Cromimi - 1° gioco online gratuito di animali domestici virtuali

J'ai une histoire:
~En petit résumé détaillé~

C'est l'histoire d'une petite fille ( pourquoi toujours nous?? ), qui doit rester toute seule jusqu'à minuit car ses parents vont au restaurant.
Ses parents lui disent → Surtout ton chien reste à tes côtés, si tu as peur touche le pour te rassurer et ne t'inquiète pas,il est dans son panier au pied de ton lit. Il vas certainement te lecher pour confirmer sa présence...

Plus tard dans la soirée, après avoir mangé et pris sa douche elle va se coucher. Un peu plus tard elle entends un vase se cassé : elle met la main sur le chien il la lèche.
Rassurée elle se rendors...
Plus tard un porte qui grince, elle mets la main sur son chien il la lèche... Elle se rendort.
Et plus tard elle entends un chien hurler la mort, effrayé elle mets la main tremblante en attendant que son chien la lèche et il le fit ( le chien ).
Mais elle va dans la salle de bain pour boire et vois son chien mort et inscrit sur le miroir → Il n'y a pas que les chien qui savent lécher...

#Poupée dans l'âme...

Le dessin est super beau.:cro11

Giniee a écrit :

J'ai une histoire:
~En petit résumé détaillé~

C'est l'histoire d'une petite fille ( pourquoi toujours nous?? ), qui doit rester toute seule jusqu'à minuit car ses parents vont au restaurant.
Ses parents lui disent → Surtout ton chien reste à tes côtés, si tu as peur touche le pour te rassurer et ne t'inquiète pas,il est dans son panier au pied de ton lit. Il vas certainement te lecher pour confirmer sa présence...

Plus tard dans la soirée, après avoir mangé et pris sa douche elle va se coucher. Un peu plus tard elle entends un vase se cassé : elle met la main sur le chien il la lèche.
Rassurée elle se rendors...
Plus tard un porte qui grince, elle mets la main sur son chien il la lèche... Elle se rendort.
Et plus tard elle entends un chien hurler la mort, effrayé elle mets la main tremblante en attendant que son chien la lèche et il le fit ( le chien ).
Mais elle va dans la salle de bain pour boire et vois son chien mort et inscrit sur le miroir → Il n'y a pas que les chien qui savent lécher...

#Poupée dans l'âme...

F.M. → Ok

coco88888 a écrit :

Moi j'en ai deux (en rapport avec la Dame Blanche):

C'est l'histoire d'une femme et d'un homme qui veulent se marier. Le jour du mariage, lorsque le maire demande: "Monsieur, voulez-vous prendre Madame pour épouse?" il répond non. Alors, la femme dépitée s'enfuie dans sa voiture. Les yeux pleins de larmes, dans un virage, elle tombe dans un ravin. Alors, maintenant, quand les gens passent à ce virage le soir et qu'ils voient une femme blanche avec une robe de marié, ils la prennent dans leur voiture ne se doutant de rien en pensant que c'est une mariée lambda. Mais, lorsque la personne arrive au prochain virage, la Dame Blanche pousse un crie horrible et effroyable et, surpris et apeuré, le conducteur tombe dans le ravin et meurt. C'est ainsi que la Dame Blanche fait mourir des personnes imprudentes.



La nuit, à minuit, prononcez 3 fois "Dame Blanche" devant un miroir avec 12 bougies allumées autour de vous. Si elle apparaît avec des gants noirs et une hache, elle vous tue et si elle apparaît avec des gants blanc, vous êtes sauvé!

Coco → Non il part à la guerre... Et 10 ans après elle le retrouve décédée près une falaise à cascade ( dans un tournant ) et y saute car sa vie n'est plus que du déséspoir...

Voici une histoire que j'ai écrite moi-même

Angleterre. 15 juillet 1962. C'était en une chaude journée, que tout cela s'est produit. Je suis maintenant une fugitive, à mon grand regret. Je suis la si ''populaire'' de la région, Malia Dikinson. Cela fait une semaine que je cours les rues, à la recherche de nourriture, de petits marchés d'extérieur et un hôtel de fortune pour me payer quelques nuits avec l'argent qu'il me reste. Cela fait aussi une semaine que j'ai commis... l'irréparable. En fait, sadique comme je peux l'être quelques fois, au début je trouvais qu'accomplir cela était  bien malgré le temps que je pouvais y mettre pour y parvenir, car la vengeance est un plat qui se mange froid. Mais plus j'avançais dans les préparatifs de cette fameuse vengeance, plus je doutais de moi et de ce que j'allais faire. Je réalisais que je serai vue comme une retardée dans la tête, une folle sans cœur. Mais ce n'est pas ce que je suis. Je pensais que même si je commettais cela, je pourrais garder la raison. Mais non. Je n'ai pas réussi à la conserver. Je crois bien que oui, moi, Malia Dikinson, n'ai pas réussi à poursuivre son chemin et à ne pas devenir folle. Vers la fin de toute ma préparation de ces représailles, j'ai compris que je ne pourrai pas réparer mon futur geste. Mais je l'ai quand même fait. Et je ne regrette pas vraiment de leur avoir fait ça. Car de toute façon engager ces personnes m'avaient coûté une petite fortune et j'ai travaillé fort pour créer tout ce coup monté. La mort peut se mériter.

20 ans en arrière. Angleterre, 1942. J'avais 9 ans. Toute ma famille était à la maison, et moi aussi. J'avais deux grands frères et une grande sœur. Ma mère disait que c'était un cas rare d'avoir ''si peu'' d'enfants, à l'époque. C'est moi, même si j'étais la plus jeune, qui devait ramasser le blé, nourrir les vaches, les poules, récolter le maïs. Oui, ça fait beaucoup pour une fille de mon âge. On vivait dans une ferme et je mes parents m'interdisaient d'aller à l'école. Mais, aussi curieux soit-il, mes frères et sœur, eux, ils avaient le droit. Eux, ils n'avaient pas de tâche à faire sauf, seulement faire les repas, mettre la table et abattre les cochons. Mes parents faisaient les rues pour trouver de quoi à manger. Eh oui. Les deux adultes avaient simplement ça comme tâche. Moi je faisais la majorité des choses à faire, je ne pouvais pas aller à l'école. Ma mère disait que c'était pour mon bien. La journée où je les ai détesté, où je m'était jurée de me venger était, eh bien, cette journée... :
Il était 4h30 du matin.

-Malia, lève-toi, je te pris. Va accomplir tes tâches, ne t'en déplaise.
-Mais, les autres, vous ne les réveillez pas?
-Qui, les autres?
-Eh bien, mais frères et Yvette, Mère.
-Ne me manque pas de respect! Je t'interdis de te foutre de moi.

Oh c'est vrai. J'avais oublié que je n'avais pas le droit de demander que mes frères et ma sœur se lève à la même heure que moi. Je ne pouvais pas seulement proposer qu'ils fassent au moins autant de tâches que moi. En fait je n'avais juste pas le droit de parler d'eux. Pourquoi? J'espérais le savoir: je me leva, même si je ne voulais pas. J'entendais les grincements et les frottements de mon lit de paille. Encore une fois, j'étais un cas isolé dans la maison qui avait un lit de si mauvaise qualité.

-Très bien.

Je me suis rendue vers la salle de bain, il y avait un seau d'eau datant d'hier. Je m'y rendait pour me laver le visage avant de commencer mes tortures de tâche.

-Mais?! Que fais-tu?
-Je compte me laver le visage pour me réveiller. Je vais directement faire ce que vous m'av...
-Je m'en fiche! Je suis ta mère et je t'ordonne d'aller faire tes tâches! Tu veux qu'on meurt de faim et de soif après tout notre avancement dans la ferme?
-Bien sûr que non, Mère...
-ALORS NE TARDE PAS.

Après ça, j'ai eu l'idée idiote d'essayer de la contredire.

-Mais, j'allais...

Puis elle m'a giflée. Je retenais mes larmes. Je voulais seulement m'enfuir de mon indigne mère.

-Ne contredis pas ta mère! Allez, vas-y, je te pris.

À la suite de ça, j'ai passé toute la journée à travaillé et à me faire mal avec tout ces trucs à transporter. Lorsque j'eu terminé, il était environ six heures du soir. Gilbert, Serge et Yvette étaient revenus de l'école.

-Malia va me chercher un verre d'eau. M’obligea ma sœur.
-Je n'es pas envie.
-Quoi?!

Elle a foncé vers moi pour me frapper à la tête. J'ai fais pareil et elle l'a très mal pris: elle l'a dit à mon père. Il m'a énormément frappé seulement parce que je n'avais pas voulu donner un verre d'eau à Yvette. Je pleurais et je me suis enfuie dans le grenier, là où il y avait ma chambre.

-Malia, toute la famille sortons se promener au village. Mais vu ton comportement inacceptable, tu ne viens pas. Me cria ma mère d'en-bas.

Je n'ai rien répondu. Je suis restée sur mon lit de paille. Quand j'ai entendu claqué la porte, j'ai couru à la cuisine et je me suis pris quelques pommes, et d'autres fruits. Ainsi que de la viande crue. Je voulais m'enfuir. Sortir de cet enfer. Je me suis rendue dans la chambre de ma mère et de mon père. Je savais que je n'avais strictement pas le droit d'y aller, mais je voulais faire quelque chose de mesquin envers mes parents avant de partir. Avant d'entrer, j'ai hésité. Bon. Allez. Vas-y, de toute façon ils ne sont pas là. J'ai pensé. Je suis entrée. Je cherchais quelque chose dans les affaires de ma mère. Je ne sais pas quoi. Quelque chose qui pourrait se retourner contre elle. Ou contre mon père. J'ai finalement trouvé son journal. Elle y écrivait à la plume. Je suis remontée jusqu'au début de son journal et elle le tient depuis une dizaine d'année. J'ai remarqué qu'elle avait écrit à la date de mon anniversaire.

31 octobre 1933
Je viens d'accoucher. Malheureusement. Je ne voulais pas de deuxième fille. Mais je n'avais pas assez d'argent pour me débarrasser du bébé dans mon ventre. Je ne sais pas quoi faire d'elle. Mon mari m'a proposé de lui imposer tout le travail, puisque de toute façon on ne l'aime pas. C'est une bonne idée. Je crois que c'est ce que je vais faire. J'ai averti mes fils et Yvette de ne pas s'attacher à elle. Ils n'osent pas me contredire. J'aime mes trois enfants plus que tout, mais je ne sais pas, je n'apprécie pas la nouvelle venue. Je n'ai pas pleuré de joie quand elle est née et je n'ai pas non plus pleuré quand j'ai su qu'elle mourrait vers 35 ans à cause d'une maladie génétique rare. Je ne lui ai même pas encore trouvé de nom.

Je ne peux pas me débarrasser d'elle. Je passerais pour une folle et une sans-cœur dans tout le village. Je ne sais pas trop quoi faire d'elle, sauf toutes les tâches dures du quotidien. C’est déjà dur de lui faire une chambre à coucher, mais cela coûte cher donc je dois faire avec ce que j’ai. Elle ne doit pas se douter qu’on ne l’aime pas, au risque qu’elle nous dénonce, moi et mon mari.

À suivre, je continuerai cette histoire dans quelques temps en espérant que cela vous a plu jusque-là. /!\ NON CE N’EST PAS UNE FANFIC /!\ , ce n’est qu’une longue histoire

Dernière modification par Bixx (Le 07-07-2013 à 18h40)

Bixx → J'aime beaucoup mais c'est un peu long au niveau suspens, le début n'est pas trop compréhensif mais c'est bien écrit. J'attends la suite !!

Giniee - Merci beaucoup^^ J'avoue que moi-même je ne me comprends pas trop au début mais bon x) Je vais surement modifier l'intro genre demain ou dans 2 jours... Parce que je viens d'écrire tout ça et c'est pas mal long^^

ninqueen a écrit :

Moi j'aimerais trop voir tous les films "Saw".
Mais sinon, j'ai déjà vu la dame en noir.

matou945 a écrit :

moi je connaîs une histoire

c'est une vielle dame qui un jour elle a vue une tâche sur son four et elle a regardé de plus près puis elle a vue que la tâche avait la forme d'un visage alors elle a décidé d'appeller ses vieuilles copines qui sont venues et elle leurs a montré la tâche ses copines elle aussi disent qu'elle voient un visage. Alors plus les jours passaient plus il y avait des visages. Mais un ojur la vieuille dame est tombé très malade alors ses copines sont venues lui rendre visite à l'hôpital et la vieuille dame leurs a demandé si elles voulaient bien voir si tout allais bien chez elles alors ses copines ont dient oui alors elle leurs a donné les clées donc elles sont allé chez elle et elles ont vues tous les visages qui pleuraient.
Ensuite la vieuille dame est sortie de l'hôpital elle était plus malade alors elle est rentré chez elle et les visages ne pleuraient plus alors elle a décidé de faire des recherche sur sa maison et elle a appris que sa maison avait été construite sur ...
UN simetière !!!!!!!!!!!! 

une petite fille reste toute seul avec son chien c'est le soir elle dit a son chien si tu entend quelque chose tape moi une fois dans la main si tu voit quelque chose tape moi deux fois dans la main    dans la nuit le chien lui tapa deux foi dans la main elle se présipite dans la salle de bain et vit son chien pendu et sur la glace elle lut   si ton chien et la qui ta taper la main

J'ai une histoire moi aussi:

C'est l’histoire d'une petite fille, un jour c'est parents décide d'aller au restaurant et de laisser leur fille et le chien dans l'appartement. La petite fille accepte et décide d'aller regarder la télé'. Au info elle voit que un tueur en série rode dans son quartier. La fille décide de fermer la porte à clé et de retourner devant la télé avec son chien. Le  chien se place sous le canapé et laiche la main de la petite fille en continue. A un moment la petite fille entends des gouttes tombés sur le sol de la cuisine, elle décide d'aller  voir et vois son chien pendu et quelque chose est écrit sur le mur avec le sang du chien "Est tu sur que c'est ton chien qui ta léché la main? "

Et c'est comme ça que sa ce termine. Si vous voulées j'ai  une ou deux histoire avec des poupée qui font peur!

cromgnone25 a écrit :

une petite fille reste toute seul avec son chien c'est le soir elle dit a son chien si tu entend quelque chose tape moi une fois dans la main si tu voit quelque chose tape moi deux fois dans la main    dans la nuit le chien lui tapa deux foi dans la main elle se présipite dans la salle de bain et vit son chien pendu et sur la glace elle lut   si ton chien et la qui ta taper la main

Ah oui quand meme

J'ai beaucoup aimee l'histoire de l'epouvantail a couteau! Enfin, je dis "aimer"... LOL!

Depuis le jour que je l'ai lu je n'ai jamais voulu revenir sur ce topic: mais j'ai decouvert qu'apres ma premiere lecture, je n'ai plus peur

Dernière modification par Nathalia119 (Le 08-07-2013 à 18h12)

voili voila ma nouvelle histoire \^_^/

Masky

Jeudi 19 Janvier 2012
Cher journal, je m’appelle Amélie et je suis si heureuse de t’avoir enfin, j’ai attendue d’avoir un journal intime depuis si longtemps, je n’ai  carrément personne  a qui parler. Je viens d’avoir 12 ans ce matin, et tu es mon plus beau cadeau. Aujourd’hui, personne ne m’a dit joyeux anniversaire appart mes parents et ma sœur, tout le monde m’a ignorée en cour, personne n’a voulut rester avec moi, j’ai due manger toute seule a la cantine pendant que les autres parlait derrière mon dos.

Les gens pensent que je porte malheur, ils disent que c’est de ma faute si Capucine est morte, c’était ma meilleur amie, elle me manque. Je n’avais  personne d’autre à part elle comme amie.


Vendredi 20 Janvier 2012
Cher journal, je suis si contente de te revoir enfin, la journée a été très longue sans toi. En cours de chimie, une fille qui me détestai a commencer a m’insultée et a me clasher devant toute la classe. A un moment la prof en avait eue mare et lui a foutue une heure de colle, j’étais bien contente. J’en riais sadiquement dans ma tête.


Samedi 21 janvier 2012
Cher journal, c’est enfin le week-end ! Je suis tellement contente de pouvoir me reposer après cette longue et fatigante semaine. Je vais enfin pouvoir retourner à mes occupations, dessiner, sortir prendre l’air, lire… mais avant tout ça j’ai une tonne de devoirs à faire.


Dimanche 22 Janvier 2012
Cher journal, aujourd’hui je suis tellement contente ! Je vais partir une journée à la montagne pour faire du ski  avec ma famille ! Je suis si excitée ! Je vais enfin pourvoir profitée de la neige, faire des batailles, et peut-être me faire des amis. Tu vas me manquer, a ce soir !


Dimanche 22 Janvier 2012
Cher journal, me revoilà, je me suis bien amusée et je me suis fait un nouvel ami, il s’appelle Alex, il est très gentil, je pense même qu’on va devenir mon meilleur amis. Il m’a donné son skype, son facebook et son MSN. Je vais éseiller de le contacter demain après midi, cependant, j’ai vu un type bizarre là bas, il avait les cheveux bruns, une veste orange, un pantalon noir et des bottes, il ne semblait pas avoir froid, mais je cru voir qu’il portait un masque. Il avait les yeux entourés de noir et des lèvres noirs, son masque était de couleur blanche. Je me demande s’il n’avait pas froid par ce temps.


Lundi 23 Janvier 2012
Cher journal, aujourd’hui je n’ai pas cours, mes parents sont en voyage d’affaire pendant deux semaines et ma sœur est partie en voyage avec sa classe, j’en profite donc pour te parler de se rêve très étrange que j’ai faite cette nuit. J’étais plongée dans le noir total, je ne voyais rien, après quelque instants, mes yeux semblaient s’être habituer au noir et je pu voir autour ne moi dans un périmètre d’environ 6 mètres. Sur le sol, je pus voir une lampe torche, je l’eue pris et l’alluma. Je vis que j’étais dans un couloir, mais c’est très étrange, ce couloir me semblait très familier, oui, cette fois j’en étais sur, j’étais chez moi.

J’avançais jusqu'à me retrouver devant la porte de mon salon, je l’ouvris et vit cet homme, assis sur le canapé, il me fixait pendant quelques temps, je pouvais entendre sa respiration. D’un coup, il se leva brusquement et courût vers moi. Je me mis à courir vers la cuisine, et là, il me fit un croche-patte et je tomba violement  sur le sol, je me fit un énorme bleu sur le tibia gauche et je n’arrivais plus à me lever. Il s’approchât de moi doucement, puis sortit un couteau de sa poche et me poignarda dans l’estomac, c’est a ce moment la que je me suis réveiller, mais le plus bizarre dans tout ça c’est que quand je me suis réveiller, j’avais un énorme bleu sur mon tibia et j’avais super mal  au ventre.


Mardi 24 Janvier 2012
Cher journal, cette nuit je fis le même cauchemar sauf que cette fois, j’eue un bleu sur l’épaule et au-lieu de me poignarder, il m’égorgeât. Quand je me suis réveillé, j’avais un nouveau bleu... sur l’épaule… et une énorme douleur à la gorge. Je vis une tache de sang sur mon coussin. Je commençais à avoir peur. J’étais en direction de ma salle de bain pour  me débarbouiller de visage, et la je vis les traces d’une coulée de sang sur ma joue, et je vis une énorme cicatrice sur mon cou, cette fois j’avais vraiment peur… Apres m’être habillée, préparée mes affaires et pris mon petit déjeuner je m’étais mis en route vers le collège. Je n’avais vraiment pas envie d’y allée.

Cette journée fut vraiment longue, comme d’habitude, je me suis retrouvée dans la solitude cette toute la journée et comme d’habitude, cette fille m’a encore foutu la honte et s’est ramasser une heure de colle.


Mercredi 25 Janvier 2012
Cher journal, cette fois, s’en ai de trop. J’ai refait le même cauchemar, mais cette fois c’était plus violent, beaucoup plus…  et surtout beaucoup plus étrange. Ce rêve là était différent des autres, j’étais chez moi, mais cette fois, il y avait de la lumière, j’avançais dans le couloir, il semblait plus long que d’habitude, une fois arrivée au bout du couloir, j’entrât dans le salon, a ma grande surprise, il n’y avait personne, les meubles semblaient avoir étés déplacés, il y avait des taches de sang sur le sol. Je me dirigeais vers la fenêtre… la maison était en plein milieu d’une forêt sombre et brumeuse.

Je descendis les escaliers pour arriver devant la porte d’entrée… elle était ouverte. Je sortis dehors, tout avait changé, il n’y avait plus de foret mais une simple mine. Je me retournât et la maison… avait disparue. Je vis une lampe torche sur le sol et la prenait. Je descendis l’escalier qui était devant moi pour arriver devant une porte ne métal, elle était à moitié ouverte, Je rentrât a l’intérieur et vit du sang sur le sol, sur les murs, il y en avait partout. Dans un coin sombre,  je pu voir une silhouette sombre, c’était cette homme. Il s’avançât doucement vers moi, couteau a la main, prêt a attaquer.

Je pris du recul en avançant  vers la porte à reculons. Je faisais tout pour l’ouvrir, mais elle ne voulait pas. J’étais coincée. Il s’avançât vers moi de plus en plus rapidement. J’étais tétanisée, je ne pouvais plus bougée. Il arrivât enfin en fasse de moi, il me fixait je pouvais l’entendre rigoler sadiquement derrière son masque. Il prit mon bras et fit une énorme entaille, après cela je repris mes esprits et lui donna un coup de poing dans le visage. Il me rattrapât et commençât à me tabasser, il me fit un œil
Au beurre noir, une dizaine de bleus et me cassa le nez, puis il sortit son couteau et m’éventrât.

Quand je me suis réveillé, je saignais du nez, j’arrivais a peine à bouger, j’avais une énorme entaille sur mon bras, et surtout, cette douleur atroce, mon ventre me faisait souffrir. J’eue appelée cette homme Masky, a cause de son masque.

Jeudi 26 Janvier 2012
Cher journal, désoler de te déranger si tard mais je n’arrive pas a dormir, mais j’ai impression que l’on m’observe, j’entends des bruits de pas dans la maison, j’ai peur, je ne sais pas si je deviens folle. Je vais éseiller de dormir, a demain.

Vendredi 27 Janvier 2012
Cher journal, cette nuit, rien d’anormal, pas de cauchemar, rien. Mais ces temps-ci  j’ai l’impression qu’on m’observe. Je pense que je vais placer une caméra dans ma chambre cette nuit, pour voir ce qu’il se passe. Je vais prendre l’air pour me changer les idées, à plus tard mon cher journal.

Me revoilà, j’ai eue super peur tout t’haleurs, alors voila ce qu’il c’est passer : Je marchais tranquillement dans la rue quand je vis un chemin entre deux immeubles, il était sombre, je savais que je ne devais pas y aller mais ma curiosité a pris le dessus. J’avançai vers ce fameux chemin, il y avait une odeur nauséabonde, comme une odeur de rat mort, c’était horrible.  A un peut près 5 mètres  de moi, je pus voir une silhouette sombre s’avancer vers moi, c’était lui. Dès que je commençât à courir vers la rue, commençât à me poursuivre en courant. J’était en train de pleurer, je faillis trébucher plusieurs fois mais je pu enfin sortir d’ici. J’était toujours train de courir quand je vis qu’il avait disparu. Je continuât de courir jusqu'à chez moi de peur qu’il ne me fasse une embuscade.

J’étais enfin arrivée chez moi, je fermât la porte a double tour, fermât toutes les fenêtres et mis les rideaux. J’e me suis enfermée.


Me revoilà mon cher journal, je suis encore désolée de te déranger si tard mais j’ai peur, j’entends des pas, je viens d’entendre un verre se briser, il est là… Masky est la… je l’entend arriver, il est là, derrière la porte, il éseille de la défoncée c’est la fin mon cher jour..


Flash info, une jeune fille de 12 ans à été assassinée dans sa maison hier soir. Sa famille qui était en voyage l’eurent retrouvée ce matin même éventrée, couverte de bleus et de blessures. La police a retrouvé son journal intime et il semblerait que tout a été expliqué à l’interieur.  Le tueur présumé est surnommé « Masky » encore recherché par la police. La famille de la jeune fille demande à porter plainte dès que le tueur sera retrouvé. Mais pour l’instant fermez bien votre porte à double tours et votre fenêtre tant que nous n’aurons pas retrouvé ce criminel.

   
Fanadeggg

J'en ai créé une mais je ne sais pas si je la poste... Elle ressemble a un film d'horreur écris ^^'

xLalou a écrit :

Je viens te chercher !

Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée. Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.

Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :

« Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »

Mais Floppy n'arrivait pas.

Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :

« Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »

Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :

« Allo ?

- ...

- Allo ? C'est qui ?

- Ca va Aurélie ?

- Heu… vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?

- Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

- Quoi !

- Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.

- Vous avez fait du mal à Floppy ?

- Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.


Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

« Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.

Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.

Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.


Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.

La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

« Ce n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ?

- Heu… n... heu... n... non.

- Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !

- Vous… vous… allez... ! Non, j'… j'ai… j'ai peur !

- Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

- ...

- Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !

- Quoi ! Ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

La voix à l'autre bout du fil reprit :

- Tu sais Aurélie ?

- Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !

- Je suis au premier étage maintenant ! »

Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.

Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.

Et le téléphone continuait de sonner...

Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...

Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...

Et la sonnerie devenait insupportable !

Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

« Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ? »

Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

« Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.


Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.

Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

« Bouh ! Floppy... Hmmm… hmmm… hmmmph… je vais te détacher mon petit chien… oh ! mon petit chien... »

Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si… si… s'il avait vraiment été dans… l'escalier, pourquoi il...


- JE SUIS DERRIÈRE TOI !

Fin.

Je pense qu'elle mérite d'être re-poster
Je l'ai trouvé sur internet et j'ai flippé ^^'

Coucou.


Me revoilà avec beaucoup d'absence !

J'adore l'histoire =þ

xLalou~ je pense que sa ne servira a rien de la reposté car elle a déjà été poster ici plus de 10 fois (je pense)

Moi j'ai eu trop peur,surtout celle ou le chien était pendu et la première,mais elle sont inventer ou pas:/

Pralinette77 a écrit :

Moi j'ai eu trop peur,surtout celle ou le chien était pendu et la première,mais elle sont inventer ou pas:/

Le doublon est interdit ! Supprime un des deux messages !

désoler sa a un peu-ti-peu beuguer:|