Cromimi - 1° gioco online gratuito di animali domestici virtuali

Giniee : Pourquoi vraiment pas bien ? MP ?
Je commente ton chapitre dès que j' ai finit le mien ^^

Givre > O.K.
D'accord

Sylvain O' Lutey

Chapitre 21

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Enfin , j' allais savoir . Savoir et peux être même comprendre la raison de l' exil des Tsellre de la Glace et de la Lumière . Je tressaillais d' impatience , mon regard vert émeraude , avide ne quittant pas celui entièrement doré et presque résigné de Natacha . Plus loin Amanda s' étais assise les leçon d' EPS sécher payant désormais le prix fort .
- Ce que je vais te narrer là , c' était pas hier alors je te jure que je n' est strictement rien à voir avec ce genre d' actes ! Me confia t-elle la voix pressante .
Je fronçai les sourcils . A vrai dire cette précision n' était pas faite pour me rassurer . Si Natacha écartait sa propre personne de cette histoire c' était que ce qui c' était dérouler (bien qu' il y a très longtemps à en croire ses dires et ceux du maitre) ne devait pas être si anodin . Je me remémorai la réponse de mon mentor à cette même question . " Cela soulève de bien trop sombre question " . Maintenant je n' étais plus vraiment sur de vouloir apprendre ceci . Mais d' un autre coté j' étais persuadé que dans cette quête mieux valait en savoir trop que pas assez . Quoique... je me rappelai avoir dit une fois à Alicia histoire de la faire flipper " Le savoir est ton pouvoir mais peux aussi être l' artisan de ta mort ! " La première fois que j' avais déclamer une tel chose c' était dans un contexte totalement différent et bien entendue moins sérieux . Sauf que a cet instant précis cette phrase me trotter dans la tête sans que je puisse m' en défaire , m' emplissant de doute . Après mainte réflexion j' hochai toute fois la tête à l' intention de Natacha qui sembla à la fois soulagée et réticente à l' idée de satisfaire ma requête . Mes intuitions de confirmèrent quand celle-ci laissa échapper de ses lèvres en bouton de rose un profond soupir .
- Je crois que j' ai plus vraiment le choix ! Grommela t-elle
- Effectivement , j' aimerai que tu répondre à ma question s' il te plait .
- Ok ok ça va ! Alors comme tu le sais touts les 22 ans tout les Tsellre de plus de 16 ans se réunisse là ou siège le conseil , afin d' élire notre nouveau maitre .Chaque espèce de Tsellre présente un candidat .
Je l' encourageai à continuer , connaissant parfaitement les rites de notre espèce , que nous appliquions docilement étant donner que ces ordres venait de nos ancêtre . Tolario l' esprit de la Terre dans mon cas .
- Les Tsellre des Glace présentaient au poste de maitre de la secte des Tsellre Jayce , un influent et imaginatif stratège, membre de leur espèces qui avait toutes ses chances . Les Tsellre de la Lumière présentèrent une jeune femme , rusé et maline comme un renard : Horacia . C' est à cause de ces deux imbéciles que on a été exilé . Cracha t-elle amère .
- Oh ! Encore une histoire de pouvoir , comme si je n' en avait pas assez entendue ! Fit-je en instant sur le " encore "
- Au début oui , mais la vérité c' est que c' est beaucoup plus complexe que ça...
Pensive , je me mordillai les lèvres cherchant encore et toujours cette faute si grave qu' avais commis des générations de Tsellre précédente .
- Les Tsellre de la Roche avait présenter comme candidat un très jeune homme . La vingtaine environ qui lui avait malgré son très jeune âge une chance deux fois plus importante d' être élu maître de la secte . Je crois qu' il s' appelait Yohann . Continua t-elle le regard éteint , plongés dans ses pensés et récitant presque mécaniquement cette histoire .
- Continue . Murmurai-je sachant qu' elle faisait une énorme effort en me révélant une partie de l' histoire des Tsellre de la Lumière . Une partie d' elle .
- Ben oui que je vais continuer ! Tu m' a lancer tu m' arrête plus ! S' écria t-elle toute sa fougue retrouvé .
Je levais les yeux au ciel . Après tout c' était à Natacha que je m' adressais . Il fallait la prendre avec des pincettes sinon on était pas à l' abris d' une saute d' humeur .
- Ce que l' on savais pas de Jayce c' est qu' il était assez sournois . Alors quand Yohann à était élu il a fait genre c' était pas grave , il était bon perdant mais il l' était pas vraiment en faite .
- Heu... merci je savais que lui et Horacia c' était les méchants hein ! Criai-je ne pouvant plus me retenir .
La jolie blonde me donna une tape négligente sur le boud du nez avant de poursuivre son récit :
- Jayce à enrôler Horacia . A eux deux ils on fait quelque chose que aucun Tsellre n' avais imaginer . Ils ont unit leur esprits par la force des éléments jusqu' a ne former plus qu' un seul et même être . Ainsi est né la huitièmes espèce des Tsellre enfant de l' esprit d' autresTsellre . On a appelés cette espèces " l' anomalie interdite " . L' anomalie interdite qui était la fusion de l' esprit de Jayce et Horacia à fait fusionner les esprit d' autre Tsellre de la Glace et de la Lumière . Parfois même les propres enfante de Jayce et Horacia !
- C' est horrible... Chuchotai-je la voix tremblante et les yeux humides à l' écoute cette histoire bien plus sombre que je ne me l' était imaginer .
- Après avoir créer toutes cette armée d' Anomalie Interdite dans le seul but d' accéder au pouvoir , ils on assassiner Yohann . Puis la totalité des Tsellre de la Roche . Avant de s' en prendre aux Tsellre de la Terre , puis à ceux du Feu et de l' Eau et de terminer par les Tsellre du Vent . Le monde à vécut près de deux siècles sans Tsellre .
Après cette révélation , deux sillons luisant parcoururent mes joues . D' un geste rageur je les essuyer m' en voulant de paraitre faible . Natacha , elle ne se retenait pas . Le visage ravager de larmes , les yeux bouffis et rouge elle eu la force de terminer son récit .
- Les esprit des éléments , sans descendance se réunirent tout les sept et anéantirent jusqu' a la dernières des anomalies interdites . Alors c' est là que Luimovs l' esprit de la Lumière et Gloracia l' esprit des Glaces furent exilés . Plus tard touts les esprits redonnèrent naissances à des Tsellre . Je tairai le reste de cette histoire .
Je croisait son regard doré , embué de larmes et lui mettait la main sur l' épaule dans un geste compatissant .
- Et qu' es ce que foutez ? Cria Amanda toujours aussi désagréable .
- Casse toi . Lâchai-je exaspéré .
Amanda allait surement me jetais un enchantement de Tsellre mixé ou me gifler mais elle n' en fit rien car tout d' un coup Jeremy se matérialisa devant nous aux coté d' Iris tout deux venant du ciel .
- On a trouver Arthur et ... c' est pas joli ce qu' ils lui on fait ! Déclara Jeremy cette fois sans aucune malice .

Givre > Il y a quelques petites fautes. Mais sinon c'est toujours aussi bien écrit ! Bravo ! J'aime beaucoup <3 Je viens de la lire en 4 minutes ? WOW *-*

Giniee ; Merciiii ♥

" Sans bousculer tout le monde je m' y allongea et trouva le sommeil aussitôt " j' aurai mis " Je parvient à aller devant ma couchette de fortune , sans bousculade . Le sommeil ne se fit pas attendre "
Quelques fautes d' inattentions et de conjugaisons . J' adore le moment ou tu décris Marie-Camille . Jolie chapitre ! Comme d' habitude j' aime beaucoup ! ♥

Dernière modification par givre (Le 15-01-2014 à 18h55)

Givre > Merci de cet avis ! C'est très gentil !

Giniee a écrit :

Coucou,
Quand il y aura un chapitre plus gai, vous écouterez ça avec :

Givre > "Que la fin soit abrupte" est plus français
P.S. > Désolé du double-post !

Le mec il le fait trop bien

http://www.youtube.com/watch?v=HzC2-GJu1Q8
http://www.youtube.com/watch?v=iIj07LL57RA
http://www.youtube.com/watch?v=6I3kgbBp6PY
http://www.youtube.com/watch?v=Z3C83KdIljo
http://www.youtube.com/watch?v=qO1dtLU7PTw
http://www.youtube.com/watch?v=s_BU8YCjV1M

Yen a plus !

Dernière modification par Icarly785 (Le 16-01-2014 à 15h24)

Bonsoir

Giniee -> j'aime bien la chanson elle est .... un peu fun x3

Giniee a écrit :

Givre > Salut ! C'est bon ? Excuse mon attitude, je ne suis vraiment pas bien en ce moment.
Bref.
Voici la suite du Chap.23 :

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Je courra jusqu'à l'endroit où nous avions éparpillés du foin sur un parterre d'herbe salie. Sans bousculer tout le monde je m'y allongea et trouva le sommeil aussitôt. Cependant, cette nuit, comme toujours, je n'avais pas dormi beaucoup. Elle fût longue et sans beaucoup de repos. D'après mon frère, je vivais des songes à trop rêver. Mais quand j'y repense, je rêve ce que je vis. L'envie de franchir ce drapeau qui volait au-dessus de nous me brûlais : Je suis aux portes des Contrées de l'Ouest, les terres Rusalkis. Et demain, j'y rentrerais. Et en sortirait épaulée d'Emily qui affichera sans-doute un sourire qui signifierait sa fierté. Mais voilà encore que je repense à Marie-Camille. Je ne peux l'oublier. Elle m'est si parfaite. Bien que jamais, mon espèce, je la considérait comme... ne serait-ce, belle, Marie-Camille fût bien la seule que je m'imagine jolie. Je la vois... Les cheveux sombres, fouettés par le vent qui ne laisse que frissons s'y installer, cachant ses yeux d'un vert plus sobre, mais cachaient par dessus tout ses larmes qu'elle ne voulait pas laisser tomber. Des larmes avec un reflet de corbeau, des plumes. La couleur du corbeau, la texture du corbeau, la fragilité du corbeau,... Son corps contusionné, pâle, ses joues rosies par le froid, son regard furibond qui ne lui avait pas laissé le temps d'affronter, elle seule les Rusalkis qui la martyrisait. Mais non, elle ne disait rien. Pas un mot ne sortait de sa bouche. Elle souffrait en silence. Ses bras accrochés à un arbre qu'elle décortiquait avec ses ongles, l'écorce qui tombait. Elle étouffait plusieurs cris sans laisser échapper un son. Pourtant, c'est ce que ces abrutis de gardes trop débiles pour oser suivre un chef de clan si inconscient, voulaient entendre ; La douleur. Mais Marie-Camille ne voulait pas leur faire croire qu'elle souffrait. Elle ne voulait pas leur faire du bien mais souffrir eux aussi. Parce que, sous ses yeux doux, elle avait vu son mari se faire poignarder sans remords.
Alors je me leva, encore sous le choc. Je chassai la paille du pantalon qu'Emily m'avait conseillé et alla m'asseoir près d'un lac. Et encore et toujours, je me noya dans la tristesse. Je jeta un coup d'œil déprimé au lac, voulant voir mon reflet mais ce ne fut pas totalement le cas. Je voyais dans ce reflet que j'avais étrangement et soudainement changé. Je ne me reconnaissait pas. Non. En-fait, avec de la réflexion qui aurait pu de suite me venir à l'esprit je voyais Marie-Camille. Surprise, je bougea une main pour être sûre que c'était bien ma sœur que je voyais dans le lac. Sa main bougea aussi. Son reflet était le mien. Me rendant compte que de là où elle est, elle me vois et me surveille jour et nuit. Je respirais péniblement, la mort dans l'âme. Alors je souris, il s'afficha sur mes lèvres et sur celle de mon reflet. J'étais heureuse. Mais une larme coula sur ma joue et quand je voulu la retenir, elle tomba malencontreusement à l'eau. Celle-ci s'agita et le visage de Marie-Camille disparu. Je me revoyais. Le sol frais lisse entra en contact avec mes genoux, puis mes paumes, mon front enfin. J'en appelai délivrance à la tristesse. Malheureusement, comme je l'aurais souhaité, je ne m'évanoui pas. Les grosses vagues de douleur, qui jusqu'alors s'étaient contentées de me désirer, me frappèrent, aujourd'hui. Elles se soulevèrent, rugissant. J'en entendais le cri, s'abattaient sur moi et m'engloutirent. Je sombrai dans un profond désespoir, certaine de ne plus jamais revoir la joie.
-Es-ce que tu te sens bien Diane ? me demanda affolé Peter
Je sursauta, et essayait de cacher mes larmes noires, pour que Peter ne sache pas ce que je suis. Trop tard. Il gonfla ses poumons, la bouche entrouverte et les yeux écarquillés. Ebahi, il me regardait. Je me sentait mal-à-l'aise et me releva. Et sans plus cacher ma honte, je déboutonna ma chemise, puis enleva mon pantalon.
-J'ai un truc à te montrer...
C'est alors que je me pencha vers le lac retournée. Mais une petite voix sèche bourdonnait dans ma tête, me disait de ne pas lui montrer car je n'ai aucune affinité avec lui. Mais sans aucune hystérie, j'ignorait cette voix qui disparue et plongea ma main dans le lac. Celle-ci vibrait et j'entendais mon pouls, comme on entend les pulsations du sang sous un hématome. Sans regarder mon bras, je entais cette épaisse couche de liquide noir ténèbres, monter ou couler tout le long de mon bras, elle recouvra mon épaule. Puis l'autre bras fut, lui aussi touché. Et quand mon dos fut atteint, à la hauteur de les omoplates, j'attendais la douleur de deux crocs se planter en plein à cet endroit. J'attendais que les ailes poussent. Mais cette fois, je n'eut pas de souffrance pour qu'elles puissent naître de ma peau. Elles sortirent gracieusement, les plumes poussèrent sur la peau rigide et venimeuse. Je scrutai le visage de Peter. On aurait dit qu'il suffoquai. Mes cheveux devinrent plus longs et plus bouclés, autour de mes paupières se dessinèrent deux cercles comme si on m'avait violemment frappé. Puis, décidant que ça suffisait, retira ma main de l'eau. Je ne prêtai grande importance à Peter, et remis mes affaires que j'avais laissés balancé sur un rocher.
Je couru vite rejoindre les autres et faire comme si rien ne s'était produit mais ils n'étaient plus là mais tous prêt à partir.
-Je suis là ! haletais-je
-Oui Diane ! Et où est Peter ? me demanda Jackson
-Là bas ! répondis-je en pointant l'autre bout du chemin, vers le lac. Jackson laissa tombé ses épaules et alla le chercher tout en soupirant.
Peter fut tiré par la main de Jack, encore impressionné. Apparemment, d'après Jackson, il n'avait pas bougé, il était resté raid comme un piquet, dans les nages.
-On y va ! cria Jackson.

A lire avec >

Crominiatittude -> Ouuuai ! x')
Giniee -> Je veux la suite comme ça je pourrais écouter la chanson avec !

Toutou' > Happy 1000 messages Sinon, la suite sera avec Stay Something open you by MIKA and Christina Aguilera   C'est pas du tout délire xD

Coucou la P.T.E ^^

Giniee : De rien ^^ ♥♥

Toutou : Coucou ? Un petit poème peux être ? ^^

Natachou : Awn , merci faudrait que tu sois fatiguer plus souvent ça aide xD
Non sérieux ça me fait très plaisir .
Ne me fait pas penser au conservatoire je finit l' orchestre des jeunes à 19 h , avec ces imbéciles de trompettistes xD
(on est des musiciennes surchargé xD)

Daisy : Je suis du même avis que Natacha . J' ai trouver aucune phrase a remanier a ma sauce (miracle !!) . J' aime beaucoup l' intrigue et j' attend la suite ! Bravoo ♥

Bonjours je suis nouvelle sur le fofo alors je ne sais pas trop comment m'y prendre le thème de se sujet ma interpeller alors je me permet d'y poster un tit poème
(merci de ne pas être trop sévère avec moi  )

valentin
Cher Valentin

Tant d'années je t'ai cherché
pour enfin un beau jour te trouvait

Sauf que ton nom a changé
et de cadeaux tu ne m'en as jamais fait

J'avais espéré une rencontre
plus romantique ,plus poétique


Mais je me suis fourvoyée
perdu tant dans ta beauté que la réalité
Bientôt le 14 Février  sa sera ton saint
et comme chaque années tu attends petit malin

Que nombres de tes fans
sans parler de ces femmes


t'ouvre son coeur  avec un présent
une carte envoyé à toute heure de mots charmants

Cher Valentin , si moi je t'envoie ce poéme
ce n'est pas pour te dire à quel point je t'aime

Mais plutôt pour dire combien est ma peine
de te voir t'extasier  des âmes en peines

Pour peu que tu t'en soucies
beaucoup non pas réussi

à trouver leurs moitiés
sans doute bien cacher

Cher Valentin arrête de faire ton malin
il y a des gens qui n'on personnes pour leur tenir la main........

Mymy...

Coucou,
Voici mon nouveau résumé :
"Je ne suis pas normale, non. Je ne suis pas humaine. Le temps passe et je me persuade moi-même que je n'ai pas ma place dans ce monde. Ma présence nuis à la réputation de ceux que je crois connaître... Et à force, ils sont comme moi."
Diane-Kathleen; je suis élève du lycée international de Lerwicks , situé dans un petit district en Angleterre, qui porte le même nom que notre école. A croire que c'est leur plus grande réussite. Néanmoins, je pensais mourir ici. Mais un jour de rentrée, dans la cour du lycée, se trouvaient trois nouveaux élèves : William, Emily, Peter. Et peu de temps après mes jours ne se comptent plus sur des doigts. Mais dans les rouages de l'infini.

Mymy' > C'est bien écrit mais il y a des fautes

Dernière modification par Giniee (Le 17-01-2014 à 09h17)

Oui je sais mais je ne suis pas doué en ortho  désolé 

Pas grave Mymy' !

Hey !

Mimi812 -> J'aime bien c'est joli , mais comme dis Giniee , les fautes d'orthographe

Bye

Giniee : " Je ne suis pas normale , non " je rappelle exactement quand dans Sylvain O' Lutey j' avais mis au début " Et je suis différent " tu avais râler disant que c' était dommage de le dire tout de suite ... hum hum ... Non je chipote c' est simple , court mais ça résume toutes cette histoires assez complexe je vais dire et c' est ça qui me plait . Bravooo ♥

Mymy : Il y a des rimes mal découpée mais sinon je trouve ça joli tout de même . Tu écris souvent ?

Natachou : Malheur ! Le bassoniste à rejoint le niveau de maturité des trompettistes ! Nous les cornistes sont les seuls épargnés ! (et on sait sortit un do dièse) xDD

Hello !
Givre > Oui sauf que toi tu as fais ça au premier chapitre. Il s'agit ici d'un résumé alors... Merci

Cromi' > Bon sang ! ( J'adore trop cette expression parce que si vous me connaissez bien vous saurez pourquoi n'est-ce pas Givre ! ) Tu n'as pas commenté mon Chapitre 23 zut ! Grrrr... xD Sinon merci et je le reposte pour toi !!!!!! alalalala.... x)

Toutou' > Et moi ? :3

Giniee > *pouffe de rire* Chapitre 24 ( début ) tout-à-l 'heure.

Pour Natacha :

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Je courra jusqu'à l'endroit où nous avions éparpillés du foin sur un parterre d'herbe salie. Sans bousculer tout le monde je m'y allongea et trouva le sommeil aussitôt. Cependant, cette nuit, comme toujours, je n'avais pas dormi beaucoup. Elle fût longue et sans beaucoup de repos. D'après mon frère, je vivais des songes à trop rêver. Mais quand j'y repense, je rêve ce que je vis. L'envie de franchir ce drapeau qui volait au-dessus de nous me brûlais : Je suis aux portes des Contrées de l'Ouest, les terres Rusalkis. Et demain, j'y rentrerais. Et en sortirait épaulée d'Emily qui affichera sans-doute un sourire qui signifierait sa fierté. Mais voilà encore que je repense à Marie-Camille. Je ne peux l'oublier. Elle m'est si parfaite. Bien que jamais, mon espèce, je la considérait comme... ne serait-ce, belle, Marie-Camille fût bien la seule que je m'imagine jolie. Je la vois... Les cheveux sombres, fouettés par le vent qui ne laisse que frissons s'y installer, cachant ses yeux d'un vert plus sobre, mais cachaient par dessus tout ses larmes qu'elle ne voulait pas laisser tomber. Des larmes avec un reflet de corbeau, des plumes. La couleur du corbeau, la texture du corbeau, la fragilité du corbeau,... Son corps contusionné, pâle, ses joues rosies par le froid, son regard furibond qui ne lui avait pas laissé le temps d'affronter, elle seule les Rusalkis qui la martyrisait. Mais non, elle ne disait rien. Pas un mot ne sortait de sa bouche. Elle souffrait en silence. Ses bras accrochés à un arbre qu'elle décortiquait avec ses ongles, l'écorce qui tombait. Elle étouffait plusieurs cris sans laisser échapper un son. Pourtant, c'est ce que ces abrutis de gardes trop débiles pour oser suivre un chef de clan si inconscient, voulaient entendre ; La douleur. Mais Marie-Camille ne voulait pas leur faire croire qu'elle souffrait. Elle ne voulait pas leur faire du bien mais souffrir eux aussi. Parce que, sous ses yeux doux, elle avait vu son mari se faire poignarder sans remords.
Alors je me leva, encore sous le choc. Je chassai la paille du pantalon qu'Emily m'avait conseillé et alla m'asseoir près d'un lac. Et encore et toujours, je me noya dans la tristesse. Je jeta un coup d'œil déprimé au lac, voulant voir mon reflet mais ce ne fut pas totalement le cas. Je voyais dans ce reflet que j'avais étrangement et soudainement changé. Je ne me reconnaissait pas. Non. En-fait, avec de la réflexion qui aurait pu de suite me venir à l'esprit je voyais Marie-Camille. Surprise, je bougea une main pour être sûre que c'était bien ma sœur que je voyais dans le lac. Sa main bougea aussi. Son reflet était le mien. Me rendant compte que de là où elle est, elle me vois et me surveille jour et nuit. Je respirais péniblement, la mort dans l'âme. Alors je souris, il s'afficha sur mes lèvres et sur celle de mon reflet. J'étais heureuse. Mais une larme coula sur ma joue et quand je voulu la retenir, elle tomba malencontreusement à l'eau. Celle-ci s'agita et le visage de Marie-Camille disparu. Je me revoyais. Le sol frais lisse entra en contact avec mes genoux, puis mes paumes, mon front enfin. J'en appelai délivrance à la tristesse. Malheureusement, comme je l'aurais souhaité, je ne m'évanoui pas. Les grosses vagues de douleur, qui jusqu'alors s'étaient contentées de me désirer, me frappèrent, aujourd'hui. Elles se soulevèrent, rugissant. J'en entendais le cri, s'abattaient sur moi et m'engloutirent. Je sombrai dans un profond désespoir, certaine de ne plus jamais revoir la joie.
-Es-ce que tu te sens bien Diane ? me demanda affolé Peter
Je sursauta, et essayait de cacher mes larmes noires, pour que Peter ne sache pas ce que je suis. Trop tard. Il gonfla ses poumons, la bouche entrouverte et les yeux écarquillés. Ebahi, il me regardait. Je me sentait mal-à-l'aise et me releva. Et sans plus cacher ma honte, je déboutonna ma chemise, puis enleva mon pantalon.
-J'ai un truc à te montrer...
C'est alors que je me pencha vers le lac retournée. Mais une petite voix sèche bourdonnait dans ma tête, me disait de ne pas lui montrer car je n'ai aucune affinité avec lui. Mais sans aucune hystérie, j'ignorait cette voix qui disparue et plongea ma main dans le lac. Celle-ci vibrait et j'entendais mon pouls, comme on entend les pulsations du sang sous un hématome. Sans regarder mon bras, je entais cette épaisse couche de liquide noir ténèbres, monter ou couler tout le long de mon bras, elle recouvra mon épaule. Puis l'autre bras fut, lui aussi touché. Et quand mon dos fut atteint, à la hauteur de les omoplates, j'attendais la douleur de deux crocs se planter en plein à cet endroit. J'attendais que les ailes poussent. Mais cette fois, je n'eut pas de souffrance pour qu'elles puissent naître de ma peau. Elles sortirent gracieusement, les plumes poussèrent sur la peau rigide et venimeuse. Je scrutai le visage de Peter. On aurait dit qu'il suffoquai. Mes cheveux devinrent plus longs et plus bouclés, autour de mes paupières se dessinèrent deux cercles comme si on m'avait violemment frappé. Puis, décidant que ça suffisait, retira ma main de l'eau. Je ne prêtai grande importance à Peter, et remis mes affaires que j'avais laissés balancé sur un rocher.
Je couru vite rejoindre les autres et faire comme si rien ne s'était produit mais ils n'étaient plus là mais tous prêt à partir.
-Je suis là ! haletais-je
-Oui Diane ! Et où est Peter ? me demanda Jackson
-Là bas ! répondis-je en pointant l'autre bout du chemin, vers le lac. Jackson laissa tombé ses épaules et alla le chercher tout en soupirant.
Peter fut tiré par la main de Jack, encore impressionné. Apparemment, d'après Jackson, il n'avait pas bougé, il était resté raid comme un piquet, dans les nages.
-On y va ! cria Jackson.

Dernière modification par Giniee (Le 18-01-2014 à 10h04)