C'est une super histoire qui fait peur ! Enfin pour moiherrypotter44 a écrit :
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Bonjour,bonsoir habitants de cromimi....
Voici quelque histoires d'horreurs,
que malheureusement je n'ai pas pu mettre sous spoiler.
Désoler:
Deux jeunes filles partagent une chambre dans un campus. Vers 9 heures, l'une d'entre elles se rend compte qu'elle a oublié de rapporter son livre à la bibliothèque qui ferme dans peu de temps. Elle dit à son amie qu'elle doit sortir pour ramener son livre et qu'elle sera de retour dans peu de temps. Elle demande à sa co-locataire de se joindre à elle mais celle-ci refuse sous prétexte qu'elle a des examens le lendemain matin et elle demande de fermer la lumière en sortant car elle a sommeil. La jeune fille ferme la lumière et va à la bibliothèque située non loin de chez elle.
Une fois arrivée, elle rencontre un de ses amis et se met à lui parler quelques minutes pour se rendre compte qu'elle a oublié son bouquin. Il est déjà tard et la bibliothèque fermera bientôt. Elle dit à son copain de l'attendre quelques minutes et va chercher son livre. En arrivant, elle se souvient que son amie est endormie. Comme elle sait exactement où est le livre, elle entre tranquillement et discrètement, elle le prend et ressort aussitôt de la chambre. Elle retourne ensuite à la bibliothèque, rend le livre et ressort pour prendre une bouchée avec le copain qu'elle avait laissé là quelques minutes plus tôt.
Quand elle retourne à sa chambre, elle y trouve une armée de policier et une ambulance. Un policier la saisit et la conduit dans la chambre, elle voit deux choses à ce moment qui seront gravées pour toujours dans sa mémoire : le matelas de sa "coloc" immaculé de sang et quelque chose d'écrit avec un rouge à lèvres dans le miroir de son bureau : "Es-tu contente de ne pas avoir ouvert la lumière ?"
Une jeune femme d'environ 25 ans vivait seule dans une petite maison . Vers 22 heures , commme à l'habitude , elle alla s'assoir devant sa télévision ( qui était devant une grande fenêtre ) pour écouter les infos . L'annonceur dit ceci : " Avis à tous ! Un terrible voleur rôde dans les environs . Il a déjà cambrioler et tué 3 personnes . Ne laisser personnes entrer chez vous en aucun cas ! " . À ce moment , la femma regarda dehors et vit le tueur en question !!! Une lueur meurtrière luisait de l'homme . Paniquée , elle appela la police qui lui dit de s'enfermer au deuxième étage en attendant qu'ils arrivent et de ne pas en sortir . Une dizaine de minutes plus tard , les policiers défoncèrent la porte . La jeune femme descandit en courant et vit que tout avait été volé ! C'est alors qu'elle comprit que pendant tous ce temps le cambrioleur était à l'intérieur et qu'elle avait vu son reflet dans la fenêtre tandis qu'il était juste derrière elle ...
C'est l'histoire de deux petites fille Lisa et Kathryn , que leurs parents sont partis travailler ( ils travaillent très tard le soir ) . Les deux petites regardent la télé quand l'une dit à Lisa dit à Kathryn : " Il faut que j'aille au toillette , mais j'ai trop peur d'y aller toute seule " . Kathryn l'accompagne donc au toillettes et lui dit de chanter la chanson balle , balle , rebondi pour s'assurer qu'elle va bien . Alors Lisa rentre dans les toillettes et commence à chanter . Au bout d'un moment , la voix commence à devenir plus grave , comme celle d'un homme . Kathryn , inquiette ouvre la porte de la salle de bain et voit un homme qui fait rebondir la tête de sa soeur sur le plancher ...
Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée.
Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.
Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :
« Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »
Mais Floppy n'arrivait pas.
Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :
« Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »
Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :
« Allo ?
- ...
- Allo ? C'est qui ?
- Ca va Aurélie ?
- Heu... vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?
- Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »
- Quoi !
- Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.
- Vous avez fait du mal à Floppy ?
- Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»
Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.
Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !
« Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »
Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.
Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.
Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.
Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.
Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.
Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.
La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.
« Ca n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.
- ...
- Tu sais où je suis ?
- Heu... n... heu... n... non.
- Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !
- Vous... vous... allez... ! Non, j'... j'ai... j'ai peur !
- Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !
- ...
- Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !
- Quoi ! ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »
Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.
La voix à l'autre bout du fil reprit :
- Tu sais Aurélie ?
- Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !
- Je suis au premier étage maintenant ! »
Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.
Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.
Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.
Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.
Et le téléphone continuait de sonner...
Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...
Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...
Et la sonnerie devenait insupportable !
Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :
« Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.
- ...
- Tu sais où je suis ? »
Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.
« Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »
La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.
Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.
Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.
« Bouh ! Floppy... Hmmm... hmmm... hmmmph... je vais te détacher mon petit chien... oh ! mon petit chien... »
Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si... si... s'il avait vraiment été dans... l'escalier, pourquoi il...
JE SUIS DERRIERE TOI !
Dernière modification par ChimiQu3 (Le 23-04-2013 à 15h27)