Cromimi - 1° gioco online gratuito di animali domestici virtuali

Coucou !

Pourrais-je avoir des avis pour mes précédents textes ?

[CHAPITRE SUPPRIME]

Dernière modification par Mylia45 (Le 01-03-2017 à 16h22)

Coucou,
Merci infiniment Mylia, c'est gentil (:

Hello !

Voila la suite, désolé elle est assez courte ..


Le bon moment..

Des dizaines de questions se bousculaient dans ma tête.

J’aurais surement mieux fait de ne pas penser !

Le sommeil me gagna. Bercé par le bip-bip lent des machines, je m’endormis.

Quand j’étais petit, fermer les yeux me terrifiait. Je croyais que lorsqu’on s’endormait, on partait dans un autre monde et on disparaissait. J’avais terriblement peur de me perdre, de ne plus pouvoir rentrer chez moi et de rester tout seul !

En grandissant, je me suis rendu compte que le vrai et profond sommeil nous emmenait vraiment ailleurs. Mais pas celui auquel je pensait..

Un ailleurs où les sensations et les pensées n’ont pas lieu d’être ! Un ailleurs où tout existe mais où rien n’est vraiment présent ! Un ailleurs où tout est possible mais où rien ne se fera réellement !

Et j’ai finit par apprécier cette sensation de disparition. C’est comme une forme de liberté pure !
Une main serrait la mienne doucement. Retour à la réalité.
J’étais avachi sur son lit, ma tête reposait sur mes bras.
Je me redressais.Elle sourit. Une marque rose s’était imprimé sur ma joue.

Le même sourire qu’à notre première rencontre !

Si la ce n’était pas le bon moment..

Carpe Diem. J’approchais lentement mon visage du sien.


Des Bisous  

Dernière modification par Mathilde-Shotokan (Le 25-06-2015 à 13h31)

Mathilde' : J'adore cette suite !
Profonde , fluide ... et ça y est , il va se lancer !^^ J'adore la description du sommeil . Continue comme ça !

Dernière modification par Mylia45 (Le 01-03-2017 à 16h23)

Hi ! New one :

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Narrateur : Diane-Kathleen
  Mon corps était secoué de violents spasmes quand je gravis la colline du crépuscule*. J'avais les yeux embués de larmes et les mains molles. J'arrivais à peine à tenir debout.
  Les jours qui avaient suivi la mort de William, sa famille avait cédé à la Giltorine. Pas moi. Parce que je voulais me souvenir de lui. Parce qu'il aurait voulu que je me rappelle de son visage.
  La compagnie des autres m'étouffait mais dès qu'ils n'étaient plus là, la solitude m'envahissait. J'avais tout perdu. La seule personne qui me permettait de tenir debout était définitivement partie.
  Puis je repensais à son sourire que je ne reverrais plus jamais. Tout mon corps s'embrasa lorsque je repensais à son visage. Mes mains devinrent moite et des larmes coulèrent quand je repensai à ce qu'il s'était passé ici il y a presque un an. J'avais oublié à quel point l'absence de quelqu'un pouvait être aussi destructrice. J'avais faim de sa présence. J'avais besoin de lui. Mais il m'avait quitté.
  Mon corps hurlait depuis des jours pour réclamer une dernière parole, un dernier regard. Mon monde s'était effondré et plus rien ici sur terre ne pouvait m'empêcher de partir.
  Je me surpris à penser à la manière dont il était mort ; il était tombé, d'abord à genoux, les mains ballantes, puis s'était affalé sur le dos. J'avais posé mes mains sur sa poitrine, et son cœur s'était aussitôt arrêté. J'avais senti le battement se stopper net sous ma paume. En y repensant, je plaquai une main sur ma bouche pour étouffer un cri. Mes joues étaient brûlantes et humides de larmes. Tout en moi s'était écroulé dans une douleur fulgurante. Je ne savais pas comment j'arrivais à ne pas tomber par terre.
  Mon esprit rejeta une image de William et de moi lorsqu'il extirpait les balles de mon corps, lorsqu'il me sauvait la vie petit à petit. Puis une lorsqu'il m'avait offert sa bague de lion. Une douleur d'une violence surprenante me coupa le souffle. Tous les moments que nous avions passé ensemble me revinrent en mémoire. De notre première rencontre, à notre dernier instant. Je fis non de la tête, frénétiquement, espérant échapper à cette torture. Les vagues de souffrance qui, jusqu'à présent s'étaient contentées de m'effleurer, m'engloutirent.
  J'avais oublié pourquoi j'étais là. Le vent me fouettait le visage et me brûlait les yeux. Alors que d'autres images de William surgirent dans ma tête, j'entendis des pas feutrés derrière moi. Je ne me retournai qu'à moitié mais ce geste ne servit à rien puisque les larmes m'obstruaient la vue.
  Je réussis néanmoins à cracher ces quelques mots :
-Celui qui est là, qu'il s'en aille.
  Mais l'individu ne partit pas. Alors je me frottai les yeux et lui fit face.
  Des yeux aussi verts que la forêt brillaient comme deux émeraudes sur sa peau brune. Son regard tendre et dur à la fois me fixait, sa respiration était régulière. Je clignai plusieurs fois des yeux pour m'assurer que je ne rêvais pas et qu'il ne s'agissait pas d'une énième vision. Immobile comme une statue, à quelques pas de moi, il avait une paume tendue en avant et un petit sourire en coin. Il avait l'air paisible. J'avais beau avoir le souffle haché après avoir pleuré, j'eus l'esprit de me dire que je n'avais jamais rien vu d'aussi beau. Soudain, les jours précédents où j'avais souffert le martyr, réclamant chaque seconde sa présence, ne signifièrent plus rien. Réel ou pas réel, il était devant moi. Un élan de larmes me prit pour je ne sais quelle raison.
  Une douleur sèche et incandescente m'irritait la gorge. Il arrondit un sourcil quand je reculai. J'étais effrayée, déboussolée, je ne savais plus quoi penser. Bizarrement, il paraissait plus vivant que jamais.
-Je m'attendais à quelque chose de plus chaleureux, dit-il.
  Au son de sa voix, je sus que c'était vrai ; il était bien devant moi, il était vivant. Je ne savais pas comment il était revenu à la vie mais je m'en fichais. Alors je me jetai sur lui, le heurtant de plein fouet, les mains agrippées à son t-shirt. Sa main effleura ma nuque. Mon cœur battait contre ma poitrine, le sang qui coulait dans mes veines avait retrouvé sa chaleur et sa rapidité. C'était comme si, tout d'un coup, il n'y avait jamais eu de blessure. Comme s'il ne m'avait jamais quitté.
  Le contact de sa peau parut pénétrer jusqu'au plus profond de mon être. Jamais je n'avais imaginé pouvoir l'aimer encore plus qu'alors. C'était peut-être la partie en moi que j'avais emportée pour qu'elle fût décuplée dans ma nouvelle vie de Dyreinaa. Tout s'était intensifié depuis ma renaissance. Et j'avais senti l'absence de William bien plus dure à affronter que si j'avais été humaine à ce moment là.
  Il prit un instant pour me regarder, sourit, et ses lèvres s'écrasèrent contre les miennes. J'avais retrouvé ma raison de vivre, j'avais retrouvé mon bonheur, je m'étais moi-même retrouvée.

*nom donné à cette colline

Dernière modification par Giniee (Le 27-06-2015 à 11h00)

Hey
L > Moi, j'ai posté 3 chapitres et quelques textes dont celui posté ci-dessus.

Ton texte : C'est vraiment super, ça sonne bien avec les rimes, mais j'ai trouvé mal tourné la référence avec la "poutre", c'est un peu péjoratif j'ai l'impression. Ca passe pas crème (x Passerelle, Échelle aurait été légèrement mieux. La fin est très réussie, bravo (:

Dernière modification par Giniee (Le 27-06-2015 à 17h20)

Coucou ! ♪♫

Lolobauls : C'est très joli , léger . Des rimes , et un très bon thème . J'aime bien le fait que tu ne dises pas clairement de " qui " tu parles , mais d'y donner quelques indices . J'adore !^^

Dernière modification par Mylia45 (Le 01-03-2017 à 16h23)

L > Très juste ; tu l'avais déjà mit (:
Mylia > J'aime beaucoup ton histoire. Comme l'a fait remarquer Lolobauls, c'est totalement différent des fictions banales qu'on trouve çà et là sur divers forums. Ton histoire coule de source, elle est vraiment addictive. J'ai aussi beaucoup apprécié le nom de ton personnage, qui, pour moi, se prononce comme : "écoco". J'espère que c'est ça puisque moi je trouve ça original pour ne coup (;
  Revenons au vif du sujet ; tu as l'air très impliquée et très passionnée. C'est une sublime chose. Tu écris avec ou sans musique ? Parce qu'avec, ça inspire, je te promets (x Et j'ai comme l'impression que tu écris avec tes écouteurs... Bref, au final, tu ne dois pas lâcher, c'est génial !
Nota Bene : Envol, c'est le meilleur titre pour moi (:

Autre texte :

Narrateur : Heren.

  Diane se mit à trembler dans tous les sens et à perdre peu à peu l'équilibre. Un mince filet de sang s'écoula de sa narine gauche. Elle l'essuya du plat de la main. Ron-Derrick s'avança vers elle, inquiet et posa mécaniquement la main sur son cœur. Ce geste me permit d'entendre les deux battements ; ceux de Diane et ceux de Marie-Camille. L'un plus fort que l'autre.
  La seconde d'après, elle se mit à hurler. C'était bien plus qu'un simple cri ; c'était un hurlement à déchirer l'atmosphère. Ses yeux se révulsèrent, et elle vomit un geyser de sang.
  Audrey-Anne la saisit et la posa sur le matelas. Les violentes ruades provenant de ses entrailles provoquaient de fortes convulsions. Diane se mit dans un état de transe, en hurlant de douleur et à l'aide. Chaque secousse s'accompagnait d'un craquement sonore désagréable.
-Heren ! s'époumona Ron-Derrick.
  Je savais ce qu'il attendait de moi, seulement je ne pouvais pas le faire.
-Viens nous aider ! tempêta Jackson.
  Je m'avançai lentement, la frayeur et le dégoût me chatouillant. Je plaçai mes mains près de sa poitrine et y plantai mon couteau pour l'inciser. Elle se mit à hurler encore plus fort. Les fenêtres se brisèrent à la seconde où un rai de lumière blanc aveuglant transperça la peau de Diane.
-Continue ! m'encouragea Jowell.
  Les cris affolés de Diane firent éclater les vaisseaux de ses yeux qui rejetèrent un sang noir. Des larmes de la même couleur s'y mêlèrent.
  Ma main s'abattit une énième fois sur le torse de Diane, et un rouge écarlate jaillit à l'endroit où le couteau avait percé la peau. Son corps ressemblait à présent à une fontaine.
  Tandis qu'elle se secouait, Jackson lui prit le visage.
-Reste avec nous, OK ? Reste avec nous !
  Elle devait certainement l'entendre mais elle n'avait pas la force de lui répondre ; la douleur qu'elle subissait était sûrement atroce. Son expression se modifia, ses lèvres se retroussèrent sur ses dents, des crocs déchirèrent ses gencives, et ses prunelles vertes devinrent noires comme la nuit.
  Pendant ce temps, j'étais toujours en train de lui broyer la poitrine avec mon couteau. Et elle continuait de hurler. Des jets de lumières éclatèrent subitement de son corps. Ma paume se plaqua sur son cou pour la faire arrêter de bouger. Un autre craquement assourdissant retentit à l'intérieur de Diane, si fort que je me pétrifiai sur place. Tétanisée par la souffrance, Diane ne bougea plus et se mit à respirer lentement.
-Heren, stop, dit Tellbe. Le trou est assez profond, laisse la nature faire d'elle-même.
  La pauvre Tyunes gémissait, les yeux embués, le corps déchiré. Une larme transparente s'écoula de son œil.
-Regardez ! criai-je.
  Tout le monde se plaça au-dessus d'elle pour voir.
-C'est bientôt fini ! Écartez-vous ! vociféra Alexi.
  Il se pencha vers elle, craignant qu'elle ne respire plus. Son corps tendu se dilata. D'ici, j'entendais les battements inégaux de son petit cœur.
  Son corps essayait de rejeter la souffrance. Son dos s'arcbouta et je pus ressentir moi aussi la déchirure.
  Quand elle recommença à hurler, du sang goutta sur le sol. Le bruit qui suivit me fit bondir. Une sorte de rugissement semblable à celui d'un dragon. Je me figeai sur place et opinai pour ne pas avoir à la regarder souffrir comme jamais.
  Cette fois, la lumière qui sortit de son torse était plus éclatante, plus blanche, elle ressemblait plus à celle d'un ange. Soudain, sous les mains d'Alexi, son corps s'apaisa, bien que son pouls continuât d'être désordonné. Les yeux de Diane qui étaient redevenus verts, cherchaient quelqu'un dans la salle, sur le plafond. Le souffle saccadé, elle tendit la main vers le ciel. Je ne me détournai pas de ses yeux injectés de sang.
  C'en était fini. Mais mes tremblements s'accentuèrent quand je vis sa main tomber sur le matelas et quand je n'entendis plus le battement de son cœur. Je me jetai aussitôt sur elle, poussai tous ceux sur mon passage. Il n'y avait plus aucune lumière dans ses yeux, plus aucune vie. Je dégageai les cheveux qui lui tombaient sur le visage et lui fis un bouche-à-bouche.
  Ma vision était devenue floue et humide à cause des larmes qui m'obstruaient la vue. Elle avait les lèvres froides, gercées et gelées. Tandis que j'insufflai une autre goulée d'air sans ses poumons, j'entendis des pas derrière moi. Une main se posa sur mon épaule et m'écarta de Diane-Kathleen. C'était Eleanor.
  Elle lui prit le poignet et mordit dedans. Le déchirement de la peau me fit réprimer un haut-le-cœur, cependant qu'elle forçait le venin dans ses veines.
  À présent, son corps entier était recouvert de morsures ensanglantées causée par la Rusalkis qui s'était durcie.
  Elle ne réagissait plus. Et quand je le réalisai, je me mis à hurler à mon tour. Je frappai très fort dans le mur. Eleanor et Alexi s'escrimaient sur un pauvre cadavre impossible à ressusciter. Tout ce qui restait de la magnifique Tyunes était une épave humaine, congelée, ensanglantée, qui refusait catégoriquement de respirer.
  Il était trop tard. Elle était morte, je le savais. Je l'avais su depuis le début ; elle ne survivrait pas à ça. Pourtant, j'avais tout fait pour.
  Pendant que Tellbe me serrait fort dans ses bras, son maillot me servant de mouchoir, le reste des personnes essayait tant bien que mal de la ramener à la vie en lui faisant des massages cardiaques, des bouche-à-bouche... Je me relevai, essuyai mes larmes, accordai un dernier regard à Diane-Kathleen, et quittai la salle.
Musique : https://www.youtube.com/watch?v=PiPGRoMgJLg

Dernière modification par Giniee (Le 27-06-2015 à 21h51)

Bonjour !^-^

Lolobauls : Merci , ça me fait super plaisir ! Concernant les fautes , c'est vraiment un problème pour moi . J'essaye de corriger ce que je vois , mais souvent , j'en loupe .^^ Contente que mon histoire t'ai plu , et puis , ça me rassure de savoir que l'on comprend bien tout , que ça coule tout seul .  Moi aussi , j'aime bien cette phrase . :3 La suite devrait arriver aujourd'hui ou demain . A bientôt !

Giniee : Merci !!!  C'est super que vous trouviez ça différent . :3 En fait , pour son nom , on le prononce bien Ko . Normalement , Koe signifie voix en japonais , mais je préfère ne pas prononcer le E ( é ) car ... je ne sais pas ça fait mieux . En fait , pour les noms , je me suis inspirée de mots japonais , mais remaniés à ma façon . Donc , oui , c'est ça , contente que tu aimes bien ! ^^ Et oui , j'écris la plupart du temps avec musique , mais pas avec des écouteurs , j'ai l'impression que ça " emprisonne " la musique ... Bon , voilà , c'est un peu bizarre . ^^" Pour Envol , oui , je trouvais que ça sonnait mieux . Et puis , avec toutes mes allusions aux oiseaux , c'est plus logique . Et puis elle part de chez elle , Envol ... Bref .  A bientôt !

Mylia > Ah non mais pour la référence des écouteurs c'est avec la musique. Écrire avec des écouteurs c'est pour moi, une manière de dire, écrire avec de la "zik" (x Et... mes deux textes ?

Dernière modification par Giniee (Le 28-06-2015 à 11h20)

Giniee : Ah oui , désolé . XD
Oups ! J'ai complétement oubliée de te donner mon avis ! :3
1 er texte : J'aime beaucoup , il y a de belles descriptions , l'histoire est très bien .^^ Juste , au début , Tu dit qu'elle pleure et qu'elle a les mains molles et après tu dit de nouveau que ses larmes coulent et que ses mains DEVIENNENT moites , alors que tu disais déjà la même chose avant . Mais bon , c'est peut-être pour amplifier la chose ?
2 éme texte : C'est bien raconté , on s'y croirai ! Tes précises descriptions nous font bien imaginer la scène , ça fait peur ! ^^" J'aime autant que le précédant . J'ai remarqué que tu répètes beaucoup les choses , mais ça ne dérange pas plus que ça car tu trouves toujours des synonymes . Bravo ! 

Lolobauls : J'ai hâte de voir ça !^^

Dernière modification par Mylia45 (Le 28-06-2015 à 12h21)

Un petit coucou vite fait

Mylia et Lolabauls
Que ce soit des poèmes ou des OS, je suis fan !! J'aime beaucoup votre style les filles ^^ C'est bien écrit, l'histoire et le thème sont parfaits à chaque fois !! Bref j'adore et j'attends vos prochains textes !! Bisous et continuez ainsi !! ^^

PS : Je veux bien que tu commentes mon texte Lolabauls s'il te plait


Bisous

Dernière modification par Mathilde-Shotokan (Le 28-06-2015 à 14h27)

Hey !
Lolobauls > Pour le "continuât", j'ai repéré cette phrase (tournure ?) dans un bouquin. Je te montrerai si tu veux. Et c'est pas du passé simple mais du subjonctif passé ou un truc du genre (x Et sinon merci, c'est gentil.
Alors, tu suis l'histoire ou non ? Parce qu'un Tyunes c'est... imagine un humain. Tu lui rajoutes de grandes ailes de corbeau disproportionnées (beaucoup plus grandes qu'elles devraient), avec des crocs, des yeux tout noirs, de beaux cheveux soyeux, une peau froide et crème, des veines saillantes, du sang sombre et une force herculéenne. Tu as ton Tyunes (x Mais ça, c'est quand il est transformé, bien sûr.

Mylia > Pour ta première relève, molle c'est pas forcément moite. Ca peut être ballantes... J'aurais pu le remplacer mais j'avais déjà mit ce terme pour la mort de Will' je crois.
Sinon, merci beaucoup c'est trop mimi :3

Dernière modification par Giniee (Le 28-06-2015 à 21h31)

[CHAPITRE SUPPRIME]

Dernière modification par Mylia45 (Le 01-03-2017 à 16h27)

Hey Mylia !
Je t'avoue que je suis comme une professeure et voir autant de faute a sur moi comme l'effet d'un sérum de mort en plein dans la jugulaire. Je fais des crises cardiaques toutes les  minutes, on va dire (x Même si c'est impossible, théoriquement. Bon, je vais sûrement te répéter ce qu'on te dit depuis longtemps et je vais certainement passer pour la relou de service mais le pronom "je" prend toujours un "s" à la fin du verbe qui le suit quand il est à l'imparfait. Je pense que tu as de quoi faire.
Ensuite, concernant l'histoire, je trouve qu'elle est de plus en plus intéressante. Tes personnages sont bien tracés, ce qui est une très bonne chose.
Par contre, j'ai pas saisi : ils sont où les tirets qui indiquent quand les dialogues débutent ?
En revanche, je dois admettre que tu as un petit brin de talent qui est en train de germer. Continue pour l'exploiter !
C'est très bien, Mylia !

Coucou !

Ah , ben je sais quoi faire cet après midi ! X)
Pour les tirets , je sais pas pourquoi , ils ont disparus ...
Bon , allons-y , corrigeons toutes ces fautes ! ( ça évitera des morts par crises cardiaques ... )
Sinon , merci , ça fait plaisir !^^

Dernière modification par Mylia45 (Le 30-06-2015 à 09h03)

Mylia45 : J'adore tu as vraiment un talent pour l'écriture
Bravo et continue comme ça ! 

Wolf14 : Merci ! :3 C'est trop gentil ! As-tu quelque chose à nous présenter ? ^^

Mon rêve serait d'être écrivain et j'ai quelque histoire en cours

J'ai une histoire d'amour impossible, une histoire sur un journal intime et des enquêtes policières.

Je vais vous présenter mon début de l'histoire de l'amour impossible.

Interdiction
  Je m'appelle Charlie, j'ai 16 ans aujourd'hui. J'ai les cheveux noirs avec une mèche qui recouvre mon œil  gauche et mes yeux sont bleus polaire.
Je vis dans un orphelinat car j'ai été abandonné à ma naissance. Quand on m'avait appris que je n'avais pas de parents en quelques sorte, j'ai eu comme un choque. Je ne suis pas ressorti de ma chambre pendant 1 semaine. Les personnes de l'orphelinat me donnait à manger et à boire et me demandait si je voulais bien sortir, mais rien n'y faisait. Il fallait que je réfléchisse. J'avais 9 ans à ce moment là et j'étais un petit garçon rempli de joie de vivre, et d'énergie et tout mes camarades était mes amis. Mais quand je suis enfin ressorti,
j'avais changé. J'étais maintenant sombre, mystérieux. Tout mes anciens amis m'évitait, mais seulement une est resté à mon côté, celle que j'aimais depuis toujours, Léa.


Aujourd'hui, 5 ans après mes sentiments pour Léa n'ont pas changé.
J'étais prêt à lui avoué mes sentiments.
Seulement, une visite à l'orphelinat vint tout chamboulé dans ma vie et dans mon coeur.



Voilà, dites moi ce que vous en pensez et si vous voulez la suite d l'histoire !

Dernière modification par wolf14 (Le 30-06-2015 à 09h26)