux, et ces 2 tâches sur les yeux.
Au moment où je voulu reprendre ma punaise mais j’entendis le son des pats de mon frère monter les escaliers.
J’éteignis la lumière, et me glissa sous les draps très vite et fis semblant de dormir.
En fait il allait dans la salle-de-bain.
Je n’allais pas retourner voir mon livre car à tout moment mon frère pourrait rentrer et me prendre en flagrant-délit en train de gratter avec la punaise le livre que je devais montrer demain à Peter.
Je me mis sur le côté ; sur mon bras et ferma les yeux pour m’endormir.
                                                                                                          A suivre…

Ginie ->
J'adore, je n'es pas tellement d'imagination, serait-il possible que tu dessine une de ses crátures et que tu l'a montre ?
Mercii !

Djanisse ->
J'adore *_*
AH QUAND LA SUITE ?
Je préfère la deuxième histoire, elle est mieux que la première ^^

Alexa → Alors alors voilà une rusalki jeune parce que ses cheveux sont plus ou moins longs^^

"Croquis d'Emily"

Dernière modification par Giniee (Le 06-10-2013 à 13h18)

bereniceM a écrit :

Coucou !

Je poste mon ancienne histoire en entier dîtes-moi ce que vous en pensez et si il y a des choses a enlever ou a rajouter. Je ne suis qu'une débutante !

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Secrets

Chapitre 1 :
« La rentrée. »
La matinée commençait et l’école allait reprendre, les grandes vacances étaient terminées. C’était l’heure pour moi de retourner au collège, celui que je déteste tant. Accompagnée de mes parents, je m’élançai pour une année de plus dans cet établissement qui ne m’avait fait aucun cadeau.
Quand j’entendis M. Loublan le principal du collège, m’appeler au micro,  je m’avançai vers ma nouvelle classe,  mais aucun visage ne me rappelait ceux de l’année dernière, j’étais toute seule.
Le professeur principal, M.Wingshter, prof de Français nous annonça que nous étions les 5°2.
Les « 2 » je les connais ; l’année précédente j’étais en 6°2. M.Wingshter nous amena dans sa classe et dit :
« Je suis votre professeur principal et votre professeur de français, M.Wingshter, vous avez surement entendu parler de moi l’année dernière. »
Personne ne répondit. M.Wingshter prit un paquet de feuille et les distribua à tous les élèves. C’était l’emploi du temps de la semaine ; lundi matin, Anglais avec Mme Rouget puis Math avec Mme Eykair…
J’aimais bien cet emploi du temps ; je finissais presque tous les jours à 16h00. Les autres élèves aussi se réjouissaient. Par la suite, M.Wingshter nous distribua un papier jaune pour nous avertir des sorties de la classe ; on allait visiter une abbaye en décembre ; en février on  partait une semaine en classe des neiges et en juin on allait quatre jours au bord de la mer Méditerranée. Génial ! L’année dernière on devait avoir trois sorties scolaires et deux ont été annulées pour cause de pluie. La troisième avait été particulièrement ennuyeuse.

M.Wingshter nous a distribué des feuilles de papier machine blanche et nous a demandé de mettre le nom et le prénom dessus. Bien sûr, j’ai écris : « Camille Duprés ». Puis il nous a réexpliqué les règles du collège et de la classe. Mon voisin était en train de jouer avec son stylo ; pas « fût fût » celui-là !
Je lui demandai :
« C’est quoi ton prénom ?
-Maxime… Maxime Chriss et toi ?
-Camille Dup... »
Ma voix se fit interrompre par celle du professeur de Français :
« Vous commencer déjà à vous faire remarquer jeunes gens !
Vous allez vite changer de place, vous ! Que je ne vous y reprenne plus ! »
Je le détestais déjà, lui. Soudain, la sonnerie se fit entendre. Je rangeai mes affaires et je  sortis en regardant mon emploi du temps. Bon, ensuite M. Wingshter nous dit d’aller en Anglais avec Mme Rouget salle 306. A ce moment là, une fille de la classe s’approcha de moi et me demanda mon prénom. Je lui répondis que je m’appelais Camille Duprés et je partis sans demander mon reste. Je savais que ce n’était pas très poli mais je n’étais pas sociable.

Mme Rouget était super sympa mais faisait de drôles de grimaces quand elle nous proposait d’écouter des conversations à l’ordinateur. En plus elle donnait trop de devoirs : un dialogue de dix lignes à apprendre par cœur pour le lendemain et deux exercices. « C’est de l’injustice » moi j’dis !

Chapitre 2 :

« Maman mystère. »

Heureusement les cours étaient terminés pour aujourd’hui. Ouf ! En sortant, la fameuse fille de la classe, Anne Honyme  (il faut bien lui trouver un nom) se pointa devant moi et dit :
« Salut, moi c’est Emilie Marchant. Tu  étais à quelle école l’année dernière ?
-Brassens, lui répondis-je.
-Moi à St Exupéry c’est drôle c’est à l’opposé ! cria-t-elle.
-Bon je ne vais pas pouvoir papoter plus longtemps avec toi, il faut que je rentre. Désolée…
-A demain alors ! »
Qu’est-ce qu’elle me veut celle-là ? Bon ça pourrait être mon amie et elle a quand même l’air sympathique. Allez je vais faire un effort ; demain je serai cool avec Emilie.
Avant de rentrer, je passai chercher ma petite sœur Lucie en primaire (donc à Brassens), puis nous arrivâmes à temps pour le diner. Lucie était au CE2, elle avait de longs cheveux blonds avec des petites bouclettes ; c’était trop chou ! Elle venait de nous apprendre que sa maitresse était à l’hôpital et qu’elle avait déjà un amoureux qui s’appelait Gabriel. Soudain ma mère dit :
« Et toi Camille, tu as fait quoi aujourd’hui ?
-Rien. Le prof principal nous a donné des millions de papiers à rendre demain. »
Ma mère ne dit mot, elle avala une cuillérée de soupe et se leva pour aller chercher la carafe d’eau. En passant elle jeta un coup d’œil sur son Black Berry puis le remit dans la poche de son jean. Puis elle lança :
« Qui est ton prof principal ?
-M.Wingshter, dis-je. »
Ma mère me regarda comme si elle avait appris une mauvaise nouvelle. Le regard fixé sur moi avec ses yeux grand ouverts, elle s’assit sur sa chaise et soupira. Mon père ne disait rien il était trop occupé à manger et ma sœur touillait sa soupe sans s’arrêter.
Le repas terminé, maman alla dehors. Je l’observai devant la fenêtre quand papa me dit :
« Camille, monte te coucher ! »
Ma sœur me prit la main et m’emmena dans ma chambre. Je ne sais pas pourquoi elle aimait ce geste, mais c’était mignon. Ce soir et pour la première fois je n’avais pas bouquiné.
Je réfléchissais à la réaction de ma mère sur M.Wingshter. La tête qu’elle avait ! Peut-être qu’elle le connaissait.
Il était trois heures du matin et papa était là à côté de moi et me caressait les cheveux il me demanda :
« Qu’est-ce qui ne va pas Camille ?
-Rien, j’ai…j’ai fait un…un cauchemar horrible.
-Rendors-toi ça va passer ma bichette.

Le lendemain matin, à l’heure du petit-déjeuner, papa me demanda si ça allait et je répondis que oui. Comme tous les matins, j’emmenai ma petite sœur à l’école et je partis au collège. En arrivant, je vis un garçon aussi beau qu’un arc-en-ciel ; un blondinet aux yeux d’un bleu des plus clairs. Il me rappelait quelqu’un mais d’où ? Bonne question.
Ceci dit je n’avais aucune chance de tomber dans les bras de ce gars.
En rentrant en cours de maths je revis ce bel inconnu. Il était dans ma classe bien sûr. Je n’écoutais rien du cours, je le regardais sans le quitter des yeux. Soudain, Mme Eykair se mit à crier :
« Rudy, c’est bien ça ? Tais-toi et écoute le cours ! »
Et en plus il s’appelait Rudy. J’étais amoureuse !...
    







Chapitre 3 :

« Maman au restaurant !»

Un soir, en rentrant avec Lucie, maman parlait au téléphone d’un air très inquiet. Dès qu’elle eût finit  la conversation, je lui demandai qui était à l’appareil. Elle me regarda longuement et bafouilla que c’était papa qui avait une panne de voiture. Je la fixais sans regarder ailleurs.
Quelques minutes plus tard, papa rentra souriant, comme tous les soirs. Je l’embrassais puis lui demanda si la voiture allait être rapidement réparée. Il répondit :
« Ma chérie, la voiture va très bien, pourquoi me demandes-tu cela ?
-Rien… C’est juste que… que ce matin maman est rentrée dans un lampadaire mais la voiture n’est pas trop cabossée…  T’inquiète pas. Ne lui demande pas de te raconter, j’ai déjà essayé mais… mais elle ne veut pas remuer le couteau dans la plaie. »
Papa ne dit rien il posa son manteau sur une chaise de la salle à manger, s’assit dans un fauteuil et regarda le journal d’aujourd’hui :

Ethan, le jeune garçon de 13 ans qui a disparu il y a à peine 3 jours a été retrouvé vivant hier soir au bord d’un lac. Les enquêteurs cherche à savoir si il a était enlever ou si il a fait une fugue.

« Hélène, le garçon qui a disparu a été retrouvé vivant, s’écria papa. »
Ma mère se figea. Elle resta muette.
Mon père, voyant que ma mère n’avait pas la forme, se leva et alla la voir dans la cuisine.
«  Chérie, je vois qu’en se moment ça ne va pas, alors si on allait au restaurant ce soir ? dit papa.
-Euh… d’accord, dit maman, qui n’aime pas trop y aller. »
Je les observais depuis les escaliers et me réjouissais pour maman, qui allait enfin prendre l’air avec papa. En douceur, je montais les marches une à une et rejoins ma chambre.
C’était une belle pièce (ma préférée, normal !) peinte en bleu avec des meubles blanc et un grand lit en hauteur noir. Un bureau bordait la chambre et des rideaux rouge orangé illuminaient la pièce. Je fis mes devoirs en vitesse et descendit. Lucie me rejoignit immédiatement avec son doudou qu’elle ne lâchait jamais. Maman dit :
« Nous allons au restaurant avec papa. La soupe est prête et j’ai aussi fait des raviolis pour vous. N’oubliez pas de vous brosser les dents après le repas, d’accord ? A tout à l’heure Camille et à demain Lucie. Soyez sage les filles.
-Au revoir, lança mon père. »

       






Chapitre 4 :
« Dans la peau de sa mère »

Pendant que je regardais ma série préférée, Grey’s Anatomy, le téléphone de maman sonna, elle l’avait oublié. Je décrochai et entendit une voix d’homme qui m’était familière.
«  Allo, dis-je.
-Coucou c’est encore moi Hélène, je ne l’ai pas trouvé, désolé. »
Paniquée je répondis :
«  Ce n’est pas grave, écoutez… euh écoute je n’ai pas le temps là. A plus ! »
Je suis contente qu’il ait cru que c’était maman. Mais, qu’est-ce qu’il n’a pas trouvé ? Je ne comprends pas. Maman nous cache quelque chose et je dois découvrir ce que c’est.
«  Lucie c’est l’heure de se coucher maintenant, lui dis-je.
-Encore un peu s’il te plait Camille !
-Non, va te coucher et ne discute pas ! »
Elle s’exécuta et fila à toutes jambes dans sa chambre. Quartier libre pour moi. Il fallait que j’essaye d’en savoir plus sur ce que ma mère cherchait.
Je fouillai tout les meubles du salon, ceux de la cuisine et de la chambre de mes parents.
Mais je n’y trouvais rien. Je me résignai à fouiller le portable de ma mère. Toujours rien.
Elle a du effacer tout les messages de ce mystérieux inconnu. Dommage !
Je commençais à stresser comme une malade. Qui était-il ? Que voulait-il ? Et qu’est-ce qu’il
n’a pas trouvé ? Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête, à droite, à gauche, en haut, en bas dans mon cerveau. Tout d’un coup, Lucie fit irruption dans la pièce :
« Camille j’ai peur !
-Qui a-t-il ? demandai-je.
-J’ai entendu du bruit qui venait de la fenêtre lors je me suis penchée et j’ai vu un homme par terre. »




Chapitre 5 :

« Faute avouée à moitié pardonnée ? »

Le lendemain matin je ne pris pas le temps de prendre mon petit déjeuner. Je ne supportais pas de vivre en présence d’une « criminelle » à la maison. Alors je sortis en pleurant, en me demandant pourquoi ma mère avait fait sûrement quelque chose de grave. En passant je regardais si l’homme qu’avait vu Lucie était là. Non, personne !
Je marchais le long de la rue Marcel Pagnol en réfléchissant, en me creusant la tête, en repensant à tous ces évènements qui me hantaient. Pourvu que maman n’ait pas fait une grosse bêtise. Je l’espérais ! Mais comme je suis très futée j’ai pris soin de prendre le portable de maman. Soudain, un appel. J’étais très stressée à l’idée de répondre. Je décrochai.
« Allô, soupirai-je. »
Je reconnu immédiatement la voix de tante Cécile. Quel soulagement !
« Coucou Camille, c’est bien toi ?
-Oui, comment vas-tu ?
-Bien, t’as mère est là ?
-Euh…non elle…elle est allée faire des courses.
-Ok, alors tu pourras lui dire que j’aimerais passer un week-end chez vous si ça ne dérange pas, car je m’ennuie un peu à Nantes.
-Oui je le lui dirais, au revoir Cécile ! »
Ouf ! Mais j’aurais préféré savoir ce que l’homme n’avait pas trouvé. De plus, ça ne m’arrangeais pas que tante Cécile vienne à la maison. Elle allait savoir que sa sœur manigançait  quelque chose. Ce n’était pas bon du tout, ça !
Je me demandais si cet homme que Lucie avait vu dans le jardin n’avait pas un rapport avec tout ça.
Pendant que je marchais dans les rues les poings fermés, la bouche creuse et les sourcils froncés un garçon traversa la rue. Il me plaisait bien, même beaucoup. Il était cent fois plus beau que Rudy.
Je sortis mon portable et  hop c’était dans la boite. Personne ne pouvait résister à un blond à la mèche rebelle. De loin, il avait l’air angoissé, mais je ne voyais pas très bien. Je rentrai quand même à la maison. En rentrant papa râla :
« Où étais-tu passée Camille ?
-Nulle part, je suis allée prendre l’air c’est tout ! »
Je lançai à maman un regard sombre et plein de haine qu’elle remarqua brusquement.
Elle s’éclipsa. Papa resta seul avec Pitchounet, notre chat noir et gris et Juna notre chienne. Il regarda derrière lui et soupira. Avant que maman n’aille dans sa chambre je déposai son téléphone sur la table de chevet à côté de son lit. Ni vu ni connu, je filai  dans la mienne.
J’entendis les pas de maman. Elle escaladait les escaliers en pleurant, se posa sur son lit et continua à verser des larmes. J’entrai à mon tour et m’assit sur la couchette.
« Maman que se passe-t-il ? Demandai-je calmement  »
Elle me regarda sans dire un mot, me prit la main et m’avoua :
« Ecoute Camille j’ai fait une grosse bêtise, je me suis laissé embarquer, je n’aurais pas dû.
-De  quoi maman ?
- Euh…Il y a treize ans ton père a eut un accident de moto. Il a été dans le coma pendant deux mois. Et moi je l’ai attendu, mais un jour un homme m’a gâché la vie.
Il…Il m’a séduite et j’ai craqué. Quelques mois plus tard j’ai découvert que…que j’étais enceinte…
-Tu veux dire que papa n’est pas mon père ? dis-je très énervée.
- Oui euh…non ce n’est pas…
- Je m’en vais ! »
J’étais très déroutée et vexée : comment avait-elle pu me mentir pendant tout ce temps ?

Chapitre 6
« Encore et encore ! »

« Camille, c’est l’heure de se réveiller, un beau weekend s’annonce, s’écria papa. »
J’avais très mal dormi, les paroles de la veille m’avaient bouleversée et papa qui était si gentil avec moi et avec maman, d’ailleurs est-ce toujours ma maman ? Je m’habillai en vitesse et couru vers la cuisine ; je mourais de faim ! Maman avait acheté des croissants tout chauds et avait fait de bonnes tartines. Mais moi je n’en voulais pas je pris un bol de céréales et montai dans ma chambre. Je ne pouvais plus la voir ! Soudain maman entra et s’assit sur mon pouf.

« Ecoute, tu ne m’as pas laissé le temps de t’expliquer, ce n’est pas toi, j’ai eu un autre enfant…
-Quoi ? Et c’est qui ?
- Je ne sais pas cela fait 10 ans que je ne l’ai pas vu.
- Pourquoi tu ne nous l’a pas dit plus tôt ? Me calmais-je. »
Maman ne dit rien, elle pleura puis sortit de la chambre en courant.
J’étais anéantie, non seulement elle avait eu un amant et en plus elle avait eu un enfant.
Je m’effondrai sur mon lit et éliminai toutes les larmes de mon corps. Tout à coup, on frappa à la porte d’entrée. Je dévalai les escaliers pour aller ouvrir. C’était Mme Grimb, une gentille voisine de 70 ans, qui nous avait apportée quelques légumes de son jardin. Soudain elle dit :
-Pourquoi pleure-tu ma petite ?
- Rien, c’est…c’est maman qui m’a grondé car…car je n’avais pas passé l’aspirateur,ni nettoyé la salle de bain ni rangé la cuisine.
-Ta mère t’en demande beaucoup aujourd’hui, si tu venais manger chez moi pour faire oublier tout ça à ta maman. De plus, Clarinette et Basson seront contents de te voir.
- D’accord Mme Grimb et merci ! »
Clarinette et Basson sont deux adorables caniches, qui aiment jouer à la balle tout le temps.
Et qui redonnent le sourire à Mme Grimb.



Chapitre 7 :
« Un bel inconnu »

Cela m’avait fait du bien de déjeuner chez Mme Grimb : poulet rôti et frite. En sortant je faillis m’évanouir ;
Le beau blond passa dans la rue d’en face. Je le suivis discrètement. Il s’engagea dans une allée étroite. Cachée derrière un buisson, je l’observais, une ombre féminine s’approcha de lui et le prit dans ses bras, c’était émouvant. Je ne voyais pas le visage de cette femme mais cela ne me concernait pas. Je m’éclipsai en douceur et dévalai la rue Marcel Pagnol.
En rentrant, je vis papa qui regardait la télé et Lucie qui jouait avec ses poupées.
« Papa, maman est là ?
-Non, elle est allée faire des courses car il n’y avait plus d’œufs et de beurre, dit mon père.
-Ah. »
Bonne nouvelle ! Je montai les escaliers et allai dans la chambre parentale. Je fouillai tout les tiroirs mais rien. J’avais déjà essayé de chercher la dernière fois, mais en vain. Je jetai à nouveau un œil dans l’armoire de maman. Je tombai sur une feuille d’identité appartenant à Ethan Wingshter. « C’est le fils de mon prof principal » pensai-je. Alors, pourquoi maman a-t-elle sa fiche personnel, si elle n’est pas sa…  ? Je crois que je commence à comprendre. Mais je suis terrifiée ! J’ai peur de la réaction de papa quand il va apprendre tout les mensonges de maman…

Chapitre 8 :
« La révélation »

En fait, maman était la maîtresse de M. Wingshter, si je comprends bien, donc, par erreur elle a eu Ethan, l’enfant de treize ans qui a disparu, je pense. J’étais bouleversée. En plus, demain j’allai revoir celui qui a gâché notre famille ! Rien que d’y penser cela  me donnait des nausées !
Le lendemain, très agacée, je m’habillai, prit une chocolatine dans la cuisine et me rua à la porte. Je revis encore mon beau blond. Il fallait bien lui avouer mes sentiments, mais je suis trop timide. C’est lui qui s’avança vers moi, il dit :
-Bonjour, on est dans quelle rue ?
-Pa…
-Hé ! »
Je jouais la comédie, faire semblant de s’évanouir ça peut marcher, non ?
Il me rattrapa et me tapota doucement la joue. Je m’éveillai, le regardai longuement avant de lui dire merci et de lui sauter au cou. Il me demanda qui j’étais et ou j’allais je répondis :
« Je m’appelle Camille Duprés, j’ai 12 ans et je vais au collège La Rocal.
-Moi c’est Ethan Wingshter et… Camille réveille toi !
J’étais retombé dans les pommes, mais cette fois-ci pour de vrai ! Ethan m’emmena chez moi (la maison la plus proche) et découvris ma mère qui s’affola pour moi et pour lui. Il ne pouvait pas débarquer comme ça ! Maman devait des explications à papa et ce n’était pas gagné !
Papa entra dans le salon où Ethan m’avait délicatement déposée et le regarda :
« C’est toi qui l’a trouvée, demanda- t-il paniqué.
-Oui monsieur.
-Merci mon garçon, comment tu as su que nous  habitions ici ?
-C’était la maison la plus proche, monsieur.
-Ah oui je comprends, comment va -telle ?
-Bien, répondit maman inquiète. »
Ethan regarda maman. Il dit :
-Ecoutez, monsieur je suis Ethan Wingshter et c’est moi qui avais disparu. Je…je…je suis le fils de votre femme. »
Papa resta bouche bée, il prit son manteau et sortit énervé. Maman s’effondra en pleure dans les bras d’Ethan. Je me réveillai soudain, en voyant le beau blond et maman l’un contre l’autre.
-Maman ?
-Camille ? Comment vas-tu ?
-Je crois que ça va. Mais qu’est-ce qu’il fait là ?
-Tu le connais ? demanda maman. »
La mémoire me revenait peu à peu.
-Oui…C’est…C’est ton fils dont je suis tombée amoureuse, maman !
   








Chapitre 9 :

« Vérité et colère apaisées ? »

Ethan me regarda les yeux pleins de larmes. Maman aussi. Elle me prit dans ses bras et invita Ethan à se joindre à nous. A ce moment là, Lucie entra dans le salon.
« Vous faîtes quoi ?
-Rien ma chérie, dit maman, Camille a eu un petit malaise, c’est tout.
-Ah, et c’est qui le garçon ?
-C’est le sauveur de ta sœur.
-Ah, répondit Lucie.
Je me jetai dans les bras d’Ethan, maman pleurait et Lucie rigolait. Ethan me sera fort contre lui. Soudain, papa rentra et prit ma mère appart :
-Ecoute Hélène, j’aimerais savoir ce qui s’est passé ? dit papa en reprenant son souffle.
-Chéri, je suis désolée...mais il y a 13 ans, quand tu étais dans le coma, par erreur, j’ai étais séduite par un homme et je n’ai pas résisté à ses avances. Tous les jours, il m’offrait des fleurs…bref, et un jour j’ai découvert que j’étais enceinte de 3 mois, tu venais juste de sortir de l’hôpital. Alors, quand tu l’as appris tu étais très heureux ! Je t’ai fait  croire que j’étais enceinte d’un mois. Et un jour j’ai accouché d’Ethan secrètement et quelques mois après, Camille est arrivée. J’ai confiée le petit a son père qui était divorcé avec trois enfant a ce moment là et lui avait dit que je ne voulais plus jamais le revoir, je ne me doutais pas que ça serait le prof principal de notre fille. Camille est vraiment ton enfant, Jean !
-Excusez-moi d’avoir semé la pagaille au sein de votre famille, monsieur Duprés, bégaie Ethan.
-Ce n’est pas de ta faute, lança papa calmement. »
En entendant le récit de maman, papa ému avait beaucoup réfléchi  et avait décidé de pardonner. Mon père avait décidé de parler avec Michel Wingshter. Il était d’accord pour faire la paix et vivre une vie normale sans dispute. Il invita la femme et les quatre enfants de M. Wingshter, Lisa, Arnaud, Coralie et Alexandre à diner. C’était vraiment le meilleur mari et papa du monde mon père !
Ils discutèrent tranquillement de ce qui s’est passé il y a 13 ans pendant que nous, les enfants nous faisions connaissance. Lisa, 8 ans, est une petite fille très vive et qui est très curieuse. Arnaud, 11 ans, gentil et très intelligent ! Coralie, 14 ans, toujours dans sa bulle et ne parle presque jamais. Et Alexandre, 17 ans, qui est un savant qui en fait même trop. Il va faire des études de robotique et médecine. Normal avec 16/20 de moyenne…
Pendant le repas, Annie Wingshter demanda à ma sœur :
« Lucie, tu as quel âge ?
-J’ai 7 ans, madame.
-Bientôt huit, ajouta maman avec un petit sourire.




Chapitre 10 :

Ethan était aussi présent au repas. Je m’éloignais un instant pour lui parler. Ma timidité s’était évanouie. Je lui avouai une deuxième fois mes sentiments, m’approchai de lui et me laissai aller. Jamais cela ne m’était arrivé ! Pour moi, Ethan n’était pas seulement mon demi-frère mais aussi celui que j’aimais.
Nous revenons dans la salle à manger main dans la main. Les parents se regardèrent intrigués. Soudain papa dit :
« Venez les amoureux ! Le dessert est servi. Tout le monde se mit à rire. Cela ne dérangeait personne.
Papa, Maman, Lucie, Michel, Annie, Ethan, Alexandre, Coralie, Arnaud, Lisa et moi-même vivions  pour l’instant  heureux !

Des avis ??? Il y a une suite à cette histoire que j'ai pas fini !

Bonjour.

Giniee, ce topic est fait pour montrer ses talents d'écrivain, pas ses dessins.

Merci de lire les règles

   Coucou La P.T.E. ♥

Le moral ne va pas fort en ce moment, l'inspiration non plus d'ailleurs. J'ai quand même écrit une chanson sur mes géniteurs. Et j'ai commencé une nouvelle histoire [ Histoire d'un viol. ]

Chanson :

                                    Repères.
Couplet I :

J'en ai deux.
L'un m'a abandonnée,
L'autre m'as délaissé.
Il demande le pardon,
Malgré l'abandon.
Ca a beau être mon véritable géniteur,
Pour l'heure,
Je ne me sens pas prête pour le pardon.

Refrain :

Repères, Repères, Repères.
Suis-je sur Terre,
Pour un inconnu,
Qui est mon père ?

[Ohwo, Repères...]

Couplet II :

Peut-être attends-t-il mon pardon,
Peut-être n'étais pas un volontaire abandon ?
Trop de questions,
Sans réflexions...
Plus de sacrifices.

Refrain :

Repères, Repères, Repères.
Suis-je sur Terre,
Pour un inconnu,
Qui est mon père ?

[Ohwo... Repères.] x3

Des avis ? :$ ♥ Je reposte dès que le moral est revenu...

Bon Jeu Les Crominettes, Kissouilles. ♥

~Kahyna.

Dernière modification par Kaahyna (Le 06-10-2013 à 19h16)

Kiki' → Ça concerne mon livre:rolleyes:

Tu es quand même Hors-sujet, les dessins ce n'est pas ici qu'il faut les montrer.

Coucou ^^
Désolé d'avoir été aussi longue à écrire mon VII ème Chapitre mais je ne l'écris pas désolé.
Je vais le faire bien sûr mais j'ai retouché les tournures de mes phrases ^^
Je vous souhaiterais une excellente lecture tout-à-l'heure
Soyez patients
Je vous embrasse (dans le cou x))
Et à tout'

J'aime ton histoire Giniee

PS : J'arrive pas à répondre au message ! 

Katty2→Merci beaucoup ^^
BUG !