Supère longue :
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L'homme aux dents de fer
18 février 1985 - Témoignage de Julien *****, nuit du 17 au 18 février, à proximité de Paris.
Il pleuvait énormément et j’avais beaucoup de mal à voir la route. J’allais m’arrêter, avant de voir cette personne sur le bas-côté. Ce qui était bizarre chez cet homme, c’était qu’il marchait sans se soucier de la pluie et du vent. Il avait des cheveux très courts. Il portait une veste en cuir marron, un pantalon jogging noir avec deux lignes blanches sur chaque côté et des baskets noires salies par la boue. Donc rien d’inquiétant à première vue.
J’éprouvais un peu de pitié pour lui. J’ai donc ralenti et je lui ai proposé d’entrer. Il m’a regardé dans les yeux et j’ai eu la peur de ma vie. Il n’avait pas d’iris ! Tout ce qu’on voyait dans ses yeux, c’était deux points noirs au centre du blanc de ses yeux. Je n’avais d'ailleurs pas remarqué à quel point il était grand. Sa veste était ouverte, son chandail était noir. Il m’a souri et j’ai flippé. Ses dents étaient couvertes de taches qui ressemblaient à de la rouille. Il a ensuite donné un coup de poing dans la vitre opposée à la mienne. Aucun sang n’a coulé de sa main ! Pourtant, j’ai bien vu les morceaux de verre rentrer dans sa peau. J’ai accéléré d’un coup sec. Je roulais, je roulais sans m’arrêter.
J’ai roulé pendant une minute entière avant de m’arrêter. Je suis sorti de ma voiture et j’ai regardé derrière moi. Je n’ai pas vu cette chose se diriger vers moi. J’ai appelé la police et je leur ai raconté l’histoire. Ils avaient l’air sceptique, mais je sais ce que j’ai vu. Je ne suis pas fou, je sais ce que j’ai vu.
Extrait d’un journal de Philadelphie, 14 mars 1989.
Jennifer *****, résidente dans l'University City, a été déclarée morte ce matin, à moitié dévorée. D'après les témoins, un homme serait entré dans son appartement accompagné d'un animal d'allure agressive. Sa famille a refusé de nous accorder une entrevue. [...]
Notes d’un enquêteur en charge du meurtre de Jennifer *****.
Aucune trace des pattes de l'animal, bien que les traces de pas de l'homme abondent dans tout l'appartement. Les marques présentes sur le corps de la victime sont des marques de dents humaines. Je n’ai aucune explication pour le moment.
Description d’une vidéo filmée avec une caméra de sécurité à Beijing, 29 mars 1989.
Un sans-abri est couché dans une boîte en carton au bord d'une voie fréquentée, de nuit. Il est 3h34 du matin. Le sans-abri se réveille et regarde autour de lui. Il se lève, s’étire et sort une bouteille d’alcool de son sac. Il commence à boire. Un homme s’approche du sans-abri. Le SDF remarque la présence de cet homme et lâche sa bouteille. Il recule. L’homme se jette sur le SDF et lui mord le cou violemment. Le mendiant hurle de douleur et se laisse tomber par terre. L’homme crache le morceau qu’il a dans la bouche et mord la pomme d’Adam du sans-abri. L’homme se relève, s’essuie la bouche, regarde la caméra et sourit. L’homme part. Le mendiant agonise pendant 4 minutes avant de rendre l’âme.
Extrait du journal intime de Lucy *****, entrée datée du 12 mai 1991, Pittsburgh.
Cher journal,
J’ai l’impression qu’il me suit partout. J’étais dans ma classe et je m’ennuyais. J’ai regardé par la fenêtre et je l’ai vu me sourire avec ses dents toutes rouillées. Je me suis frotté les yeux et il avait disparu. Je rentrais à la maison et j’ai regardé derrière moi. Il me regardait avec son horrible sourire. J’ai accéléré et je me suis retournée une nouvelle fois. Il avait disparu ! Maintenant, je regarde par ma fenêtre et je le vois. J’ai beau fermer les yeux, regarder ailleurs, il est toujours là. J’ai appelé la police.
Le journal de Lucy ***** s’arrête là. La date du 12 mai 1991 correspond à celle du meurtre. Le meurtre a eu lieu dans sa chambre si on en juge par les marques de lutte. Du sang était présent sur son tapis. Le corps n'aurait été emmené dans la salle de bain qu'après le décès, et immergé dans la baignoire. Nombreuses traces de morsures partout sur le corps. Des traces de salive humaine ont été retrouvées sur tout son corps, mais celle-ci n’appartient à personne dans les bases de données de la police.
Témoignage de Bob *****, interviewé par Jason ***** le 14 août 1992 à Orlando.
J : Merci de m'avoir accordé cette interview, Bob.
B : De rien, ça enregistre là ?
J : Oui, on va commencer.
Premièrement, j’aimerais que vous m’expliquiez votre rencontre avec cet ‘'homme''.
B : D’accord. J’étais dans ma camionnette et je roulais jusqu’à chez moi. Il était environ 21h30 et il faisait très noir ce jour-là. Même avec les phares allumés, je ne voyais presque pas la route. Puis, j’ai cru voir une silhouette en plein milieu de la route. J’ai ralenti et je l’ai vu. Il était… si grand ! Au moins 2 mètres ! Je me suis approché, un peu inquiet tout de même, et je lui ai demandé si tout allait bien. Il m’a regardé et j’ai flippé dès que j’ai vu ses yeux. Pas d'iris, et presque pas de pupille ! Il a souri et ses dents… oh mon dieu, ses dents… elles étaient rouillées. C’était du fer rouillé. Je me suis éloigné et il s’est jeté sur moi. Je me suis battu du mieux que je pouvais, mais il était beaucoup trop fort. Il m’a mordu le bras très violemment. J’ai hurlé de toutes mes forces. Une voiture de police est arrivée juste à temps. Mon agresseur a fui dans les bois pendant qu’un policier le suivait. Je me suis évanoui. Je me suis réveillé à l’hôpital, mon bras dans le plâtre. Je suis resté dans cet état un certain temps. Quelques mois avant cette attaque, j’avais reçu un traitement contre le tétanos, je suis bien content de l’avoir eu d’ailleurs.
J : Aujourd’hui, vous savez ce qui vous a attaqué ?
B : Non.
J : Comment vous sentez-vous depuis cette attaque ?
B : Je ne veux pas en parler.
J : Avez-vous changé depuis cette attaque ?
B : Je veux arrêter ça là, s’il vous plaît…
J : *soupir* Entendu, merci pour cet interview Bob.
Cahier de notes de John *****, agriculteur dans l'Ohio, écrit le 19 février 1993
C’est étrange. Je le vois parfois, il est proche de mes terres, de mes animaux, de ma maison. Ce qui est étrange chez cet homme (si je peux appeler ça comme ça), c’est son physique. Trop grand. Puis, ses yeux, aucun iris et presque aucune pupille. Mais le plus effrayant chez lui, ce sont ses dents. Rouillées et pointues. Il me fait peur. Depuis qu'il s'en est pris à mes vaches, je sais qu'il va finir par s'attaquer à moi.
Ce connard n’est pas réapparu. Maintenant, à cause de lui, la police croit que je ne suis qu’un menteur qui leur fait perdre du temps. Il est peut-être parti. Je dois m’occuper des animaux.
Tout comme Lucy, le journal de John s’arrête là. Il a été retrouvé mort, sous son lit. Le combat s’est déroulé dans le salon de John. Sa table ainsi que sa télé ont été fracassés. Le corps porte des mutilations sévères à la jambe droite ; le fragment de muscle retrouvé dans le salon semble en provenir. Les traces de sang montrent que le meurtrier l’aurait emmené dans sa chambre puis sous son lit. Il se serait vidé de son sang à cet endroit. Le meurtrier est introuvable, mais vous savez, tout comme moi, qui était le tueur.
Interrogatoire de la jeune Susan *****, le 14 juillet 1995 à New-York.
N-B : I= Interrogatrice S= Susan
I: Susan, j’ai besoin que tu sois très coopérative avec moi. Tu dois m’aider pour que je retrouve le méchant qui a fait du mal à tes parents.
S : D’accord.
I : Premièrement, j’ai besoin que tu me parles de toi. Tu as quel âge ?
S : 6 ans.
I : Et comment était ta relation avec tes parents ?
S : Je m’amusais beaucoup… je les aimais.
I : On va maintenant passer à la partie difficile. J’aimerais que tu me racontes la nuit où le méchant monsieur est entré chez toi et a tué tes parents.
S : D’accord… Je rêvais du voyage qu’on allait faire à Disneyland. Papa et maman m’avaient promis de m’emmener là-bas… Ils avaient acheté les billets. On devait partir le 18 juillet, dans 4 jours. J’ai entendu… la fenêtre d’en bas se casser. J’ai entendu papa et maman parler très rapidement. Papa a dit qu’il prenait le fusil. Maman est venue me chercher pendant que papa descendait avec le fusil. Maman m’a cachée sous mon lit. Elle m’a dit qu’elle reviendrait vite. Et puis j'ai entendu un coup de fusil en bas. Maman… a lâché un cri avant de descendre en courant. Je voulais savoir ce qui se passait, je suis donc descendue à mon tour. Je suis descendue tout en bas et j’ai vu… papa, par terre, il se tenait le cou en regardant le plancher. Du sang coulait de sa bouche et de son cou. J’ai pleuré quand je l’ai vu comme ça. J’ai entendu maman me parler. Je l’ai regardée et... Maman était assise par terre et un homme lui mangeait le cou. Elle m’a dit de partir, mais j’avais …trop peur. L’homme a lâché Maman et a marché vers moi. Il était géant. Il était chauve et je pouvais voir des coupures sur son crâne. Il avait une veste déchirée. Ses baskets étaient noires et elles n’avaient pas de semelles. Ce qui faisait peur chez lui, c’était ses yeux et ses dents. Ses yeux étaient juste blancs. Ses dents étaient toutes rouillées et pointues. [Elle pleure.] Il m’a souri, m’a caressé la tête et est parti par la fenêtre. Après les policiers sont arrivés.
I : Tu es sûre de ton histoire ?
S : Oui.
I : Très bien, nous allons enquêter. As-tu des questions ?
S : Oui, une.
I : Laquelle ?
S : Quand est-ce que papa et maman vont revenir ?
I : …
Description d’une vidéo filmée par la caméra d’un chasseur, datée du 12 septembre 1999.
Le chasseur lance la vidéo ; on peut supposer qu'il est équipé de sangles fixant l'appareil sur sa poitrine étant donné qu'il a les mains libres. Il se promène dans la forêt et parle de ses méthodes de chasse à voix basse. Vers la cinquième minute, il pose un piège par terre et recommence à marcher. Aux alentours de la dixième minute, il annonce en chuchotant qu'il vient d'entendre un bruit. Il s’accroupit et s’approche de la source du bruit. 1 minute plus tard, il voit quelqu’un marcher. Il s’approche et le salue. L’homme se retourne et le chasseur pousse un cri en lâchant plusieurs jurons. Le grand homme s’approche lentement du chasseur. Le chasseur commence à courir en jurant encore. Des bruits de pas très rapides se font entendre derrière lui. Le chasseur se retourne et tire sur l’homme, lequel poursuit sa course comme s'il n'avait rien senti. Le chasseur recommence à courir. Il est presque arrivé à son camp, mais son pied se fait prendre par le piège qu’il avait posé plus tôt. Le chasseur jure en pleurant. Il lance la caméra loin, juste assez pour voir le spectacle. Le grand homme se penche près du chasseur. Le blessé supplie l’homme de l’épargner. Le monstre mord très violemment le cou du pauvre chasseur. Ce carnage dure 5 minutes avant que le chasseur meure et que l’homme se lève. Il s’approche de la caméra, montre son visage recouvert de sang et sourit en montrant toutes ses dents rouillées et pointues. Il éteint la caméra.
Cette caméra a été retrouvée par un groupe de randonneurs. Le corps du chasseur n’a pas été retrouvé.
Interrogatoire de Shane *****, 14 octobre 2000, Vancouver.
N-B : I = Interrogateur S= Shane
I: Bonjour monsieur *****
S: Euh…bonjour…
I: Vous allez bien?
S : Oui, oui. Je suis juste un peu choqué par… ça!
I : D’accord. Je vais d’abord vous poser quelques questions à propos de vous et vos amis.
[...]
I : Maintenant, racontez-moi ce que vous avez vu.
S : Avec tous les détails?
I : Je vous prie.
S : J'étais à la chasse avec 3 amis. On a entendu du mouvement à notre gauche, ou notre droite, je crois que c’était la gauche. On a pensé à un cerf. On s’est avancés et on a vu un homme marcher. Il mesurait au moins 2 mètres. Comme on était un peu saouls, on a… tiré à quelques mètres de lui.
I : Pardon?
S : On était saouls! Je suis désolé…
I : Nous n’avons pas le temps de régler ce problème, continuez votre histoire.
S : Donc, on a tiré. Il n’a absolument pas réagi. Il s’est juste arrêté, mais il n’a pas sursauté ou quelque chose comme ça. Il s’est retourné vers nous et on a tous crié. Ses yeux étaient blancs. Aucune pupille, ni iris. On a pas juste crié à cause ça. Il s’est retourné en souriant. Ses dents étaient bizarres. J’ai paniqué. Austin criait comme une petite fille pendant que les deux autres se pissaient dessus. Il est resté immobile 5 secondes avant de nous sauter dessus. Il a mordu le cou d’Austin très violemment. Moi et les autres étions paniqués. J’ai pris ma machette, au lieu de mon fusil, et je lui ai donné un coup vertical vers le crâne. Je ne regardais pas, je ne lui ai coupé que la joue droite, je crois. Il a commencé à hurler en se tenant la joue. Il est tombé à genoux en criant de plus en plus fort. On a attrapé Austin et on s’est cassés. On a parcouru une centaine de mètres avant de ne plus entendre ses cris. Vous savez ce qui m’a fait très peur quand je l’ai coupé?
I : Non…
S : Le sang n’a pas coulé de sa joue. Même pas une goutte.
Communication téléphonique entre Steve ***** et James *****, 14 août 2002, Sydney.
S : *appel*
J : Allô ?
S : Salut mon pote !
J : Ah, salut.
S : Ça va mec, t’as l’air stressé. Ta copine te prend encore la tête ou quoi ?
J : Nan, un mec bizarre me suit.
S : Bah là mec, calme-le. T’es une tapette ou quoi ?
J : Tu le vois pas. Il fait vraiment flipper.
S : Qu’est-ce qu’il a de bizarre ?
J : Il est juste… super grand.
S : T’es sérieux ? T’as peur de ça ? Tu fais pitié mec, haha.
J : Non, mais écoute… mec qu’est-ce que tu fais ?
S : James ?
J : *cri* Casse-toi ! Putain casse-toi ! *cri*
S : James ?!
J : *respiration rapide* Mec ! Appelle :inaudible:, pitié ! Je suis dans la rue :inaudible:!
S : Quoi ?!
J : Il va m’avoir avec ses putains de dents rouillées ! NON ! Laisse-moi ! *cri*
S : James ?! Putain, qu’est-ce qu'il se passe ?!
J : *rire inconnu*
S : Putain… *raccroche*
La police a retrouvé le corps de James sur le trottoir, couvert de morsures. Aucun suspect n’a été trouvé.
Description d'une vidéo filmée par une caméra de sécurité à Toronto, datée du 14 novembre 2005.
Une femme se dirige vers sa voiture stationnée dans un parking. Elle semble inquiète et plutôt pressée de rentrer dans son véhicule. La femme insère ses clés dans la serrure et ouvre la portière. Elle regarde derrière elle et se dépêche d'entrer. Elle tente de démarrer son véhicule, mais elle n'y arrive pas. Un homme blanc, chauve et très grand s'approche de la voiture. Il casse la vitre et tire les cheveux de la femme. Sa bouche est grande ouverte, ce qui laisse supposer qu'elle hurle. L'homme mord l'épaule de la femme. Elle se laisse tomber par terre. L'agresseur se place sur sa victime et mord son cou avant de recracher un morceau de chair. Il recule, regardant le sang gicler de la plaie béante, avant de fixer la caméra en souriant. Ses yeux sont complètement blancs. Une tache sombre est présente sur sa joue droite. Il écrase la poitrine de la femme avec son pied avant de partir. La pauvre victime agonise pendant 7 minutes avant de mourir. Tout ceci s'est passé à 22h21, dans un parking désert.
Topic trouvé sur un forum, publié le 12 février 2009 à Nancy
Mon histoire peut paraître incroyable, mais je peux vous jurer que ça m'est arrivé. C'est arrivé il y a 4 mois. Je suis rentré chez moi après une journée de cours épuisante. Dès mon arrivée, je me suis jeté sur mon lit pour dormir. J'allais rester seul toute la soirée. Je me suis endormi très profondément.
J'ai été réveillé par un bruit bizarre. Je me suis levé et j'ai regardé dans mon couloir. Je l'ai vu, se tenant devant ma porte, avec son horrible sourire montrant ses putain de dents rouillées. Sa joue aussi avait l’air rouillée! J'ai sursauté et j'ai tenté de refermer la porte. Il était beaucoup trop fort. Il est entré dans ma chambre en riant. Il savait que je ne pouvais pas m'échapper. J'ai décidé de faire un truc fou. Je ne pensais pas aux conséquences que ça pourrait avoir, je voulais juste vivre. J'ai décidé de sauter par ma fenêtre. Je me suis juste lancé par l'ouverture et j'ai espéré que les buissons en bas amortissent ma chute. J'avais vu trop de films américains.
En atterrissant, j'ai hurlé de douleur. Les branchages m'avaient ouvert une grande partie de la jambe. Le sang coulait de partout. J'avais l'impression que mes chevilles avaient explosé. Je saignais de partout. J'ai un peu rampé et j'ai continué de crier à l'aide. Les voisins sont sortis de chez eux et me sont venus en aide. Mon agresseur avait disparu. Je boite depuis ce jour et j'ai une horrible cicatrice sur la jambe gauche. Je ne l'ai pas revu depuis, mais j'ai le mauvais pressentiment qu'il reviendra. Si vous avez une idée de ce qui m'a attaqué, je suis tout ouïe.
Toutes les réponses le traitaient de menteur, d'idiot et de fou.
Interrogatoire d'Amish *****, témoin du meurtre d'Aventika ***** le 24 octobre 2013 à New Delhi.
N-B: I= Interrogateur A= Amish
I: Monsieur *****, j'aimerais que vous me racontiez, en détail, ce que vous avez vu.
A: Oh mon dieu... comment un être humain peut faire ça à un autre être humain... c'est juste... inhumain !!
I: Monsieur, calmez-vous.
A: Vous n'avez pas vu cette pauvre femme se faire dévorer par un monstre !
I: Dans mon métier, j'en vois des horreurs. Mais j'ai besoin que vous me racontiez ce qu'il s'est passé pour qu'on attrape ce fumier.
A: Ok, ok. *souffle* Je sortais du travail et je marchais jusqu'à chez moi. Comme j'habite loin du centre et que je sors très tard, je ne croise pas beaucoup de monde. J'étais presque arrivé. Puis, j'ai entendu des bruits de mastication dans une ruelle. J'ai regardé dans la ruelle et j'ai vu un grand homme couché sur une femme. J'ai d'abord pensé à un violeur. Je n'allais pas laisser cette pauvre femme se faire violer. J'ai pris une barre de métal sur le sol et j'ai couru vers l'homme. Il m'a regardé et je lui ai frappé le visage avec. Pendant qu'il était sonné, je me suis tourné vers la femme pour lui venir en aide. Mais elle ne se faisait pas violer, elle se faisait manger ! C'est à ce moment que j'ai compris les bruits de mastication. Cet homme, ou plutôt ce monstre, la mangeait ! J'ai failli vomir... Le meurtrier s'est levé et m'a souri. Ses dents... ses putain de dents rouillées..., ses yeux blancs et sa joue rouillée aussi. Je comprends pas pourquoi les dieux ont créé ça. Je...
I: Monsieur ?
A: Je ne me sens pas très bien. Je crois que... [Le témoin s'évanouit.]
I: Monsieur ?! Merde... Abba ! Aide-moi à le transporter à l'infirmerie.
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Ceci était la dernière attaque répertoriée de l'homme aux dents de fer. Beaucoup de questions restent en suspens.
Je ne peux donner aucune réponse, car je suis aussi ignorant que vous. Je ne peux vous donner qu'un conseil : faites très attention. Si vous voyez quelqu'un correspondant à la description, partez. Immédiatement.
La creepypasta la plus courte du monde :
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Le dernier homme sur terre s'assied dans son salon. Soudainement, quelqu'un frappe à la porte...
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La razzia de la Lune Rouge
Cette nuit, c'est la Lune Rouge.
Cette nuit, tout mon peuple va se livrer un gigantesque combat à mort pour déterminer qui va prendre ma place de dominant. Ça peut sembler cruel mais notre race fonctionne ainsi depuis toujours.
Je regarde l'issue du combat par ma fenêtre - ma demeure étant le seul lieu où le combat ne peut avoir lieu. La plupart des maisons sont en feu. Je vois notre champion, un des grands favoris, dans une folie meurtrière. Une dizaine de ses anciens compatriotes, ceux-là même qui avaient vécu avec lui des moments de joie comme de peine et de peur, l'encerclent. Je peux percevoir comme une flamme dans ses yeux. À ses pieds, le cadavre de mon ancien assistant, étranglé avec ses propres lunettes. Cela n'a rien d'étonnant, tout le monde savait que ces deux-là se haïssaient et que l'un serait l'une des premières victimes de l'autre.
Dans une rue, j'en vois un armé de ces bombes qu'il avait améliorées toute sa vie - ses "surprises". Il en jette une sur un autre que je connaissais bien, qui n'a rien perdu de sa faculté à se plaindre constamment. Le visage digne, je peux lire sur ses lèvres "je t'ai toujours haï" avant que la "surprise" ne le fasse disparaître dans un nuage noir et un bruit d'explosion. Le "farceur", entouré des traces causées par ses "surprises" ainsi que de lambeaux de chair et de vêtements, part dans un rire dément. Le carnage qu'il a causé et qu'il semblait préparer depuis longtemps semble lui provoquer du plaisir. Je sais d'avance qu'il ne va pas survivre à cette nuit. Son esprit est trop vicieux, manipulateur et dispersé pour que la lune rouge lui accorde sa bénédiction. S'il devient le nouveau dominant, il conduira notre peuple à sa perte.
Je peux distinguer ceux ayant refusé le combat en se donnant la mort : un peintre s'est pendu, un poète s'est planté un couteau dans le cœur et un autre, connu pour être un bon vivant, s'est empoisonné pour atteindre le sommeil éternel. Il n'y a aucune honte pour eux, ils ont refusé la bataille en restant dignes jusqu'au bout et ont été de bons sujets pendant leurs 150 ans de vie civile ; leur âme pourra atteindre le paradis sur la lune.
Je me souviens de lorsque j'avais moi-même survécu à la razzia de la Lune Rouge, devenant ainsi le guide de notre peuple. J'étais alors appelé "le barbu". Il ne restait plus que deux survivants: moi et celui qui exerçait jusque-là la profession de boucher. Je m'étais caché dans sa propre boucherie pendant qu'il me cherchait, armé de son hachoir taché de sang, et je dus surgir de derrière-lui pour l'égorger avec un croc de boucher qui traînait là. Je n'avais tué qu'un seul de mes compatriotes, mais j'avais survécu à cette nuit qui avait vu la disparition d'environ cent autres. Je devins alors le Chef. Je suivis une initiation pendant 250 ans, guidé par l'Esprit de la Lune Rouge, puis je vis la naissance de la nouvelle génération que je devais guider pendant 150 ans, jusqu’à la prochaine Lune Rouge. Jusqu'à aujourd'hui.
Je peux maintenant faire le bilan de ma vie de guide. Mon tout premier changement fut de décréter que cette génération serait végétarienne, suite à ma mésaventure avec le boucher. Par la suite, mon peuple vainquit à de nombreuses reprises un nouvel ennemi voulant nous exterminer et survécut à plusieurs péripéties nous ayant mis en danger. Je pense pouvoir dire que je fus un bon guide.
Je me tourne vers la femelle. Son sang n'étant pas entièrement celui de notre peuple, elle ne participe pas à la bataille. Elle survivra à cette nuit, mais son hymen, j'en doute.
La razzia devrait bientôt prendre fin. Je regarde de nouveau par ma fenêtre. Le champion doit avoir tué une quarantaine de sa quasi-centaine d'opposants. Il décapite le cuisinier avec son couteau à légumes. Il est devenu quasiment entièrement rouge à cause du sang de ses ennemis. Il est sûr de lui, mais un paysan caché dans la poubelle surgit et lui tranche la tête d'un coup de faux bien placé. Il n'en reste que trois encore en vie: le paysan, le "farceur" et un autre, qui se faisait autrefois appeler mon apprenti et qui n'en a tué actuellement que deux, et avec de la chance. Le paysan, en étant à son premier meurtre, ne se rend pas compte que le "farceur", toujours en quête de plus de victimes, se dirige vers lui, chargé de ses "surprises". Celui-ci aperçoit le paysan par la fenêtre, se prépare à lui envoyer une "surprise". Mais mon ancien apprenti se retrouve par hasard derrière le farceur et, sans réfléchir, lui donne un énorme coup de pied, le faisant basculer par la fenêtre dans la maison où se trouve le paysan. À cause du choc, toutes "les surprises" que transportait le farceur explosent, provoquant ainsi l'effondrement de la maison et la mort instantanée des deux combattants à l'intérieur.
Mon ancien apprenti devient alors le seul survivant. Il a gagné la razzia de la Lune Rouge. Déjà, la Lune Rouge l'enveloppe d'une aura de lumière. Je sors à sa rencontre, lui apportant l'habit rouge du chef.
« Félicitations à toi, lui dis-je. Tu es le nouveau Grand Schtroumpf ! »
Pour les fans de jeux vidéos :
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Le vrai visage des koopalings
J’ai une passion pour les jeux vidéo, surtout ceux en versions bêta, Abandonware ou pirates.
Je m’appelle Jonathan, mais vous pouvez m'appeler John. Je vis dans un appartement à Avignon et j’ai 23 ans. Je voyage beaucoup, notamment dans les pays pauvres où je peux trouver des cartouches pirates ou des consoles contrefaites comme Somari ou la Polystation, et je vais sur internet pour me procurer des versions abandonnées ou bêta de certains jeux.
Un jour j’ai décidé de rassembler mes économies pour réaliser un vieux rêve : un voyage au pays du soleil levant, le Japon. Puis j'y suis allé, là où le jeu vidéo et la culture ne font qu’un, c’était l’occasion de chercher des collectors rares ou des jeux japonais inédits.
En passant près des locaux de l’entreprise Nintendo pour prendre quelques photos, j'ai remarqué un objet large sous une poubelle. Comme je suis quelqu’un de curieux, j'ai décidé de voir ça de plus près. Après quelques difficultés à l’atteindre avec ma main, je l’ai sorti de là, j’étais surpris !
C’était une cartouche de la super Nintendo, mais ce qui m’a excité, c’était ce qu'on pouvait voir sur la jaquette. C’était les koopalings, les fils de Bowser !
Dieu sait que je suis un grand fan de ces persos-là ! Étrange, j’avais jamais entendu parler de ce jeu… peut-être que c’était une version préliminaire, mais qui avait été abandonnée.
Toute la boîte était en japonais -logique- seul le titre, en lettres bleues, était en anglais : « The koopaling's true face » (Le vrai visage des koopalings), avec comme fond les 7 koopalings dansant autour d’un feu de camp, de nuit. Ça promettait d'être intéressant, je le gardais précieusement.
De retour en France, j’ai rangé ma valise et j'ai mis mes affaires au sale. Bien sûr, je n’avais pas oublié le jeu que j’avais pris au Japon, mais je voulais d’abord faire une recherche sur internet pour avoir des informations sur ce jeu. Aucun résultat, tout le monde semblait en ignorer l’existence.. Mais bon, qu’importe, je voulais le tester au plus vite. J’avais une Super famicom (Une SNES japonaise), je voulais d’abord savoir si le jeu était fonctionnel et si il marchait avec l'adaptateur (indispensable pour faire marcher des jeux ricains ou japonais), bien que je me doute qu’il devait être inachevé et truffé de bugs.
Après quelques tentatives, j’ai réussi à l’allumer avec le logo habituel, « Nintendo present », avec le jingle familier de la pièce. Par contre, l’écran titre était tout noir, sans musique, avec le nom du jeu en haut. On aurait dit que c’était écrit avec un bloc notes. J’ai haussé les épaules, pensant qu’ils n’avaient pas encore fait l’écran titre. J’ai appuyé sur un bouton de ma manette et deux options sont apparues en majuscules : « START » et « CONTINUE ». En prenant le deuxième choix, j'ai vu que le jeu avait une sauvegarde. Détail amusant, elle contenait 4 koopalings : Larry, Iggy, Lemmy et Roy. Tous étaient au niveau 4, avaient 4 points de vie et 4 points de magie. Quand je voulais y accéder, ça faisait juste redémarrer le jeu. La carte mémoire n’avait pas tenu avec le temps je suppose.
Bref, j’ai sélectionné « START », et on commençait dans une chambre avec Larry. J'en revenais pas, les graphismes et la musique étaient excellents ! Du jamais vu sur une super Nintendo, les personnages étaient détaillés, et la mélodie nous plongeait dans l’ambiance. Dommage que ce jeu ait été abandonné, ça aurait fait un carton !
Bien sûr, comme toutes les versions bêta, certains éléments n’avaient pas la bonne couleur, ou étaient simplement absents.
Le jeu était en japonais. J’en ai fait un peu quand j'étais au lycée, j'ai essayé de vous le traduire.
Larry dormait tranquillement, puis Lemmy entrait dans sa chambre, venant droit vers Larry, et le premier dialogue apparaissait :
Lemmy : « Larry, réveille-toi ! »
Larry : « mmmh, je suis en train de faire un rêve là ! »
Lemmy : « Hey ! As-tu oublié ce qu’on devait faire aujourd’hui ? »
Larry : « pfff... »
Lemmy : « Viens ! Iggy nous attend au rez-de-chaussée, on va se régaler ce soir ! »
Lemmy sortait de la chambre. Le jeu affichait celui qui parle au-dessus du message. Comme dit, je me suis rendu au rez-de-chaussée. Bon, je me suis retrouvé devant Lemmy et Iggy, tous deux joyeux de ce qu’on allait faire :
Iggy : « Te voilà Larry, on va à la chasse, j’espère qu’on en aura assez pour nous trois ! »
Lemmy : « Oui ! La dernière fois qu’on en a mangé c’était trop bon ! »
Larry : « Allons-y ! »
J’ai eu la curiosité de voir le menu. C’était un menu très classique, avec à droite, les statistiques et les têtes des 3 koopalings. Lemmy était le seul à faire un sourire narquois, de ¾ face, donnant un air plus cool que les deux autres ; à gauche, les choix traditionnels du menu, mais il en manquait. J’avais 800 pièces d’or, 2 champignons rouges et un sac.
De retour à la map, je suis sorti du château tranquillement, et j’ai remarqué qu’il n'y avait personne. Les couleurs étaient assez ternes par rapport à ce qu'on peut attendre d'un jeu Nintendo. Le village était vide.
Quand j’essayais de sortir, Larry disait « Pas par-là ! ». Peut-être qu’il n'y avait rien d’autre après, que le jeu était déjà « terminé », ce qui explique que l’endroit soit désert. J’étais un peu déçu, mais sans plus, et puis passer ne serait-ce que quelques minutes sur un jeu avec pour héros les koopalings, c’est pas rien pour moi !
J’allais éteindre le jeu quand un message est apparu :
« S’il te plaît, ne le kidnappe pas, il est si innocent… »
Il vient d’où ce message ? Kidnapper qui ? Ça ne pouvait pas être Peach, c’était exprimé au masculin.
En passant ce message, je me suis retrouvé devant un tuyau, Iggy s'avançant dans sa direction. Un nouveau message est apparu.
Iggy : « Ce tuyau nous mènera vers le monde réel, on fait la chasse puis on revient.
Lemmy : « Ok ! »
Le décor avait changé : c'était des images d'une ville photoréaliste - enfin, aussi réaliste que le permet la résolution de la SNES. Je veux dire, comme si on avait mis un genre de filtre Super Nes sur la photo d'une rue déserte.
J'ai commencé à comprendre ce qui allait se passer et j'ai essayé d'imaginer une échappatoire. J'ai envisagé que la « chasse » puisse être une métaphore, qu’ils allaient juste foutre un peu le bordel, comme d’habitude, et pour le repas ils voleraient de quoi manger. Je me suis senti soulagé.
Ça a pas duré très longtemps. Je me suis mis à entendre la voix d’un gamin japonais, venant de la télé. Il disait des trucs que je comprenais pas entièrement, mais ça devait être du style : « S’il te plaît, ne recommence pas… »
Le son de la voix était étrangement bien rendu, pour ce que je sais ça surpassait les possibilités de la console. Je veux dire, j'ai une belle collection de jeux SNES et aucun avec des sons d'une telle qualité.
J'étais devant une maison, et apparemment je ne pouvais pas visiter ailleurs, il y avait un mur invisible. Après quelques secondes, Larry s'est avancé tout seul devant la fenêtre.
Larry : « Celui-là est assez gros. »
Le koopaling bleu et les deux autres sont entrés dans la maison par la fenêtre. Ils ont encerclé le gamin et un combat a commencé, le tout premier du jeu.
Iggy : « Ta gueule le gamin ! On te tuera et tu viendras avec nous ! »
Comment Iggy pouvait dire une chose pareille ? Je voulais pas attaquer ce gamin, sérieusement ce n’est pas leur style, je veux dire, ces mignons koopalings, attaquant un garçon sans défense !
Je ne pouvais rien faire à part attaquer. Mes mains tremblaient, je n’ai pas eu le choix. Comme les koopalings n’avaient pas d’arme, ils ne pouvaient que griffer. On pouvait entendre le cri du gamin, souffrant, avec une éclaboussure de sang. En 2 coups, il était KO.
On pouvait entendre un jingle de victoire, les 3 koopalings heureux, avec le gamin effondré devant eux. C’était malsain.
De retour à la map, le garçon avait disparu. En ouvrant le menu, j'ai remarqué que la tête des trois koopalings avait changé. Leurs sourires étaient comme... sadiques, et ils avaient les yeux plissés. Essayant de les ignorer, j'ai d'abord consulté l'inventaire. Je n’avais plus le sac que j’avais au début. À la place, il y avait un item qui s’appelait « viande ». Quand je cliquais dessus, ça disait : « Attends qu'on soit à la maison ! ». Bon, je n’avais pas d’autre choix que de sortir de la maison… écran noir, pendant 5 secondes. Puis une musique se jouait et une cinématique se lançait.
Je n’avais jamais vu ça. Lemmy, Iggy et Larry autour d’un feu de camp avec le gamin derrière. J’ai eu très peur pour la suite.
Iggy : « Bien, maintenant que le feu est prêt tu vas pouvoir apporter notre repas Lemmy. »
Lemmy : « Tout de suite ! »
Non, ils n’allaient quand même pas… ce n’est pas possible ! C'était pas les koopalings que je connaissais, ça pouvait pas être ça ! Lemmy a pris le garçon, et s'est avancé doucement vers le feu, et il a parlé une dernière fois, mais le défilement du texte est devenu très lent.
Lemmy : « …Au revoir… humain… »
Le portrait de Lemmy sur la boîte de message a failli me faire hurler. Il avait un teint violet. Il me regardait, me faisant face avec un sourire bien trop large, et ses pupilles noires sont devenues violettes aussi. Je voulais passer ce message, mais je ne pouvais plus. Le jeu commençait à corrompre : les décors et les sprites, puis la musique ont planté. Puis l'écran a viré au noir.
Je pensais que c’était terminé, jusqu’à que le jeu affiche de nouveau une image… c’était les trois koopalings, assis autour d’un feu de camp, mangeant une cuisse rôtie. À partir de là, je ne pouvais plus rien faire. J’ai donc éteint la console, tremblant et pensant à ce que je venais de faire avec les koopalings. C'était ça, leur vrai visage ? Des potentiels tueurs qui kidnappent des enfants pour les manger ?
Je ne vois plus les koopalings du même œil, et j’ai pris mes distances avec le fandom. J'ai encore le jeu dans un coin, mais je préfère ne pas y toucher. Un jour je me résoudrai bien à m'en débarrasser définitivement.
Vous allez peut-être vous dire que j'ai une réaction un peu lourde par rapport à tout ça, après tout c'est juste un jeu. C'est vrai, il était un peu étrange, mais ça ressemblait à rien de plus qu'un détournement un peu dark de l'univers de Mario. Si c'était un jeu pirate ça n'avait rien d'étonnant. C'est la réflexion que je me suis faite la nuit dans mon lit après avoir joué.
Mais le lendemain, alors que je me mettais en route pour mon travail, j'ai croisé la concierge de l'immeuble, que je connais bien. Elle était en train de raccrocher son téléphone, effondrée. Je lui ai demandé ce qui n'allait pas.
Son petit-fils avait disparu pendant la nuit. La fenêtre de sa chambre était ouverte et il y avait des taches de sang sur son tapis.
Dernière modification par carema (Le 28-03-2015 à 20h46)
On écrit quoi ici ? Pomme ? Non . . . Frites ? . . . OUI! Alors :
Frites les copains !